Tirade Bardamu

livre I, chap. 26, «  De l’institution des enfants  » où Montaigne plaide pour un conducteur (un pédagogue, au sens étymologique) qui se conduirait dans sa charge d’une manière nouvelle. Il décrit ainsi ses méthodes : a. Dans les dernières lignes de la tirade, la racine hypo (dessous) du mot hypocrite est développée par la préposition sous (l. 13), par le nom abri (l. 13) et par le verbe cacher (l. 15). b. Les mots masque (l. 4), personnage d’homme de bien (l. 9), tous les personnages (l. 9), le verbe

non, ne mens pas, c’est inutile. Pendsles au-dessus de l’évier. Quand comprendras-tu que cette chambre ne doit pas être souillée ? Tout, mais tout ! ce qui vient de la cuisine est crachat. Sors. Et remporte tes crachats ! Mais cesse ! Pendant cette tirade, Solange jouait avec une paire de gants de caoutchouc, observant ses mains gantées, tantôt en bouquet, tantôt en éventail. Ne te gêne pas, fais ta biche. Et surtout ne te presse pas, nous avons le temps. Sors ! Solange change soudain d’attitude et

ne mens pas, c’est inutile. Pendsles au-dessus de l’évier. Quand comprendras-tu que cette chambre ne doit pas être souillée ? Tout, mais tout ! ce qui vient de la cuisine est crachat. Sors. Et remporte tes crachats ! Mais cesse ! Pendant cette tirade, Solange jouait avec une paire de gants de caoutchouc, observant ses mains gantées, tantôt en bouquet, tantôt en éventail. Ne te gêne pas, fais ta biche. Et surtout ne te presse pas, nous avons le temps. Sors ! Solange change soudain d’attitude

nous pourrons fixer les divers moments (début, fin). En fait, la structure du discours nous révèle l’immense déséquilibre qui s’instaure dans le dialogue entre la reine et le vassal. En effet, l’intervention de Fière, qui prend la forme d’une longue tirade, ne compte pas moins de vingt vers, tandis que la réplique de Grimbert n’est constituée que de huit vers dont six (nous le verrons plus tard) ne sont qu’une accumulation de clichés vides de sens. Une disproportion s’établit donc entre les deux interlocuteurs

solidaires. Quitte la Comédie Française. Part aux états-unis. Ambitions. Cinéma. Directrice de théâtre. Hamlet. Critiques des habitudes de la Comédie Française par détours tout en faisant l'éloge de l'acteur jouant Hamlet lui même. Conventions comme les tirades à la rampes. Lourdement représenter. Mise en scène illusionniste qui écrase l’événement théâtrale. Cours + - les observateurs du phénomène du mélodrame qui a fasciné les contemporains associent la fortune du mélodrame au climat qui règne en france

(extrait du roman) • Courrier fictif de lecteur • Marcel Pagnol, Marius (extrait de la pièce de théâtre) • Écrits de travail – Expliquer les sens du mot « concession » – Analyser le rôle des concessions dans une argumentation – Rédiger une tirade à visée argumentative présentant au moins deux concessions • Amin Maalouf, Origines (extrait de l’autobiographie) • Philippe Labro, L’Étudiant étranger (extrait du roman) • Lecture cursive – Lire les extraits et les mettre en relation avec la

souhaiterait n’offrir qu’à lui. II. Une argumentation faussement bien ficelée a. Le père connaît tous les ressorts de la rhétorique. En vous attachant aux arguments, aux exemples et aux connecteurs logiques, étudiez l’organisation de sa longue tirade. En apparence, le discours du père jésuite semble très structuré. On peut aisément en repérer l’organisation aux connecteurs logiques d’addition : « premièrement », « secondement », « troisièmement », « quatrièmement ». À plu‑ sieurs reprises

déformée du monde, le roman peut adopter un point de vue subjectif volontairement délirant : c’est le cas dans Voyage au bout de la nuit de Céline où la folie du monde (horreur, guerre, misère, abjection) se rejoue dans celle du personnage de Bardamu. – Certaines esthétiques qui mettent en valeur le point de vue personnel du créateur favorisent la liberté dans la représentation du monde : place et rôle du tempérament de l’écrivain chez Diderot, qui peut aller jusqu’au délire de l’enthousiasme

déformée du monde, le roman peut adopter un point de vue subjectif volontairement délirant : c’est le cas dans Voyage au bout de la nuit de Céline où la folie du monde (horreur, guerre, misère, abjection) se rejoue dans celle du personnage de Bardamu. – Certaines esthétiques qui mettent en valeur le point de vue personnel du créateur favorisent la liberté dans la représentation du monde : place et rôle du tempérament de l’écrivain chez Diderot, qui peut aller jusqu’au délire de l’enthousiasme

amorcée dans la première scène, est complète dans la dernière scène. 3 Les analepses a) L’analepse principale : un personnage d’un autre temps face à des  personnages de leur temps. Le récit enchâssé en analepse du colonel se fait en trois tirades successives. Ce récit rétrospectif qu’il fait à Derville, il le fait aussi au lecteur, usant du système théâtral de la double énonciation. Le premier est un passé glorieux et identitaire, le second un passé d’errance et de perdition qui annonce