Tinia

nom est relié à une certaine route inconnue vers la ville de Populonia et du peuple Romains. Peut-être qu’il était le dieu du peuple. Régnait au-dessus de cette panoplie de déité, un groupe qui semble refléter le système indo-européen : Étain ou Tinia, le ciel, Uni son épouse (Juno), et Cel, la déesse de la terre. En outre les dieux grecs ont été adoptés par les Etrusques : Aritimi (Artémis), Menrva (Minerve), Pacha (Bacchus). Les héros grecs issus de Homère apparaissent également fréquemment

la culture étrusque. Les dieux romains, que beaucoup pensent être empruntés aux Grecs, sont en réalité empruntés aux Étrusques. Ainsi, les Étrusques vénéraient Menrva, déesse armée, Tinia, dieu puissant du ciel, Turan, déesse de la puissance féminine, le Tinias Clenar, jumeaux fils de Tinia, ou Hercle, fils de Tinia à qui furent imposés des travaux… Ces dieux n'étaient pas représentés avant que les Étrusques ne rencontrent les Grecs et leur Panthéon. Les Étrusques ont ensuite transmis leur Panthéon

 ont  beaucoup  de  mal  à  comprendre  leurs  écritures  car  il  y  en  a   très  peu  ou  toute  basé  sur  des  épigraphes.  Les  historiens  n’ont  donc  pas  beaucoup  de  base  sur   lesquelles  travailler.   -­  Qui  sont  Tinia,  Uni  et  Hercle  ? Le  dieu  Tinia  est  le  principal  dieu  étrusque  et  il  correspondrait  à  Zeus  et  Jupiter  mais  il  aurait  des   fonctions  plus  larges  tout  comme  son  épouse  Uni  (Héra/Junon).  Les  caractéristiques  de  cette   dernière  sont  telles

Le Miracle de la Révélation Sur les rives du fleuve Mathra, un laboureur venait de tracer un sillon. Tout à coup, surgit de terre un enfant sage, qui parle comme un adulte. Les Lucumons accourent, suite aux cris du laboureur. Le petit-fils du dieu Tinia, Tajès (Tagès ?), transmet la doctrine puis tombe raide-mort. Le laboureur s’appelait Tarchon (→ ville de Tarquinia, famille de Tarquin). Depuis cette histoire-là on considère les limites du sillon comme sacrées (car Tajès est tombé mort dans ce sillon)

Affaiblis par leur conflit avec les hommes, les membres de la Première Civilisation sont incapables d’empêcher la Catastrophe qui frappe la planète sous la forme d’une éruption solaire majeure ; seule une poignée d’entre eux, dont Minerve, Junon et Tinia, survivent au cataclysme. Avant de disparaître à leur tour, les rescapés rassemblent dans un Sanctuaire le savoir cumulé de leurs recherches. Décimée, l’espèce humaine subsiste malgré tout ; avec le temps, la végétation et l’érosion effacent toute

se trouvait la statue divine. Le Capitole lui, avait trois cellae côte à côte. Le lieu de culte groupait donc Jupiter, dans la cella centrale, et les deux déesses Junon et Minerve, dans les cellae latérales. Le Jupiter latin était l'équivalent du Tinia étrusque (autrement dit, Zeus chez les grecs) ; Junon et Minerve, sous leur forme étrusquisée, étaient des divinités protectrices de cités de l'Étrurie du Sud : Junon de Véies et Minerve de Faléries. Le groupement en triade et la structure du temple

nom est relié à une certaine route inconnue vers la ville de Populonia et du populus Romanus. Peut-être qu’il était le dieu du peuple. Régnait au-dessus de cette panoplie de déité, un groupe qui semble refléter le système indo-européen : Étain ou Tinia, le ciel, Uni son épouse (Juno), et Cel, la déesse de la terre. En outre les dieux grecs ont été adoptés par les Etrusques : Aritimi (Artémis), Menrva (Minerve), Pacha (Bacchus). Les héros grecs issus de Homère apparaissent également fréquemment dans

en terre cuite provenant du toit). Certains sanctuaires étrusques privilégiaient la sculpture en bronze, le plus souvent de modeste taille (guerriers). Elles étaient parfois nettement plus grande comme le prouve la chimère d'Arezzo, une dédicace à Tinia (Zeus) [004607]. Signalons également le cas du foie en bronze provenant de Plaisance [004608]. En plus de ces métropoles, nous connaissons plusieurs centres mineurs : San Giovenale, Acquarossa et Murlo (Poggio Civitate). ♦ A San Giovenale et Acquarossa

superstition lourde domine la religiosité étrusque. On y sent une série d’emprunts ; on n’y trouve rien d’original. Les œuvres des divinités et des héros de l’Étrurie répondent généralement aux fonctions des dieux helléniques : Apul, c’est Apollon ; Tinia, c’est Zeus ; Menrva, c’est Athéna (Minerve) ; Achille est devenu Achle ; Ajax, Aivas. Toute la religion est dans la recherche des intentions divines. Par le vol des oiseaux, les haruspices interprètent la volonté secrète des immortels, rite oriental