Tiramakhan Traore

Tiramakan étend le pouvoir du Mali vers l'ouest et fonde le royaume Kaabu1. Au cours de ces conquêtes, il aurait vaincu le roi baïnouk Kikiko et annexé son royaume2,3. Selon Wa Kamissoko, qui réfute une tradition selon laquelle la tombe de Tiramakan se trouverait en Gambie, Tiramakan a sa tombe dans le village de Barazan, à une vingtaine de kilomètres au sud de Kangaba, dans l'ancienne superficie du territoire de Kanniokon qui formait le domaine de Tiramakan4. La tombe de Tiramakan est ornée par

                          Un produit du travail collaboratif entre des enseignants africains. Alpha Faguimba Kone (Mali) Benromdane Sami (Tunisie) Celestin Atinkdokpo (Benin) Kamtcheu Honoré (Cameroun) Mangane Nsayi Destin Judicaël (Benin) Moussa Traoré (Mali) Saidou Boulhassane Abdourahamane (Niger) Simplice Tankoua (Cameroun) Tromo Yves (Côte d’Ivoire) Victor Ladjekpo (Togo) … Ce livre reste ouvert à la contribution de tous jusqu’en mars 2010. Pour participer c’est simple. Scannez vos sujets et

malien né à Bamako en 1928. Après des études de médecine à l’université de Montpellier en France, il rentre au Mali. Il est nommé ministre de la Coordination économique et financière et du Plan le 17 septembre 1962. Lors du coup d’État de Moussa Traoré en 1968, il est déporté à Kidal puis s’exile à Dakar au Sénégal. Dans ses propos de citoyen libre, l'auteur de l'hymne national du Mali, n'a pas dérogé aux qualités qui font sa réputation : le franc-parler et le respect de l'autre : « Je suis comme

l'Économie rural et du Plan. Lors du remaniement du 17 septembre 1962, il devient ministre du Développement. Il défend l'existence d'un parti unique dans l'Afrique post-colonial, seul moyen selon lui de créer la Nation. Lors du coup d’État de Moussa Traoré en 1968, il est déporté à Kidal puis s’exile à Dakar au Sénégal. En 1997, il est candidat à l'Élection présidentielle mais décide, comme la plupart des autres candidats opposés au président sortant Alpha Oumar Konaré, de retirer sa candidature pour

l'hymne national du Mali , l' Afrique et Verser pour toi , Mali . Dans le plan du 17 Septembre , 1962, il a été nommé Ministre de l'économie et de la coordination financière , mais , avec le coup d'Etat de 1968, et la montée à la présidence de Moussa Traoré , il fut déporté à Kidal avant d'être exilé à Dakar , au Sénégal . Associée depuis ses débuts avec le Soudan Union - Rassemblement démocratique africain , il a été retiré de la partie en 1998 pour avoir une partie opposée de son plan visant à refuser

Moussa Traoré prêt pour sa dernière diatribe du 24 mars 1991 qui ne sera pas diffusée. © A2/Archives J.A. Pour la commémoration du renversement de Moussa Traoré, il y a vingt ans jour pour jour, jeuneafrique.com réédite un document exceptionnel, publié dans J.A. n° 1580 du 10 au 16 avril. Il s'agit d'une déclaration en bambara faite par l'ex-dictateur pendant les dernières heures de son règne, mais qui n'a jamais été diffusée. Moussa Traoré a bien été chassé du pouvoir, emporté par le torrent

Proche du premier président Modibo Keïta, il écrit les paroles de l’hymne national, Pour l'Afrique et pour toi, Mali. Il est nommé ministre de la Coordination économique et financière et du Plan le 17 septembre 19621. Lors du coup d’État de Moussa Traoré en 1968, il est déporté à Kidal puis s’exile à Dakar au Sénégal. Militant de la première heure de l’Union soudanaise-Rassemblement démocratique africain, il en avait été exclu en 1998 pour s’être opposé à une partie de la direction qui prônait

l’économie rurale et du plan. Lors du remaniement le 17 septembre 1962, il devient ministre du développement. Il défend l’existence d’un seul parti unique dans l’Afrique post colonial, seul moyen pour lui de créer une nation. Lors du coup d’état de Moussa Traoré en 1968, il fut déporté à Kidal puis s’exile à Dakar. Militant de la première heure de l’union soudanaise rassemblement démocratique africain. Il en est exclu en 1998 pour s’être opposé à une partie de la direction qui prônait le non reconnaissance

Le Mali offre l ‘exemple d’une transition réussie par rupture avec le régime antérieur, en l’occurrence le régime du Général Moussa Traoré, au pouvoir de 1968 à 1991. Celui-ci s’appuie sur l’armée et le parti unique, l’Union Démocratique du Peuple Malien (UDPM). Mais dès 1990, des voix commencent à s’élever pour réclamer la libéralisation du régime. Le Président Traoré s’étant prononcé contre le multipartisme, en juin le Congrès du parti renvoie la discussion sur la question à l’année suivante. En

Proche du premier président Modibo Keïta, il écrit les paroles de l’hymne national, Pour l'Afrique et pour toi, Mali. Il est nommé ministre de la Coordination économique et financière et du Plan le 17 septembre 1962. Lors du coup d’État de Moussa Traoré en 1968, il est déporté à Kidal puis s’exile à Dakar au Sénégal. Militant de la première heure de l’Union soudanaise-Rassemblement démocratique africain, il en avait été exclu en 1998 pour s’être opposé à une partie de la direction qui prônait