Thomas Hobbes Léviathan Résumé

complètement la démarche très axiomatique et subjective de Descartes. Leibniz (1646-1716) développa les mathématiques et le calcul infinitésimal. Sa philosophie des monades se démarquait également de celle de Descartes. Les philosophes anglais, comme Thomas Hobbes et David Hume, adoptèrent une démarche empirique, mettant l’accent sur les sens et l’expérience dans l’acquisition des connaissances, au détriment de la raison pure. Spinoza prit parti pour Descartes, surtout dans son éthique. Il se démarqua pourtant

est menacée. -        qui sont menées pour redresser un tort ou infliger une punition méritée.   Ainsi, Grossius condamne les guerres de conquête, d’extension territoriale, de colonisation etc. qui seraient parfaitement condamnables.   Thomas Hobbes (1588-1679) :    Il voit sa propre philosophie politique comme une nouveauté absolue, il se voit ainsi comme un philosophe qui fait table rase, base sur laquelle il va apporter sa science. Il  va loin dans ce sens puisqu’il affirmera même qu’il

Ces trois théories (Hobbes : Le Léviathan , Locke : Traité sur le gouvernement civil , Rousseau : Du Contrat Social) du contrat social ont de fortes similitudes méthodologiques. Avant la formation de l'État les hommes vient dans l'État de nature. Dans les trois cas, il ne s'agit pas de raconter l'histoire de la formation des États, ce sont des philosophes donc ils présentent comme théorie du contrat social, une hypothèse logique. a. Thomas Hobbes : Le Léviathan. Selon Hobbes, à l'état de nature

comique peut être laid et difforme sans exprimer de douleur. » (1990 : 91).Cette idée se retrouvera en filigrane chez de nombreux auteurs, tels que Cicéron, même si là n’est pas l’essentiel de sa conception du rire, ou encore Hobbes qui parle du rire en terme de « grimace » (Léviathan, 1651).2.4.2. Le rire associé à une « laideur morale »Ce qu’on considère comme « laideur morale » correspond ici à des sentiments tels que l’orgueil, le mépris et le dédain. Ces trois sentiments, qui reviennent régulièrement

aussi haut qu’il s’apprécie lui même et, à chaque signe de dédain ou de mésestime, il s’efforce naturellement… d’arracher la reconnaissance d’une valeur plus haute: à ceux qui le dédaignent, en leur nuisant; aux autres par de tels exemples." Hobbes, Léviathan.1651 8- "Il (l’homme) abuse à coup sûr de sa liberté à l’égard de ses semblables; et, quoique, en tant que créature raisonnable, il souhaite une loi qui limite la liberté de tous, son penchant animal à l’égoïsme l’incite toutefois à se réserver

Première partie : La théorie générale de l’institution La théorie générale de l’institution désigne un ensemble de notions qui résume le politique. Dans cet ensemble on retrouve deux catégories de notions, une première catégorie de notions comporte des institutions, des principes invariables. L’état est un concept invariable quant à son existence car autrement, il n’y aurait ni ordre, ni justice mais variable quant à sa constitution. Le principe de la séparation des pouvoirs est un fondement

L'égalité en réalité, celle des âmes devant Dieu. L'égalité n'importe pas la sphère matérielle, on distingue le royaume des cieux et la cité terrestre. Il y a deux auteurs importants dans la diffusion des idées chrétiennes: St AUGUSTIN et St Thomas d'AQUIN. §1. St Augustin Il est né en 354 et meurt en 430, à l'époque de l'Antiquité tardive. C'est l'évêque d'Hippone, cité d'Afrique du Nord non loin de Carthage. Il n'a pas toujours été chrétien, il s'est converti au christianisme

par convention. Cependant on peut vérifier une autre théorie du droit naturel relative a l’antiquité philosophique, celle de Saint Thomas d'Aquin : La loi divine est présente mais existe une loi naturelle et une loi humaine. Et c’est avec Descartes, que : l'homme déduit les lois naturelles ("Ne fais pas à un autre ce que tu ne voudrais pas qu'on te fit à toi-même" Hobbes) sur la base d'un raisonnement logique; la raison définit cette nature des hommes. " Ici, Il faut toujours faire la différence

(1770-1831), le conflit est au fondement de l’intersubjectivité. En effet, toute conscience est animée par le désir d’être reconnue par les autres. Il s’en suit inévitablement un conflit que le philosophe allemand Johann Gottlieb FICHTE (1762-1814) résume en ces mots : « toute conscience se pose en s’opposant. » Ce rapport conflictuel entre les consciences s’exprime, chez HEGEL, à travers sa fameuse dialectique du maître et l’esclave. Celle-ci évoque la rencontre des consciences comme une lutte à

nature » c'est-à-dire en l’absence d’une autorité centrale qui soit au dessus des États. L’expression État de nature est celle qui est utilisée par Thomas Hobbes en 1651 c'est-à-dire 3 ans après le traité de Westphalie. Cette expression sera reprise par John Locke. A partir de 1919 le mot état de nature est remplacé par l’anarchie internationale. En résumé les deux objets qui limitent l’objet d’étude des relations internationales sont donc : Les relations entre États souverains (phénomène historique)