Tirso De Molina Le Séducteur De Séville Dénouement

mêle les classes sociales (valets et nobles), est souvent centrée sur une histoire d’amour qui, d’abord contrariée, finit par pouvoir se vivre entre les amants, avec l’accord de la société. La pièce connaît un dénouement heureux. Que savez-vous de Don Juan ? Qu’il est un éternel séducteur, mais aussi un défendeur d’une certaine philosophie (le libertinage). En quoi ce personnage est comparable à Œdipe, Roméo et Juliette, qui ont eux aussi marqué les esprits ? Dom Juan est un mythe, une abstraction

« naufrage de Don Juan » (tiré de l'oeuvre de Byron) de Delacroix, peintre majeur du XIXème auquel Baudelaire rend hommage dans « Les Phares », mais aussi bien sûr par l'oeuvre de Molière, qui, lui-même a réécrit l'oeuvre de Tirso de Molina  El Burlador de Séville (L'Amuseur de Séville) Le poème s'inscrit donc dans un contexte d intertextualité esthétique entremêlant réécriture littéraire et interprétation picturale revendiqué par Baudelaire qui, tout en reprenant l'intrigue là où l'avait laissée

d’une narration ou d'un récit dramatique Exposition : partie initiale d'une œuvre littéraire, où l'auteur expose l'intrigue et présente les différents personnages. Nœud : moment d'une histoire où l'intrigue atteint la plus grande complexité Dénouement : Le point où aboutit et se résout l'intrigue d'un roman, d'une pièce de théâtre, d'une affaire, etc. Péripétie : changement brusque de situation dans un roman, une pièce de théâtre. Evénement imprévu. Acte : division d'une pièce de théâtre

d'impiété que Molière écrit Dom Juan qui met en scène la vie de débauché d'un libertin et sa condamnation finale par Dieu. Création de Dom Juan : La première version écrite de l'histoire de Don Juan est L'Abuseur de Séville (1630), une comédie de l'auteur espagnol Tirso de Molina (1583-1648). Cette pièce baroque reprend la morale chrétienne : Don Juan est un trompeur qui multiplie les mauvaises actions et remet sans cesse son repentir au lendemain ; il est foudroyé pour n'avoir pas su demander

TRANSMISSIONS LITTERAIRES 15/10/14 DOM JUAN I- Dom Juan du mythe à la scène Réécriture d'un texte espagnol de Tirso de molina, connaissnce indirecte de Molière via la commedia dell' arte et représentations faites par les italiens. Dom Juan est devenu une antonomase, nom propre qui est devenu un nom commun. Question morale de Dom Juan complexe chez Molière. Près de 3000 réécritures du mythe, réécriture musicale (Mozart avec Don Giovanni) , Thomas Corneille également. Personnage qui fascine

de Molière. b. le sujet Molière choisit le mythe de Dom Juan, très utilisé à l'époque. On trouve en effet différente versions de Dom Juan avant l'œuvre de Molière Il s'inspire de L'abuseur de Séville et le Convive de Pierre, de l'auteur espagnol Tirso de Molina. Dom Juan y est un séducteur cynique et un sacrilège. D'autres versions italiennes et françaises existent, mais demeurent sans grand intérêt. Molière reprend donc ces éléments (personnages de Dom Juan et du Commandeur, rapport avec

littéraire entre texte et représentation Sommaire Cours - Séance - Séance - Séance - Séance - Séance - Séance I- Découvrir le personnage de Dom Juan II- Une scène d’exposition paradoxale III- L’autoportrait de Dom Juan IV- La tentation du pauvre V- Le dénouement et la mise en scène du surnaturel VI- Bilan : Une pièce mêlée Questions d’analyse : questions de préparation et éléments de correction - La structure de la pièce - Maître et valet - Les personnages secondaires dans Dom Juan : questions de préparation

Séquence n°2 : Quand Dom Juan oscille entre comédie et tragédie Séance n°3 : Un séducteur libertin, la tirade de Dom Juan Lecture analytique n°2 : Dom Juan de Molière (acte I scène 2) - Auteur = Jean-Baptiste Poquelin (1622/1673) né dans famille de tapissier (perd sa mère à l’âge de 10 ans) – collège jésuite. Refuse charge + monte la troupe « L’Illustre Théâtre » (rencontre Madeleine Béjart + Tiberio Fiorelli) inspiré par la commedia dell’ arte – banque route – emprisonner plusieurs fois – en

théâtre durant la période baroque tels que Corneille (Comédies, L'Illusion comique) et Molière (Dom Juan ou le Festin de pierre) en France ; Shakespeare (Roméo et Juliette) en Angleterre ; Tirso de Molina (Marthe la dévote, comédie ; le Trompeur de Séville, drame historique) et Lope de Vega (l’Etoile de Séville, Aimer sans savoir qui, comédies) ou Calderon (La Vie est un songe) en Espagne. Le théâtre baroque peut se définir, dans un premier temps, comme le négatif du théâtre classique. À l’analyse

quatre font huit, il insinue que la religion est une chose absurde, impossible, une sorte de blague, il préfère croire à des choses plus sérieuses, logiques qui ne sont pas dénuées de sens. Cette pièce est à la fois une tragi-comédie, puisque le dénouement est tragique, mais aussi une comédie-baroque, puisque elle ne respecte pas les règles d’unité de lieu et de temps, et aussi parce que la mise en scène utilise de nombreuses machines. Le sous-titre Le Festin de Pierre, n’a pas de signification