Théophile De Viau

guerres de Religion. III. Le XVIIème siècle 1) Poésie à dominante baroque : 1598 - 1630 C’est une grande époque poétique avec l’éclosion de nombreux talents. Cette poésie où prédomine l’inspiration baroque est illustrée avec Régnier, Malherbe, Viau. Elle revêt de multiples aspects mais témoigne toujours des apparences, des changements qui sont au centre du monde et de l’homme : Le baroque se prête à la satire pour dénoncer les vices du temps : cf. les comparaisons, les procédés de l’exagération

entièrement basé sur cette « Forme », délaissant toute notion d’engagement, ou de revendication. Le Parnasse, un mouvement du XIXè siècle, prône l’art pour l’art, la retenue, l’impersonnalité et clame que la beauté existe par la forme. Dans « L’art » de Théophile Gautier (un des précurseurs du mouvement Parnassien), nous pouvons lire ‘’Les dieux eux-mêmes meurent Mais les vers souverains Demeurent’’. Les ouvrages parnassiens privilégient donc la forme par rapport au fond. Un autre aspect de la forme, outre

(Pays) - Saint François d'Assise - Fréchette - Frère - Freud - Fromentin - Gaboriau - Gagnaire - Galois - Galopin - Galore - Garchine - García Lorca - Garneau - Garros - Gaskell - Gasté - Gaston - Gauguin - Gaulard - De Gaulle - Judith Gautier - Théophile Gautier - Gibran - Gill - Gingras - Giono - Girard de Saint-Amant - Delphine de Girardin - Jules Girardin - Gissing - Gobineau - Goethe - Gogol - Goldoni - Edmond de Goncourt - Jules de Goncourt - Gontcharov - Gorbounov - Gorki - Gouges - Gourmont

évêque. La renaissance et la Pléiade laisse leur place au baroque au 17ème siècle ainsi qu'au classicisme à partir de la seconde moitié de ce siècle. En effet le sonnet, les fables, les stances et d'autres formes de poèmes font leur apparition. Théophile de Viau qui exprime la liberté dans ses poèmes, François Malherbe qui s'inspire de la Cour ou encore Jean Racine dont ses sources d'inspiration sont greco-latines ; sont des poètes modernes. Le 18ème siècle, siècle de bouleversements social est sûrement

le dogme religieux. Les perturbations politiques et les conflits religieux affaiblissent la confiance que l’on peut avoir envers des dirigeants religieux. Vers 1615, un groupe de poètes athées (Boisrobert, Tristan L'Hermite, Saint-Amant et Théophile de Viau) forme une société secrète. Ils se considèrent comme des « antéchrists » et diffusent des œuvres anonymes défendant leurs thèses. On les considère à l’époque comme des sorciers et des sorcières. Plusieurs œuvres sont publiées dans ces années:

disant à propos du poignard : « A voici le poignard qui du sang de son maitre s’est souillé lachement. Il en rougit, le traitre » • Roméo et Juliette, Shakespeare (1595) • Le songe d’une nuit d’été, Shakespeare (1600) • Pyrame et Thisbé, Théophile de Viau (1724) : o Cyrano de Bergerac, Edmond Rostand (1897), tirade des nez : « Enfin parodiant Pyrame en un sanglot : Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître. A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »  Mythe de l’épaule de

Lectures analytiques Pierre de RONSARD, Derniers vers, sonnet I (1585) « Je n 'ai plus que les os... » Jean-Baptiste CHASSIGNET Le Mépris de la vie et consolation contre la mort (1594) « Assieds-toi sur le bord... » Théophile de VIAU Oeuvres poétiques (1621-1624), Ode XLIX « Un corbeau devant moi croasse... » Jacques VALLEE DES BARREAUX Œuvres poétiques (1660) : « Tout n'est plein ici-bas... » Textes et documents complémentaires Textes | Documents iconographiques

Gitane Aspect physique : - 16 ans - Très belle Aspect psychologique : - Incarne l'innocence et la maïveté - 4. Artistes cités L'histoire se passe en 1482, mais l'auteur cite de nombreux artistes de son temps ainsi que du temps du récit. Théophile de Viau (1590-1626) poète français qui connut un grand succès au VIIè siècle mais fut aussi apprécié, au XiXè, par les Romantiques comme Hugo De pindare (518-438) célèbre poète grec Timante, peintre grec du Vè siècle avt J-C, fut surtout admiré pour

rose et moi différons d'une chose: Un Soleil voit naître et mourir la rose, Mille Soleils ont vu naître m'amour, Dont l'action jamais ne se repose. Que plût à Dieu que telle amour, enclose, Comme une fleur, ne m'eut duré qu'un jour. Théophile de VIAU (1590-1626) Sonnet L'autre jour inspiré d'une divine flamme,  J'entrai dedans un temple, où tout religieux,  Examinant de près mes actes vicieux,  Un repentir profond fit soupirer mon âme. Tandis qu'à mon secours tous les Dieux je

comporte une multitude de tendances contradictoires mais peut se concentrer autour de quelques principes communs : goût de la sensualité, des extrêmes, de l’ornementation, du langage à effets. Les genres privilégiés du baroque sont la poésie avec Théophile de Viau, Pierre de Marbeuf ou Saint-Amant, et le théâtre, influencé par les auteurs espagnols (par exemple l’Illusion comique de Pierre Corneille) 4 . Durant la période de transition qui va de 1630 à 1660, le baroque, bien que peu à peu supplanté déjà