Thérèse Raquin Milieu Social

excès du romantisme, ambitionne de décrire la société telle qu'elle est, sans l'embellir. Le réalisme est fondé sur la recherche du vrai. L'épigraphe du roman est d'ailleurs « l'humble vérité ». On ose parler d'argent, de sexe, de crasses, et de milieux sociaux pas toujours reluisants... Ainsi, Une vie relate les désillusions de Jeanne, la fille d'un baron qui n'a longtemps imaginé sa vie qu'au travers "du prisme idéalisant de ses rêves" et qui sombre dans le malheur. C'est un roman pessimiste.

(déc. 1868, aux Goncourt). 2° raison : rêve de rivaliser avec Balzac. 3° raison : rêve de réaliser un roman scientifique fondé sur "une philosophie expérimentale des passions". 2) Sujet choisi "Les Rougon-Macquart : Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire" Pour que jouent les lois de la biologie, il choisit l'histoire d'une famille. "Chaque épisode formant la matière d'un volume. Ces épisodes pris à part, formeront des histoires distinctes, complètes, ayant chacune

un investissement personnel considérable: « le premier roman sur le peuple, qui ne mente pas et qui ait l'odeur du peuple ». Dans la Préface, Zola expliqua ses intentions : «J’ai voulu peindre la déchéance fatale d’une famille ouvrière, dans le milieu empesté de nos faubourgs. Au bout de l’ivrognerie et de la fainéantise, il y a le relâchement des liens de la famille, les ordures de la promiscuité, l’oubli progressif des sentiments honnêtes, puis comme dénouement la honte et la mort. C’est de la

journaux. Émile dut s’enfermer chez pour écrire ses romans. Après un passage à vide d’une année où le train de vie de Zola s’est calmé. Il revint sur les devant de la scène avec un roman qui allait marquer une transition dans l’œuvre d’Émile Zola "Thérèse Raquin" dont la prémisse était parue quelque mois auparavant dans le Figaro "Un mariage d’amour". Zola retravailla cette nouvelle et en créa un roman plus abouti de 240 pages. Plus tard, le 31 mai 1870, il épousa Alexandrine Meley. Le 2 septembre de

! 1. ! Présentation générale Nom de l’auteur : Zola Titre du livre : La Bête humaine Date de parution : 1890 Analyse de la couverture : La couverture nous présente la roue ainsi que le système de piston d’un train. Le milieu ferroviaire est au centre de l’histoire, fait parti du décor et du contexte de l’époque. 2. Présentation de l’auteur Prénom et NOM de l’auteur : Émile Zola Pseudonyme : Aucun pseudonymes connus. Date de naissance + Date de la mort de l’auteur :

Zola entre au nouvel hebdomadaire républicain La Tribune, où il pratique ses talents de polémiste par l'écriture de fines satires anti-impériales. Mais c'est à La Cloche que ses attaques les plus acides contre le Second Empire sont publiées. Thérèse Raquin n'a pas enthousiasmé Louis Ulbach, le directeur du journal, mais il admire l'insolence du chroniqueur. Courageux, voire téméraire, Zola s'attaque avec dureté aux ténors de l'Assemblée comme de Broglie ou de Belcastel. Il vilipende une Chambre

Décidé à vivre de sa plume, il démissionne de la librairie le 31 janvier 1866. Le scandale de la publication de certains de ses articles et le soutien qu’il apporte à un Manet le font connaître. Il commence à publier des romans, dont Thérèse Raquin, qui est sa première réussite. Après la guerre de 1870, à laquelle il ne participe pas parce que, fils de veuve et myope, il n’est pas mobilisable, il devient journaliste parlementaire. C’est le 22 juillet 1872, par la signature du contrat qui

commence à écrire ses premiers comptes comme «Les contes à Ninon» et des pièces de théâtre qui n’ont pas eu un franc succès. Il finit par quitter Hachette et rencontre celle qui deviendra sa femme : Alexandrine Meley. Il écrit son premier roman «Thérèse Raquin» qui est un succès, grâce justement à ses différents sujets, mais aussi aux critiques de la presse l’accusant de pornographie. Il s’en défendra dans la seconde édition. On retrouve aussi quelques caractéristiques du naturalisme que l’auteur développe

l’écriture. Il se mit alors a écrire les Rougon-Macquart, un monument de la littérature française en 20 livres qui retrace l’histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire avec comme premier opus la Fortune des Rougon. Observateur des hommes et des faits de son temps dans ses romans, Zola n'a cessé de s'engager dans des causes sociales, artistiques ou littéraires qui lui semblent justes, sans jamais faire de politique. Le personnel politique lui semble suspect et avant l'affaire

Zola entre au nouvel hebdomadaire républicain La Tribune, où il pratique ses talents de polémiste par l'écriture de fines satires anti-impériales. Mais c'est à La Cloche que ses attaques les plus acides contre le Second empire sont publiées. Thérèse Raquin n'a pas enthousiasmé Louis Ulbach, son directeur, mais il admire l'insolence du chroniqueur. Courageux, voire téméraire, Zola s'attaque avec dureté aux ténors de l'Assemblée comme de Broglie ou de Belcastel. Il vilipende une Chambre peureuse,