Thèse De Protagoras

lecteur, 21 avril 1939 Première partie : Platon. Onze chapitres sur Platon I. SOCRATE - Le plébéien. - Platon descendant des rois. MaÏeutique. - Torpille marine. - L'universel. - La fraternité. Socrate moraliste. - Socrate en Platon II. PROTAGORAS. - Le sceptique. - L'homme d'État - La pensée. Les cinq osselets. III. PARMÉNIDE. - Le faux platonisme. - L'idée extérieure. Participation. - Le jeu dialectique. - La pure logique. - L'un et l’être IV. LES IDÉES. - Le Grand Hippias.

un devoir être qui suppose des conditions. 1) Première condition : la liberté a) La thèse de Platon : « nul ne fait le mal volontairement » Texte – Extrait du Ménon. Claire Grignon page 105 Voir vos documents et les notes prises en cours, le problème étant de savoir comment on peut encore comprendre cette formule et ce qu’elle implique. Cette thèse apparaît très nettement dans deux textes de Platon : Protagoras, 352b-357a ; Ménon, 77b-78a. Pour Platon, celui qui connaît le bien le fera nécessairement

5.1. L'héritage de Saint-Augustin 5.2. L’héritage de Cicéron 5.3. La rhétorique selon Ramus 6. Les principales figures de style 1 1. La rhétorique sophistique de Gorgias (vers 485-vers 380) 1.1. La vérité en rhétorique / Le pacte oratoire Protagoras est la premier à avoir avancé l'idée que la vérité, en rhétorique, procède d'un double accord entre l'orateur et son auditoire : (i) accord initial sur l'utilité de discuter d'une question quelconque ; (ii)accord final sur le fait qu'une solution

jusqu'à l'époque romaine. Au Ier siècle av. J.-C., Diodore de Sicile fait une plus grande place au légendaire et s'attache plutôt à rapporter les différentes traditions sans prétendre les rationaliser. Au IIe siècle, Plutarque, au début de la Vie de Thésée, l'une des rares Vies parallèles à traiter d'une figure légendaire, compare le passé lointain aux pays lointains arides et inaccessibles évoqués par les géographes, puis déclare : « je souhaite que la légende, épurée par la raison, se soumette à elle

dans l'intention de changer quoi que ce soit dans l'Etat de l'autorité de son propre décret." Spinoza (1) : souverain : autorité Individuelle ou collective à qui seule "il appartient de faire des lois" (selon Spinoza) Questions: 1. Dégagez la thèse de l'auteur et précisez les étapes de son raisonnement. 2. Expliquez : a. "il peut avec une entière liberté donner son opinion et juger et en conséquence aussi parler." b. "ni dans l'intention de changer quoi que ce soit dans l'Etat de l'autorité

l'idée de loi naturelle 17 f) Texte d'Aristote explicitant l'idée de loi naturelle 17 D. L'idée de loi naturelle dans le christianisme17 a) Une thèse très claire17 b) Un texte de saint Thomas17 E. L'école du droit naturel17 a) Généralités17 b) Pufendorf : biographie17 c) Ce que dit Pufendorf à propos du droit naturel18 d) L'originalité de la thèse de l'école du droit naturel18 e) Un texte de Pufendorf 18 Index lexicalIndex lexical Expression à retenir donner envie à autrui de faire aux

entraineurs politiques. Damon d’Oée, conseiller de Périclès, se servait de tous les moyens possibles pour savoir comment une mesure passait mieux. Ces sophistes ont certains traits en commun avec des juristes. L’un des plus célèbres des sophistes c’est Protagoras, il se mettait sur la place publique et interpellait les passants en leur disant qu’il pouvait régler leur litige. Ils commencent à être payés. Korax, il demandait à être payé qu’à condition de gagner un procès. À l’époque de Socrate la plupart

sorte que chacun devienne son propre juge. Ainsi Socrate examine les thèses de ses interlocuteurs et met en évidence leurs insuffisances et leurs faiblesse. A la différence des orateurs politique et des sophistes Socrate ne cherche pas à défendre une thèse par tous les moyens, son but n'est pas de convaincre son interlocuteur, mais de susciter en lui interrogation et réflexion1.1 La philosophie telle que Socrate la cultive n'est donc pas tout d'abord expression d'une pensée achevée, elle est d'abord

pouvoir du roi ne se corrompt pas en en pouvoir absolu et arbitraire. Pour Montesquieu, l’inégalité est à la fois le ressort et la garantie de la liberté. La pensée de Toc peut être considérée comme le dvp de la monarchie anglaise selon Montesquieu. La thèse de Toc est la suivante, la liberté ne peut être fondée sur l’inégalité, elle doit donc reposer sur la réalité démocratique, sur l’inégalité des conditions et elle est sauvegardée par des institutions dont il a cru trouver un modèle en AM. Le terme

bonheur dans la contrainte, il n’y en a pas non plus dans la conduite qui ne serait pas jugée bonne. Est-ce parce qu’une action est bonne qu’elle est un devoir ou parce qu’il y a une règle qui permette de l’évaluer ? Tout d’abord il convient de poser la thèse suivante : 2. Les ≠ morales poursuivent la même fin : non le bonheur matériel mais l’idée. L’idée d’un bonheur moral lié au devoir peut s’analyser en rapport à notre conduite. On distingue ≠ mobiles : l’utilité pour soi (hédonisme = recherche du plaisir) ;