Tirso de Molina

d'une disparition suspecte, encore moins du miracle de la statue de pierre qui s'anime pour punir un débauché3. Il est beaucoup plus vraisemblable de croire que le succès de la pièce du moine espagnol frère Gabriel, plus connu sous le nom de Tirso de Molina, (qui met en scène un personnage de jeune débauché avide de jouissance, personnage assez habituel dans les comédies espagnoles des XVIe et XVIIe siècles) est à l'origine de la légende3. Mais ce sont les éléments surnaturels qui ont le plus contribué

s'inscrit dans une tradition du théâtre (mort/morale/châtiment) et en même temps c'est un dénouement atypique (présence du surnaturel et du comique).Cette fin inscrit l'oeuvre de DJ dans la réecriture d'un mythe. -Dans L'abuseur de séville de Tirso de Molina DJ est prêt a se confesser alors que chez Mozart DJ est plus têtu est encore plus en accord avec ces principes.

et le burlesque à travers les répliques de Sganarelle (réflexion sur le tabac ou encore tentative de conversion de Sganarelle) J'oubliais, s'il s'agit d'une étude d'ensemble, n'oublie pas de présenter la pièce (et celles qui l'ont inspiré : Tirso de Molina, Dom Juan), son contexte d'écriture (suivant la censure de Tartuffe) et les visées de son auteur (je te laisse chercher; je te donne une piste toutefois, pense à la critique des dévots, représentant de l'Église et faux pratiquants de la religion)

ACTE 5, Scène 5 et 6 : Le dénouement Introduction : C’est en s’inspirant de la pièce El burlador de Sevilla créée par Tirso de Molina, qu’en 1665 Molière publie Dom Juan. Cette pièce de théâtre relate les aventures d’un libertin. En effet, Dom Juan qui agissait sans contrainte ni pitié va être puni est cela prévisible depuis l’acte III. En outre, ce dénouement se fait attendre, et se précipite en deux courtes scènes : ce qui est contraire au règles du dénouement classique. Nous allons maintenant

Après la censure de « Tartuffe » dès le premier spectacle car jugée inacceptable par l’Eglise, Molière a besoin d’une nouvelle œuvre pour renflouer les caisses de sa troupe et s’inspire pour cela d’un personnage mis à la mode par l’espagnol Tirso de Molina avec l’écriture de « Dom Juan ». Le personnage dont le titre de l’œuvre est éponyme n’a qu’un rêve : aimer les femmes, les posséder toutes. Il consacre sa vie à ce jeu cruel, il va jusqu’à tuer pour satisfaire son désir. Il le présente comme un

littérature Il touche tous les domaines artistiques : Sculpture, peinture, architecture, théâtre et la musique. I/ Non respect des règles classiques : Au milieu du XVII siècle, époque du classicisme, Molière décide de reprendre le mythe de Tirso de Molina en bouleversant les règles classiques du théâtre et en présentant Dom Juan comme un héros baroque. --> En effet Molière ne respecte aucune des règles classiques : Unité de ton : La pièce est comique par de nombreux aspects (omniprésente

XVIIe siècle à nos jour / le texte théâtral et sa repésentation Le mythe baroque de Don Juan n'a cessé de fasciner la littérature européenne depuis sa première apparition littéraire dans El Burlador de Sevilla y el Convidado de Piedra de Tirso de Molina en 1630. Rien ne semble pouvoir arrêter ce séducteur invincible, toujours en quête de plaisir ici-bas. Défiant la morale et la religion, ce rebelle lance un défi à la société tout entière. Son libertinage nécessite donc l'apparition d'une puissance

cela s’explique non seulement par le fait que le personnage de Don Juan est atemporel mais aussi que ce mythe traite de passions universelles. Dans cette première partie nous verrons que Don Juan est un héros atemporel. En effet, l'œuvre de Tirso de Molina, parue en 1630, a été reprise maintes fois à travers les siècles, comme nous le montrent ces trois extraits, datés aussi bien du XVIIème, du XIXème ou du XXème. Cela peut s’expliquer par l’atemporalité de la nature humaine : les passions et les

 Critique de Dom Juan mis en scène de Mesguich Dom Juan ou le Festin de Pierre est une pièce de Molière, (réécriture de la pièce initiale de Tirso de Molina) mise en scène par Daniel Mesguich, qui interprète également le personnage principal, Dom Juan. « Ne cherchez pas, il ne s’agit pas de présenter le «vrai» Dom Juan, celui «de Molière, quoi». [...] En réalité, le théâtre est, essentiellement, anachronisme. [...] Dom Juan, dit-on est une pièce à machine. Eh bien, nous essaierons joyeusement

fois en 1665, connaît un bien ample jusqu’à ce qu’il soit in petto interdit par le roi sous la attouchement des dévots qui mortifier de faire interdire tartuffe. En effet, cette pièce, qui reprend un sujet à la mode déjà illustré par l’espagnol tirso de molina, est une drame qui raconte la vie dissolue d’un libertin. Si molière est croire tandis que un classique, Dom Juan est néanmoins une pièce d’un genre hybride, une tragi-comédie, qui fait plus d’une entorse aux théorie classiques, ainsi elle refuse