Thérèse Raquin Conclusion

Ce passage est la description de la promenade en barque des trois personnages principaux du roman « Thérèse raquin » (Camille, Laurent et Thérèse) Cette scène se déroule un dimanche. Avant celle-ci les trois amis avaient réservés une table et un menu dans un restaurant en bordure de Seine afin de manger une friture dans une gargote. Puis Laurent avait profité de la situation géographique (présence de la Seine) pour emmener Camille et le noyer. Cette scène précède donc le crime de Laurent ; la

aussi l’enfermement sous forme psychologique. Alexandre Dumas a décrit dans son roman Le Comte de Monte-Cristo un état ressemblant au syndrome « locked-out » sous les termes : « un cadavre avec des yeux vivants ». Ou encore, Émile Zola, dans Thérèse Raquin , évoque une femme « frappée de mutisme et d'immobilité ». Il décrit son visage « comme le masque dissous d'une morte au milieu duquel on aurait mis des yeux vivants. Ses yeux seuls bougeaient, roulant rapidement dans leur orbite »4. Mais plus

articles virulents, en faveur des Manets comme par exemple Mes Haines en 1866. Admirateur des Goncourt et séduit par les idées de Taine et de Claude Bernard, il évolue assez vite vers le réalisme et même le "naturalisme" qui se manifeste déjà dans Thérèse Raquin (1867) et Madeleine Férat (1868) dix ans avant qu'il n'en expose la doctrine.C'est à partir de L'Assommoir paru en 1877, que le succès, dû au scandale, le rend célèbre. Autour de Zola se groupent alors les écrivains de l'école naturaliste (1881)

naturalisme. Le projet de Zola était d’être " homme de lettres" c’est-à-dire qu’il voulait vivre de ses œuvres. De 1862 à 1868, il travaille énormément en faisant beaucoup de réflexion, de recherche, d’essais qui débouchent à son premier roman Thérèse Raquin en 1867 et ensuite le cycle des Rougon-Macquart qu’il mettra vingt-cinq à écrire. Zola a aussi écrit deux autres séries, les Trois Villes et les Quatre Evangiles, ainsi que cinq romans publiés de 1865 à 1868. Dans la caricature, Zola

pas l’image, mais l’opposé. On peut dire qu’il la « reflète », mais alors comme son négatif. Exemples : Mme de Clèves vit dans une société qui la tourmente, mais son éthique est à contre-courant et c’est précisément l’intérêt du roman. L’héroïne de Thérèse Desqueyroux ne « reflète » pas la société, elle est la victime de son entourage. Mieux vaudrait alors parler de « révélateur » de la société dans laquelle le personnage vit. 2. Plutôt « produit » que « reflet » ? Parfois, le personnage ne reflète

faculté maîtresse ". Zola applique ce protocole à la technique romanesque transformée en " étude du tempérament et des modifications profondes de l'organisme sous la pression des milieux et des circonstances " (cf. Préface de la deuxième édition de Thérèse Raquin ". Dans cette préface, Zola parle pour la première fois d'un " groupe d'écrivain naturaliste ". Le naturalisme consiste en fait en la recherche des causes du vice dans l'hérédité et Zola va s'élever contre le romantisme en donnant trois

t’apprends inter nos » (l.52) ➢ « Tu me dis qu’il a épousé ta maîtresse » (l.59) b. Reconstitution de l’intrigue et tension dramatique. On apprend que Dom Juan a épousé Done Elvire et qu’il l’a abandonnée. Indices sur la suite de la pièce (cf. Thérèse Raquin avec l’incipit et la description du Pont Neuf) : Dom Juan pourrait subir un châtiment divin pour son impiété, va-t-il finir en Enfer ? « Suffit que le courroux du Ciel l’accable quelque jour » (l.69). Remarquer l’euphémisme/périphrase utilisé

Ainsi, le lecteur s’imagine des façons pour y remédier. Suite à cette prise de conscience, ce personnage qui nous ressemble peut incarner un exemple à ne pas suivre. Ce qui nous donne une directive de vie, sur certains choix. C’est le cas de Thérèse Raquin qui trompe son mari Camille, qui paraît maléfique dans ce roman de Emile Zola, pour la tendresse du jeune Laurent. C’est une lâcheté dont beaucoup font preuve et ainsi nous avons un exemple de personnes ayant fait le mauvais choix, ayant choisi

symbolique : un portrait en creux et dévalorisant de ses habitants A. Un endroit repoussant et méprisé B. Un passage détestable à l'image du caractère méprisable de ses habitants C. Un passage qui introduit aussi le thème de l'hypocrisie Conclusion Problématique de lecture : il s'agit ici de la première page du roman d'Émile Zola. On doit donc se demander quelles sont les fonctions de cet incipit et comment Zola parvient à captiver d'emblée son lecteur. Par ailleurs, dans la Préface de la

vingt-quatre ans et fréquente les républicains. Puis il se lance dans une carrière de journaliste engagé. Dans ses critiques littéraires, il prône une littérature "d'analyse" s'inspirant des méthodes scientifiques. Son premier succès, le roman "Thérèse Raquin", lui vaut de nombreuses critiques de la part de la presse. L'incipit retarce l'arrivée, la nuit, à la mine, d'Etienne Lantier qui vient d'etre embauché. Le personnage est ici anonyme et vu en situation de déplacement, la nuit, dans un contexte