Théologie Pratique

UNIVERSITE MISERICORDE DE FRIBOURG (SUISSE) SEMESTRE D’ETE 1994 LES CATHEDRALES GOTHIQUES, SOMMES THEOLOGIQUES : 1140-1226. [pic] Faculté de théologie Travail de licence A Présenté par Mr MAUGERE Xavier Sous la direction du Père BEDOUELLE Guy, o.p. INTRODUCTION. Chaque été sur les routes de France et de Navarre, nombreux sont les touristes qui pressent le pas vers les cathédrales gothiques, vestiges du Moyen Age que l'on se doit de visiter. Mais le touriste comprend-il toujours

Devinière, près Chinon, sous le règne de Charles VIII. Son père Antoine était sénéchal de Lerné et avocat à Chinon. Vers 1510, il devient novice au monastère des Cordeliers (franciscain) de la Baumette à Angers et reçoit donc une formation de théologie, où il y resta près de 10 ans. Il y rencontra Jean et Alexandre du Bellay. En 1520, il entra au couvent franciscain du Puy-Saint-Martin à Fontenay-le-Comte où il devient moine. Là il étudie le grec, le latin, le droit, l'histoire naturelle et

contemplation)et désire faire revivre les textes bibliques, oubliés dans les commentaires de la scolastique, pratique reine du Moyen Age qui consiste à expliquer et à "éclairer" les textes religieux qui furent écrit en latin, langue incomprise par tous le monde. De ce fait ces textes étaient sujet de critique par le peuple. Voilà pourquoi Erasme s'est mis à les traduire. Il prépare le doctorat de théologie à la Sorbonne de 1495 à 1499. A la fin de ses études, pour affiner ses connaissances, Erasme se rend

favorites de celle qui l’avait précédée : en un moment la maison fut pleine de troubles, de haines, de médisances, d’accusations, de calomnies et de persécutions : il fallut s’expliquer sur des questions de théologie où nous n’entendions rien, souscrire à des formules, se plier à des pratiques singulières. La mère de Moni n’approuvait point ces exercices de pénitence qui se font sur le corps ; elle ne s’était macérée que deux fois en sa vie : une fois la veille de ma profession, une autre fois dans

«l ’Augustinus», publié après sa mort en 1640.    En France , il est représenté par JeanAmbroise Duvergier de Hauranne ,nommé l’abbé Saint- Cyran(jésuite convaincu).Ce dernier a connu Jansénius et fait avec lui les mêmes études de théologie à la Sorbonne. Par la suite, il a pris position contre les jésuites. A partir de 1633,il dirigea Port-Royal où il introduisit les idées du Jansénisme.  L’abbaye de Port-Royal avait été fondée en 1204.Elle abritait une communauté de femmes

la science contre la religion. Il fera ensuite largement appel aux travaux de Michael Polanyi, entre autres, pour montrer que la plupart des affirmations faites pour la science sont un peu déplacées, et qu'il ya beaucoup de similitudes entre la pratique de la science et de la religion. Il fera valoir que la science et la religion sont des activités de l'homme pour la découverte et pour l'action. Les quatre revendications à traiter sont les suivantes: 1. La science est basée sur des faits vérifiables

Rapport de la Commission internationale de théologie LE MINISTÈRE SACERDOTAL   INTRODUCTION I LA CONDITION SACERDOTALE DANS LE MONDE DE CE TEMPS A) LES SYMPTÔMES DE LA CRISE ACTUELLE 1. Abandons multiples du ministère sacerdotal 2. Diminution du nombre des vocations 3. Conflits entre évêques et prêtres B) CHANGEMENTS DE MENTALITÉ ET RACINES SOCIOLOGIQUES DE LA CRISE 1. Vues générales 2. Aspects particuliers a) Modification de l’image classique du prêtre à l’intérieur de l’Église b)

comme la forme achevée du savoir. Mais l'usage habituel est plus lâche, et s'en tient à la comparaison approximative du «voir» et du «connaître».   Au XVIII e  siècle, le sens de cette expression est déterminé par la distinction, issue de la théologie chrétienne, entre la lumière naturelle et la lumière surnaturelle. Deux règnes (ainsi chez Leibniz) ou deux ordres étaient traditionnellement distingués: le règne de la nature et le règne de la grâce. Si au sein de la nature (créée) les hommes disposent

par le CRDP de Franche-Comté - les éditions de l'atelier - Editions ouvrières (coll. Histoire des religions), Paris, 1999. Les auteurs sont : - Jean Joncheray, Professeur honoraire à l'Institut catholique de Paris - Département de théologie pratique - faculté de théologie ICP et Membre du Conseil de rédaction des "Recherches de science religieuse", - René Nouailhat, Responsable de la Mission Enseignement et Religions. (1) Mythe : muthos (récit) s’oppose à logos (discours, démonstration). Aristote affirme

elles font souvent l’objet de discussion dans une atmosphère de rivalité. Aujourd’hui, vue la pratique conflictuelle et très contradictoire de l’adoration dans l’église une question se pose. La foi exclut-elle la raison? Conscient du travail déjà effectué sur le rapport entre la foi et la science, l’objectif premier ici est de faire un bref survol de ce rapport dans le temps, ensuite exposer certaines pratiques dans l’église qui apporte confusion et enfin montrer que sans la raison, la foi est mal exercée