Tigrane II d'Arménie

De Imperio de Pompei s'insère dans un contexte plus que difficile pour Rome puisque les querelles internes entre optimates et populares s'accompagnent de conflits à l'intérieur des provinces d'Asie. Cette guerre oppose deux rois, Mithridate VI et Tigrane II, à Rome. En outre, les Romains doivent faire face aux problèmes suscités par la piraterie dans la mer Méditerranée. En 66, lorsque Cicéron intervient pour prononcer son discours à la tribune aux harangues, les conflits se déroulant en Asie font

Consul Lucius Licinius Lucullus (115-v.57) et celles du royaume d'Arménie dirigées par le Roi Tigrane II le Grand (95-54). Les forces de Lucullus sont constitués de 12.000 légionnaires chevronnés (Composé en trois légions) ; 4.000 cavaliers et de l'infanterie légère. L'armée Romaine fut encore renforcée par plusieurs milliers d'hommes d'infanterie et de cavalerie alliés, des Galates, des Thraces et des Bithyniens. L'armée de Tigrane II était clairement en supériorité numérique sur celle de Lucullus

monumental, entre la sculpture et l’architecture, est spécifique de l’art arménien. Il a été inscrit en novembre 2010 auprès de l’Unesco, au titre du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Taillées dans les tufs ou les grès tendres des montagnes d’Arménie, ces stèles se présentent généralement sous la forme d’une croix de Malte (chaque branche se dédouble aux extrémités) dont la hauteur est le double de la largeur (comme la croix latine classique). Elle est encastrée ou sculptée directement sur des

sur les institutions du parti aristocratique. Sa popularité est, à ce moment, à son apogée à Athènes. Cimon est donc le digne successeur de son père qui est aussi un glorieux stratège. Cimon à l’instar de son Père connait une grande gloire II. La Gloire de Cimon A) Un grand stratège Partisan du développement de l'empire athénien, il n'estime pas nécessaire la rupture avec Sparte. Il pense au contraire que l'alliance spartiate peut contrebalancer le développement des idées démocratiques

ère (Plutarque lui est donc antérieur), est un homme d’état et général romain. Il est notamment connu pour avoir servi Sylla durant les guerres mithridatiques, dont nous reparlerons. Il est un excellent général, et a vaincu les armées du Pont et d’Arménie. Lucullus participe à la guerre sociale entre 91 et 88 av. J.C., conflit entre la République romaine et les alliés italiens. Il participe aux trois guerres de Mithridate, est fait questeur puis proquesteur en Grèce et en Asie en 86-84 av. J.C., il

l’Ourartou. Au Ier siècle av. J.-C, le peuple arménien se dote d’un empire dirigé par Tigrane II le Grand mais celui-ci ne perdura que quinze années seulement, assailli par les puissances rivales de Parthes et de Rome. Le territoire arménien y connaitra pendant cette période son apogée. Celui-ci s’étendra de la mer Caspienne à la Méditerranée, du Caucase à la Palestine. Carte de l’empire arménien à son apogée sous Tigrane II, vers l’an -85. (Voir dans l’annexe pour une image agrandie) Nous pouvons constater

Jésus-Christ, période de leur arrivée dans la région dite de l’ « Arménie historique ». Mais il existe une date plus fondatrice encore, pour un peuple dont la religion a une place si importante. Au début du IVème siècle, entre 301 et 304 (ou 314), le roi d’Arménie se convertit au christianisme et vient ainsi faire figurer le pays comme premier Etat chrétien. L’évangélisation va s’accélérer avec l’invention de l’alphabet arménien au Vème siècle, deuxième fait marquant et élément fondateur de la civilisation

îles. - Italiotes et émigrants. - La Sicile. - Le Tibre. - Première Rome. - Pélasges, Hellènes, Sicanes, Ligures, Celtes et Étrusques. - Autochtones. La Rome légendaire. - Premiers Romains. - L’enlèvement des Sabines. - Destinée de Rome CHAPITRE II De 754 à 578 av. J.-C. - Les premiers rois. - Janus. - Hercule et le brigand Cacus. - Énée et Ascagne. - Numitor et Amulius. - Romulus et Remus. - Fondation de Rome. - Numa Pompilius. Tullus Hostilius, ou Tullius. - Destruction d’Albe. - Ancus Martius

comices centuriates avait un pouvoir politique, législatif et judiciaire important. A l’origine, les citoyens les plus riches étaient répartis dans des centuries plus nombreuses car ils devaient servir plus souvent à la guerre que les plus pauvre. II) La puissance des magistrats. A) Collégialité, annualité, hiérarchie. Les magistratures à Rome comme dans la plupart des cités antiques sont collégiales et annuelles, c’est à dire qu’elles durent un an et qu’il y a plusieurs titulaires d’une

Gaulois ne lui ôta rien de ses forces : l’armée, plus dissipée que vaincue, se retira presque entière à Veïes ; le peuple se sauva dans les villes voisines ; et l’incendie de la Ville ne fut que l’incendie de quelques cabanes de pasteurs. Chapitre II : De l’art de la guerre chez les Romains Les Romains se destinant à la guerre et la regardant comme le seul art, ils mirent tout leur esprit et toutes leurs pensées à le perfectionner. C’est sans doute un Dieu, dit Végèce [17], qui leur inspira