Tiret

oui ou non (as-tu des enfants ? …) et une question ……………………… est une question dont la réponse ne peut pas être oui ou non (pourquoi, comment, combien, quel… mots à placer : interview – intervieweur – thème - interviewé – titre – guillemets (x2) – tiret fermée – ouverte - tout L’interview Quand je pose des questions pour apprendre de nouvelles choses et que je le publie dans un journal, je réalise une interview. La personne qui pose les questions est l’intervieweur et la personne qui répond aux

meurs de faim. - Ron, tu as toujours faim », dit Hermione. Les tirets * * Ils annoncent une explication, une énumération ou une

trait d’union, tiret de coupure fin de ligne, tiret de mot composé. - Il ne faut pas d’espace avant MAIS un espace après les signes de ponctuation suivants : point, points de suspension, virgule, astérisque, degré d’angle, minute d’angle, seconde d’angle, tiret d’énumération. - Il faut un espace avant ET après les signes de ponctuation suivants : point-virgule, point d’exclamation, point d’interrogation, deux points, signe arithmétique, accolade, tiret ouvrant le dialogue, tiret séparant les mots

carbonée dans la ramification (pour B meth car un seul carbone) o en ajoutant i-yl où i est l'indice de position Si plusieurs chaînes latérales sont présentes, elles sont énoncées dans l'ordre alphabétique. Le nom des groupes est alors séparé par un tiret, le dernier étant, lui, accolé au nom de la chaîne principale. Les trois isomères du pentane sont appelés : pentane : 2-méthylbutane : 2,2-diméthylpropane : Vous pouvez voir les formes topologiques de ces isomères :  La présence de

LE BUFFETINTRODUCTION : Ce sonnet d’Arthur Rimbaud intitulé « le buffet » a été écrit en 1870 et publié dans le « cahier de Douai ». Dans ce sonnet l’auteur fait d’un simple objet du quotidien le sujet principal de son poème . L’objet apparemment banal se transforme progressivement sous nos yeux pour devenir un objet insolite, voire surnaturel. Nous allons étudier comment Rimbaud démontre les pouvoirs

superlatif « plus » qui contribue à l’effet crescendo de ces derniers vers. L’Ennui est présenté après un présentatif (C’est l’Ennui !) et est fortement accentué en début de vers. La ponctuation est forte ( point d’exclamation et tiret) La description est séparée par un tiret ( ponctuation forte) et vient comme de façon annexe. L’allégorie en fait un personnage oriental cruel et indolent : « rêve », « fumant ». Il y a donc dans ces derniers vers un paroxysme savamment ménagé par le poète. II – Un

1) Ce n’est pas un dialogue de théâtre !!! on ne met plus de didascalies ! on ne met plus les noms des personnages avant la parole ! 2) On les remplace par des TIRETS ou GUILLEMETS (et on ne met JAMAIS les DEUX ENSEMBLE !!) D’ailleurs la leçon vous encourageait à n’utiliser que des tirets, pour être sûr de ne pas faire d’erreur ! DIALOGUE de THEATREDIALOGUE de RECIT M. JONES à son épouse : Venez très chère. Dépêchons-nous

vers) et « (...)arriéré »(14ème vers). « (...)d'une gousse »(12ème vers) et « sa mousse »(13ème vers). •Forme verbale : Le texte est au passé et entre les tirets (vers 3,9 et 13) il est au passé simple car, il se passe une action. Durant cette action on se trouve dans la tête du personnage(point de vue interne). En dehors des tirets, il narre donc c'est à l'imparfait (point de vue externe). •Ponctuation : Il y a plusieurs rejets dans ce texte. Dans la strophes 1 , vers 3 : « des tartines→De

permettent d’encadrer les paroles ou écrits de quelqu’un (citation). Ils encadrent un discours direct. Ex : « Quand je regarde l’Histoire, j’y vois des heures de liberté et des siècles de servitude. » (Joseph Joubert) Les tirets : *On les utilise Dans un dialogue, le tiret indique le changement d’interlocuteur. Ex : Bonjour ! Comment allez-vous ce matin ? _Très bien, merci. Et vous ? _Un peu fatigué aujourd’hui. *Ils encadrent une phrase ou un segment de phrase. Ex : Si vous aimez le chocolat-et

péjoratifs et inquiétants : - atmosphère étouffante : « nuit sans air » (fait écho à la date finale qui renvoie à la chaleur étouffante des nuitsd'été : «juillet »)=> impression de malaise et d'oppression - rupture avec le tiret qui annonce une ambiance inquiétante : brutalité du verbe « plaquer » et l'expression « métal clair » : éclairage brutal, violent, froid à l'image des consonnes occlusives [ p, k , t] (vers 2 et 3). L'idée d'oppression survient à nouveau avec le terme