Thèse De Sartre Sartre

connexion entre le moi et les apparences ? Le prétendre, c'est supposer que le moi existe comme une substance, qu'il est invariable et permanent. Cette conception est problématique, comme le montrera la philosophie existentialiste et notamment celle de Sartre. Pascal entrevoit quelque chose de fondamental, à savoir la mouvance du moi, son caractère insaisissable qui pourrait nous faire conclure que le moi n'est pas. Mais il ne va pas jusqu'au bout, prisonnier de sa vision essentialiste de l'âme : c'est

du spectacle, à sa dimension divertissante et semble réduire le théâtre à un moyen utilisé en vue d’une autre fin, à un simple vecteur de communication. Le théâtre peut-il avoir une fonction politique ? Peut-on parler de théâtre à thèse comme on parle de roman à thèse ? Quel est le lien entre la scène et la vie réelle ? Suite à ce premier moment d’analyse, les grandes questions qui ressortent et qui vont guider l’ensemble de la réflexion sont les suivantes : - En écrivant une pièce de théâtre, le

Kierkegaard, cette sensation n’est pas le fruit d’une simple appréhension, mais réside au contraire dans l’existence même. Car l’homme a conscience de sa finitude et donc des limites de sa liberté morale, physique et intellectuelle. Pour donner corps à sa thèse, il fait une lecture novatrice de la Bible, en imputant à Adam non pas un état proche de l’ataraxie du à son innocence, mais bien un sentiment d’angoisse : celui de n’avoir rien contre quoi lutter. Ainsi même si l’angoisse, qui est à première vue naturel

seulement et considérer que l’homme, s’il fait aussi partie de la nature, n’est pas un être tout à fait comme les autres ? Dans la nature, il ne serait pas toutefois de la nature ; immanent à son ordre, il lui serait aussi transcendant. Examinons cette thèse qui offre la possibilité de réconcilier nos deux principes antinomiques : le déterminisme et la liberté. II- AFFIRMER LE DETERMINISME NATUREL CE N’EST PAS NIER LA LIBERTE HUMAINE CAR L’HOMME N’EST PAS UN ETRE NATUREL COMME LES AUTRES.

moi », que c’est la conscience qui rend possible la distinction de soi et cela grâce à une recherche à travers ses sens pour essayer de savoir qui il est. « C’est bien le pouvoir de douter qui est la vie du moi ». Cette phrase d’Alain confère à une thèse de Descartes qui dans les Méditations métaphysiques va mettre en doute l’existence du monde qui l’entoure ainsi que l’existence même de son corps. Les sens peuvent être trompeur donc notre propre existence ne peut être uniquement

Ce corpus est constituée de 4 textes. Ce sont tous des textes théâtraux : Phèdre de Racine écrit en 1677, Antigone de Jean Anouilh écrit en 1944, les Mains sales de Sartre écrit en 1947. Le dernier texte n'est pas un texte théâtrale, c'est un extrait de Notes et Contres notes (1966) de Ionesco. Ce texte nous explique que le théâtre permet d'amener le spectateur à reflechir d'un point de vue philosophique ou moral, le théâtre fait une utilisation de la parole peu ordinaire. Elle exprime un conflit

n'aura pas lieu | |1936 |G. Bernanos |Journal d'un curé de campagne | | |H. De Montherlant |La Reine Morte | |1938 |J.-P. Sartre |La Nausée | |1939 |A. de Saint-Exupéry |Terre des hommes | |1942 |A. Camus |L'Etranger

ses mots pour faire ressentir des émotions et donner du sens aux mots. Selon Eluard, la liberté est synonyme de l'espérance. Le poète pré-suppose que pour tous les hommes, la liberté est désirée et positive. Cette vision s'oppose donc à celle de Sartre qui décrit la liberté comme une angoisse méta-physique. Il évoque la vacuité de notre existence et le "rien" de cette dernière. Selon le philosphe, la vie n'est que ce que nous en faisons. Selon lui, l'entretien avec la liberté n'est pas claire

gènes. En bref, dans tous les cas, les gestes posés par l’humain ne sont pas ses gestes en soi, ce qui fait de lui un être déterminé. Deuxièmement, cette affirmation est toujours réfutable, notamment par des penseurs tels que Jean Paul Sartre. D’abord, selon lui, l’Homme est libre. Il détient la responsabilité de ce qu’il est et de ce qu’il devient, et le rend entièrement responsable de son existence. En suivant ce cours de pensée, le déterminisme ne serait qu’un refuge à ceux qui cherchent

analyserons la thèse de l’auteur sous deux angles distincts. Dans un premier temps, l’auteur se penche sur l’origine du libre-arbitre qui serait le fruit de la religion par la création de la morale comme garante d’un pouvoir de punition et de châtiment puis dans un second temps, il nie jusqu’à l’idée même de responsabiliser l’Homme puisqu’il n’est responsable de rien, il appartient à un tout, on parlera du déterminisme selon Nietzsche. Enfin, nous prendrons le temps de remettre en perspective la thèse de l’auteur