Tirade Hernani Tragique

124) (Roméo) - m inquiétude du spectateur que cet amour soit impossible Mini conclu : des similitudes avec celui de Shakespeare mais scène un peu tournée vers le ridicule, ex: Cyrano : gros nez, laid, physique, + âgé → un mélange de comique et de tragique qu'il n'y a pas chez Shakespeare (Shakespeare seulement lyrique) b) critique de la préciosité : Rostand fait son Molière, comme dans Les Précieuses ridicules. C'est une parodie de la critique de la «Précieuse ridicule ». D'ailleurs la pièce Cyrano

création théâtrale au cours des derniers siècles. Lis ce qui suit. ve la rs 1- Évolution de la production théâtrale Dès l’origine, le théâtre a évolué selon deux grandes tendances, le comique et le tragique. La tragédie et la comédie atteignent leur apogée au XVIIe siècle. Le tragique au théâtre est toujours un conflit intérieur où un personnage est tiraillé entre des valeurs nobles : l’amour contre le devoir filial ou la raison d’État. Ainsi, les tragédies de Corneille montrent des héros

légitime, l’autre non. Rédigez ce dialogue. | |La poésie engagée (corpus 8, p. 323) |Questions : 1) Quelle image se dessine dans ces quatre poèmes ? | |- Aubigné, « Misères », Les Tragiques |2) Identifiez le registre de chacun des poèmes. Justifiez votre réponse. | |- La Fontaine, « Les Obsèques de la lionne », Fables |Commentaire : La Fontaine, « Les Obsèques de la lionne », Fables VIII | |VIII

le héros tragique est tjs seul       la tragédie concerne des rois ou des princes       rappel définition : la tragédie est née en Grèce et s’inspire des mythes de l’Antiquité. Elle met en scène des personnages en lutte contre un destin  qui les dépasse et s’achève par la mort du héros pr susciter la terreur et la pitié. Au XXème siècle, plusieurs dramaturges se st illustrés dans ce genre : Racine et Corneille st les + célèbres. Au XXème siècle, la fatalité divine disparaît, le tragique naît du

de ce siècle. Comme tous les modules d’Histoire littéraire, ILF II demande une grande participation de l’apprenant dans son apprentissage. En ce sens, nous vous invitons à lire les textes suivants : R. de Chateaubriand, Renée V. HUGO, Ruy Blas Hernani H. de Balzac, le Père Goriot STENDHAL, le Rouge et le Noir Flaubert, Madame Bovary ZOLA,l’Assommoir Introduction générale au module Qu’est-ce qu’un mouvement littéraire ? Cette notion, essentielle à la lecture historique de la littérature

(corpus 8, p. 323) |Questions : 1) Quelle image se dessine dans ces quatre poèmes ? | |- Aubigné, « Misères », Les Tragiques |2) Identifiez le registre de chacun des poèmes. Justifiez votre réponse. | |- La Fontaine, « Les Obsèques de la lionne », Fables

Microsoft Word - SYNTHESE SUR RUY BLAS.docxSYNTHESE 
  SUR 
  RUY 
  BLAS 
   
   RESUME 
  DE 
  LA 
  PIECE 
  : 
   Exilé 
  par 
  la 
  reine 
  d'Espagne, 
  Don 
  Salluste 
  décide 
  de 
  se 
  venger 
  d'elle. 
  Il 
  enjoint 
  son 
  cousin 
  Don 
   César 
  de 
  l'aider. 
  Devant 
  le 
  refus 
  de 
  celui-­‐ci, 
  il 
  le 

Canuts », 1831 - Hugo, « Le manteau impérial », Les Châtiments - Emmanuel, « Hymne de la liberté », Jour de colère Annexe : Sartre, Qu’est-ce que la littérature ? HATIER Annabac 2006 La poésie engagée (corpus 8, p. 323) - Aubigné, « Misères », Les Tragiques - La Fontaine, « Les Obsèques de la lionne », Fables VIII - Hugo, « Chanson », Les Châtiments - Eluard, Liberté, « Poésie et vérité », Au rendez-vous allemand NATHAN Interro des lycées 2008 Poésie et imaginaire (STG – sept 2007) - Baudelaire

Canuts », 1831 - Hugo, « Le manteau impérial », Les Châtiments - Emmanuel, « Hymne de la liberté », Jour de colère Annexe : Sartre, Qu’est-ce que la littérature ? HATIER Annabac 2006 La poésie engagée (corpus 8, p. 323) - Aubigné, « Misères », Les Tragiques - La Fontaine, « Les Obsèques de la lionne », Fables VIII - Hugo, « Chanson », Les Châtiments - Eluard, Liberté, « Poésie et vérité », Au rendez-vous allemand NATHAN Interro des lycées 2008 Page 4 sur 37 Sonia LE PAPE – 2009-2010 Poésie et imaginaire

dans la tragédie grecque. Destin : on parle du « fatum », du destin, qui écrase le héros tragique. Or il s’agit là d’un mot latin ! Dans la tragédie grecque, la fatalité porte le même nom que l’erreur : « l’atè ». C’est « l’hybris » (l’arrogance funeste) détestée des grecs foncièrement égalitaires qui, par le sentiment de supériorité qu’elle inspire, mène à l’erreur, à la faute, à l’atè. Le héros tragique est victime à la fois de la volonté des dieux, d’un coefficient de hasard et de son erreur