Thomas Cromwell

Au contraire, la hiérarchie céleste (ange, archange… )devient le modèle de la hiérarchie humaine (roi, prince…) le droit de l’époque va tenir compte de cette hiérarchie. La conception de la hiérarchie est présente chez Aristote et Saint Thomas d’Aquin. Saint Thomas d’Aquin, au 13e siècle, voit dans la vie sociale qu’un moyen pour l’individu d’accomplir sa destinée spirituelle. Cette construction hiérarchique donne raison aux idées de la toute puissance d’un monarque. Au monarque céleste correspond

Le mensonge : médium de communication Le mensonge exprime une vérité qui ne peut être formulée autrement que par ce biais pour de multiples raisons. Pour l’enfant qui a fait une bêtise, la peur d’être puni peut déclencher le mensonge. Il exprime alors deux vérités, deux réalités : la première est un aveu indirect de sa faute, la deuxième est la peur des conséquences de celle-ci. Le parent lui va prendre le mensonge au premier degré comme une négation de la vérité et va donc justifier sa peur : la

juger par le caractère religieux de nombre de livres qu’il a publiés, une telle condamnation est certainement déplacé. Sa défense perpétuelle de la lecture des Écritures en langue vulgaire est particulièrement notable. Thomas More : Sir Thomas More – ou plus exactement saint Thomas More, puisqu'il a été béatifié par l'Église catholique en 1886 et canonisé en 1935 – a été présenté tour à tour comme "la figure la plus séduisante du début du XVIe siècle", "la voix de la conscience" de la première Réforme

dogmes se fixent peu à peu, ce qui conduit à diverses querelles de doctrine. Le Moyen Âge latin et la scolastique St Thomas d'Aquin (1225-1274) Article détaillé : Scolastique. Au Moyen Âge, la théologie était une discipline essentielle au sein des universités naissantes. La scolastique a donné lieu à la publication de nombreux écrits et à nouveau à des discussions doctrinales. Thomas d'Aquin est sans doute le principal théologien de l'époque scolastique, mais des figures comme Albert le Grand ou Bonaventure

Machiavel considère que pour bien diriger il faut faire preuve de sagacité, de ruse et même parfois de cruauté, savoir entrer dans la voie du mal sans s’écarter de celle du bien : c’est la virtu. Dans ce texte il semble tout au contraire que pour Saint Thomas d’Aquin la vertu politique doive non seulement demeurer morale mais doive l’être éminemment pour ne point se perde avec le pouvoir. La thèse de l’auteur dans ce texte extrait du De Regno est au sujet de la capacité à gouverner un pays. Il n’est

Philosophe anglais, fils d'un ecclésiastique protestant, il est l'un des premiers penseurs de l'Etat moderne et fondateur de la philosophie civile. Thomas Hobbes débute comme précepteur de la famille Cavendish, comte de Devonshire et s'intéresse beaucoup aux mathématiques et à la physique. Il profite de déplacements de son élève sur le continent pour rencontrer des savants comme Galilée et Mersenne. Il travaille avec le chancelier et philosophe Francis Bacon avec lequel il s'oppose sur le plan des

courants de pensées très divers voire contradictoires (Platonisme, doctrine empiriste aristotélicienne). Doctrine très ancienne qui se renouvelle grandement grâce à Descartes, sous l’impulsion des découvertes coperniciennes. Réalisme médiéval avec Thomas d’Aquin : il associe théologie à la doctrine aristotélicienne (somme théologique). Il en tire alors que Dieu ne peut être connu que par ses effets. Réalisme moderne avec Auguste Comte (positivisme) : il nie qu'il existe autre chose par-delà les phénomènes

l’Enchirion militis christiani (Le Manuel du soldat chrétien). 1499 : premier séjour en Angleterre où il rencontre John Colet, chanoine de Saint-Paul et Thomas More. 1505-1506 : deuxième séjour en Angleterre. 1506-1509 : séjour en Italie. Il devient docteur en théologie à l’université de Bologne. 1509-1514 : troisième séjour en Angleterre chez Thomas More, professeur de grec et de théologie. Il écrit L’Éoge de la folie sur la route entre l’Italie et l’Angleterre. 1514 : il entre en relation avec

CONTEXTE: Roman de Thomas Mann, paru en 1923, La Montagne magique fait écho à La Mort à Venise publié 12 ans plus tôt. L'intention primitive de l'auteur était de faire "une contrepartie satirique de La Mort à Venise » dont le thème serait la séduction de la mort et de la maladie". Si dans le premier ouvrage, ces dernières surprennent les personnages, elles les attirent dans le second. Entre temps, la Première Guerre mondiale eut lieu et Thomas Mann intégra "tous les problèmes que la guerre avait

sûrs, sinon en en acquérant davantage, le pouvoir et les moyens dont dépend le bien-être qu'on possède présentement." Thomas Hobbes