Théorie du commandement divin

du droit ? Ces deux paradigmes apportent des réponses très différentes. Le positivisme consiste à penser que le droit positivisme se suffit à lui-même. Il s’impose en tant que tel sans prétendre traduire une règle supérieure (règles d’inspiration divine par exemple). Pour les positivistes en droit juste ou injuste, le droit doit être obéit. D’ailleurs les devoirs l’emportent sur les droits. A partir de cette idée de base, deux approches on était développées : positivisme étatique qui fait reposer

ce qui explique la difficulté de le définir de manière pleinement satisfaisante. Dans ses Contributions à la théorie générale de l’État(1921), le juriste Carré de Malberg le définit comme une "communauté d’hommes, fixée sur un territoire propre et possédant une organisation d’où résulte pour le groupe envisagé dans ses rapports avec ses membres une puissance suprême d’action, de commandement et de coercition". Il souligne ainsi la double acception de la notion d’État, qui correspond à un mode d’organisation

3 La Souveraineté en France 1.2 Rapports entre souveraineté et compétences 1.2.1 Fonctions régaliennes traditionnelles 1.2.2 Autres compétences 2 Typologie des souverainetés 2.1 Typologie classique 2.1.1 Confusion de la souveraineté de droit divin et de la souveraineté royale 2.1.2 Souveraineté populaire et souveraineté nationale 2.1.2.1 Souveraineté populaire 2.1.2.2 Souveraineté nationale 2.1.2.3 Mélange des deux notions 2.2 Typologie moderne 2.2.1 Souveraineté domestique ou interne

1/ Idée politique, Doctrine politique, idéologie politique, théorie politique L’expression même d’idée politique peut avoir plusieurs sens. Référence d’Aristote. « Les idées politiques peuvent se résumer en le fait politique ». Les IP c’est de savoir comment l’autorité publique est organisée, comment s’est-elle établie ? Comment elle se transmet ? * Il faut préciser la divergence entre des expressions presque identiques : l’IP et l’idéologie politique. C’est totalement différent. L’idéologie

Physique et Éthique ont chacune une partie empirique, c'est-à-dire s'appuyant sur les enseignements de l'expérience, tandis que la Logique ne saurait avoir de partie empirique. Toute philosophie non empirique est dite pure, car elle expose ses théories à priori. La philosophie pure se nomme logique losqu'elle est formelle, et métaphysique lorsque traite d'objets déterminés. La partie pure de la Physique se nomme Métaphysique de la nature. L'éthique se partage en une partie pure appelée Métaphysique

Filmer qui affirme que « tous les droits et les pouvoirs sont des déterminations de la volonté divine, la seule autorité humaine légitime naît du transfert de l’autorité divine ; le pouvoir est une chose qui peut être transmise, léguée, usurpée, mais ne se divise ni ne disparaît.il appartient à Dieu qui l’a transfert aux hommes qui, à leur tour, se le transmettent, toujours en accord avec la volonté divine. Le moment inaugural de cette filiation est le don du monde à Adam, dont tous les rois sont depuis

occidentales et non occidentales avant les temps modernes. Quasiment toutes les sociétés prémodernes considéraient que les souverains avaient l'obligation de gouverner avec sagesse et dans le souci du bien commun. Toutefois, leur mandat émanait d'un commandement divin, du droit naturel, de la tradition ou d'arrangements politiques. Il ne répondait pas au droit (ou aux exigences) de tous les êtres humains d'être gouvernés en toute justice. Dans une société bien organisée, les sujets étaient censés être les

politiques. A) les idées : les théories monarchomaque Monarchomaque : ce sont des théories politiques qui ont été élaborées au moment des guerres de religion. Ces théories, 2 points communs, tout d’abord la contestation du pouvoir absolu du monarque et 2e idée, la légitimité de la résistance au roi dans certains cas. Ces termes de monarchomaque est un terme forgé par un prof de droit catholique et d’origine écossaise, ce terme est péjoratif. Au départ, ces théories elles laissent d’abord chez les

connaissait la distinction entre droit privé et droit public. Les francs ignorent cette distinction. Certes, tout comme l’empereur romain avant eux, le roi est un chef de guerre titulaire d’un pouvoir concret (pouvoir de banc) c'est-à-dire un droit de commandement, de contrainte et de sanction. En effet, si on est à même de considérer que ce pouvoir de banc s’inscrit dans la continuité du pouvoir romain, en fait, il n’en est rien. Il est désormais question d’une structure sociale et politique basée sur

était prêt à accepter cette limitation des pouvoirs mais il ne pouvait pas admettre que l’ordre de la succession fut modifié par le parlement car l’Angleterre serait alors devenue une simple république. En effet il se conçoit comme un roi de droit divin donc si le parlement obtient le droit de régler la succession à la place de dieu, l’Angleterre cesse lors d’être une monarchie. B) Guillaume d’orange ou Monmouth ? En effet une question divisait les exclusionnistes entre eux : si l’on excluait