Théorie de la dépendance

milieu géographique, racial, social et culturel), le déterminisme du matériau qui part du principe que c’est le matériau qui influence le travail de l’artiste surtout en architecture. C’est le géographe allemand Ratzel qui dès 1839 a développé cette théorie qui fut ensuite développé par le comte Melchior de Voguë notamment dans son « Architecture civile et religieuse dans la Syrie centrale » parue de 1865 à 1877.Il étudia l’absence de bois dans la région qu’il étudiait et son impact sur l’architecture

thème d'exil volontaire. Par opposition, la migration involontaire peut être due à une situation de guerre (les gens fuyant leur propre pays) ou encore, à une situation économique précaire. Voir aussi colonisation. Théories de la migration[modifier] Ci-dessous sont présentées les théories économiques de la migration du travail. Lois de Ravenstein[modifier] La première tentative de formalisation de la migration est à mettre au crédit de Ravenstein (1885). Il présente sept « lois » qui sont des faits

 1ère partie : LA THÉORIE DES RESSOURCES  2ème partie : LA PERSPECTIVE FONDÉE SUR LE MANAGEMENT STRATÉGIQUE DES COMPÉTENCES  3ème partie : THÉORIE FONDÉE SUR LES CONNAISSANCES  4ème partie : CAPACITÉS DYNAMIQUES  5ème partie : Approche relationnelle 2ème Page Abdessamad BENZYANE PERSPECTIVES FONDÉES SUR LES RESSOURCES I – LA THÉORIE DES RESSOURCES Fondements théoriques Sans aucun doute « Penrose » (1959) est considéré comme la première référence sur la théorie des ressources. Selon

nous incites à revoir les anciennes approches de développement qui n’ont pas réussi dans leur majorité à conduire les PVD sur les sentiers de la croissance et du développement. Et au contraire ils ont largement participés à la marginalisation, à la dépendance et à l’appauvrissement des populations (résultats désastreux sur le plan économique et sur le plan social) 2 Ces différentes approches se basent sur les principes fondateurs de l’économie standard1 dans la quelle les rapports sociaux ne tiennent

mondiales. Les théories classiques et néo-classiques. 2.1) Théories classiques Théorie des avantages absolus d’Adam SMITH. SMITH (fin 18ème siècle) explique les échanges internationaux par la différence des coûts de productions. Chaque pays va se spécialiser dans un domaine ou il excelle et ou les coûts de production sont inférieurs à tous les autres pays, et va acheter dans les pays extérieurs ou c’est moins cher. Productivité = quantités produits / moyens mis en œuvre. Théorie des avantages

économique, l’autonomie de la volonté est le substrat du libéralisme. La loi du marché repose sur l’idée d’échange, et son meilleur instrument est le contrat dont la conclusion et le contenu sont abandonnés à la libre négociation des individus. La théorie de l’autonomie de la volonté a rencontré plusieurs critiques formulées contre elle. Ces critiques se développent à la fin du 19ème siècle dans le contexte de revendications ouvrières qui ne peuvent se satisfaire d’un contrat de travail dicté par la

Le prétendu principe de l’autonomie de la volonté : fondement contesté 1. Le principe Théorie Autonomie de la volonté  l’Etat n’intervient pas dans les décisions prises par les sujets de droit pour régler leurs affaires privées. Au XIX° siècle  fondement du contrat = volonté individuelle. Nul besoin d’un Etat comme tiers garant de ces volontés, elles sont autonomes (CORNU) 2. Principe ou dogme Cette théorie « autonomie de la volonté », largement critiquée. Aujourd’hui  L’échange de volonté n’est

mondialisation dans les relations internationales n’est pas un processus égalitaire. La passion pour la culture universelle et l’idée universaliste sont contrecarrées par la politique de superpuissance et les caractéristiques culturelles(1). L’actuelle théorie sur la mondialisation qui mélange le processus réel de la mondialisation avec l’utopie d’un Monde commun, manque de profondeur historique(2). Max et Engels disent qu’avec l’exploitation du marché mondial, la classe capitaliste a mondialisé la production

conduire) on est passé à l'anglais «manager». Mais il y a avait déjà des théories sur le dirigeant: ⁃ l'école classique: pour la plupart des économistes classiques (et surtt Shumpeter), «l'entrepreneur explique tt ou presque tt». Il est au coeur de chq décision, il se confond ac l'innovation. Mais exception de Marx qui le voit comme un jouet du système, sans volonté propre, dépendant des forces du marché; ⁃ les théories personnalistes: on veut comprendre pourquoi cet homme est manager plutôt

------------------------------------------------- Protectionnisme et libre échange Les grandes doctrines qui ont réellement fondées le protectionnisme et le libre-échange. * 4 doctrines : * Le libéralisme avec essentiellement la théorie classique et néoclassique. * L’impérialisme avec essentiellement la théorie marxiste. * La doctrine nationaliste avec les néo-mercantilistes. * Les mondialistes, c’est la seule qui représente l’antithèse des 3 premières. C’est ce que l’on appelle également la doctrine de la