Thomas Hobbes Langage

Thomas Hobbes (1642) LE CITOYEN ou les fondements de la politique (DE CIVE) (Traduit de l’anglais en 1649 par Samuel Sorbière, secrétaire de Thomas Hobbes) Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

1) Présentez la biographie de Hobbes en 3-4 lignes. Thomas Hobbes, philosophe anglais fils d’un ecclésiastique protestant, est né en 1588 en Angleterre. Il est l’un des fondateurs de la philosophie politique moderne. Il fut le contemporain de Descartes, Pascal, etc... et a fréquenté nombre de savants de l’époque : Gassendi, Galilée, Mersenne, etc. Ses œuvres principales sont De Cive (1642) et le Léviathan (1651). Il est mort en 1679. 2) Présentez les événements politiques en Grande Bretagne

Etat de nature = invivable pour l’homme car il rencontre autrui comme un obstacle « l’Homme est un loup pour l’Homme » Thomas HOBBES nous dit ainsi dans son ouvrage philosophique Léviathan que l’état de nature est une guerre perpétuelle de tous contre tous. Pour lui, seul l’Etat peut venir borner les désirs de chacun en créant des lois et ainsi mettre fin à la violence assurant

copernico-galiléenne entraine un changement à la fois du système, mais aussi de point de vue. Elle remet en cause tous les acquis scientifiques. Ce qui constitue un élément central de la méthode cartésienne. En ce qui concerne la raison, Galilée utilise un autre langage pour définir le logos. Il s’intéresse aux Mathématiques, ce qui le rapproche encore plus du monde intelligible. La pensée galiléenne est démocratisée par Descartes. En effet, il théorise la science explicative. De plus, désormais, la philosophie s’intéresse

Internationales# » (D. Battistella) En général, il y a un accord sur cette affirmation, y compris de la part des adversaires du réalisme. Plusieurs auteurs sont considérés comme des références du réalisme politique, c’est le cas par exemple de Machiavel, Thomas Hobbes, Thucydide… Le texte étudié dans le corpus est un extrait de la septième édition de « Politics among Nations. The struggle for power and peace » écrit par Hans Morgenthau (1904-1980) dont la première édition parue en 1948. Cette édition est parue

dérive de la nécessité qui dérive d'une peur totale, la mort. Si nous nous organisons en société structurée, c'est pour éviter l'état de guerre civile “Guerre perpétuelle de tous contre tous de chacun contre chacun“ Hobbes. Cet état résulte de la construction théorique de Thomas Hobbes, l’état a le monopole de la violence. Marx Weber prétend que c'est que parce que l'état a ce monopole, qu'il faut le surveiller. Ex: Les bienveillantes dans lequel un intellectuel est recruté par les SS, et nous

impôts, contrôles, frontières… De fait, l’État est un ensemble d’institutions qui s’imposent par la force, force dont il détient le monopole (Max Weber). Un État sans la force serait impuissant à assurer la sécurité de ses sujets qui le renverseraient (Hobbes). Mais la force ne suffit pas. En effet, la force doit être remplacée par le droit et la justice si l’État veut durer en étant accepté par le peuple : il doit se légitimer par la loi, et devenir un "État de droit". Si l’État commence dans la violence

Thomas Hobbes (1679) Béhémoth Ou le Long Parlement Traduction originale de M. Philippe Folliot, Professeur de philosophie au Lycée Ango, Dieppe, Normandie. 17 août 2010. Un document produit en version numérique par Philippe Folliot, bénévole, Professeur de philosophie au Lycée Ango à Dieppe en Normandie Courriel: philippefolio@wanadoo.fr Site web: http://perso.wanadoo.fr/philotra/ Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://classiques.uqac.ca/

vers (Larousse). C’est un langage se détachant de l’ordinaire. Cet art est souvent défini, pour certains poètes, comme un travail scrupuleux permettant d’atteindre un idéal de beauté poétique. Pour d’autres, comme Jean-Paul Sartre, les mots sont des instruments permettant de formuler une idée et la faire progresser pour accéder à une vérité. Or, il constate que les poètes utilisent les mots d’une autre manière. Pour lui, ce sont des « hommes qui refusent d’utiliser le langage », ce sont des magiciens

comprendre. Et, jour après jour, il acquérait d'autant plus de langage qu'il en avait découvert l'utilité, quoique ce dernier ne fut pas aussi riche que celui dont a besoin un orateur ou un philosophe. [...]     Mais tout ce langage acquis, et développé par Adam et sa postérité, fut d'ailleurs perdu à la tour de Babel, quand, par la main de Dieu, tous les hommes, à cause de leur rébellion, furent frappés d'un oubli de leur premier langage. Et les hommes étant par là forcés de se disperser dans différentes