Toi La Seule Et J Entend Les Herbes De Ton Rire

l'Irlande, son deuxième coup la sauve du taureau géant qui la terrorisait... Branwen En effet. Mais comment as-tu percé ce secret ? Yseult Peu avant son départ d'Irlande, je cherchai à connaître sa destination mais aucun marin ne la savait. Restée seule, l’idée me vint d’utiliser ma science pour le retrouver. Ainsi, je me changeai en corneille et scrutai inlassablement tous les palais de toutes les îles de Bretagne. Après onze lunes de quête, je le retrouvai enfin. Il était Tristan de Loonois,

bon. Elle avait le bleu regard, — qui ment ! À sept ans, il faisait des romans, sur la vie Du grand désert, où luit la Liberté ravie, Forêts, soleils, rives, savanes ! — Il s’aidait De journaux illustrés où, rouge, il regardait Des Espagnoles rire et des Italiennes. Quand venait, l’œil brun, folle, en robes d’indiennes, — Huit ans, — la fille des ouvriers d’à côté, La petite brutale, et qu’elle avait sauté, Dans un coin, sur son dos, en secouant ses tresses, Et qu’il était sous elle, il

matin, comme sorti de nulle part, il réapparaît, et on peut le voir jouer avec de grands moutons blancs poussés par des vagues éternelles. Très souvent, il s’amuse distraitement dans un jardin où il semble parler à des êtres irréels. Pour moi, sa seule présence berce bien souvent le sommeil de mes errances. Il est un ami que j’aime. Mon bateau est fait de bois et de malheur. Ses mâts fantomatiques s’élèvent jusqu’aux confins des nuages. Là, couchées dans des fonds marins souvent inaccessibles

plaie un baume bienfaisant. D’autres craignent encore un œil indifférent, Et les regards de l’homme et les bruits de la terre. Ils cherchent aussi l’heure où tout est solitaire, Dieu les voit, il bénit le bonheur des amants. Invisible témoin, il entend leurs serments. Il aime cet amour qu’il ne goûtera pas Et dans les bois, la nuit, il protège leurs pas. Il était là, son souffle errait sur la nature, Paraissait éveiller comme un vaste murmure, Tout ce qu’il a formé s’animait et, tremblant,

peux Un gnome dénommé Grimble Grumble Et de petits gnomes habitaient dans leurs maisons Mangeant, dormant, Buvant leur vin Il portait une tunique écarlate Un chapeau vert-bleu, ca lui allait assez bien Il eut une grande aventure Au milieu des herbes, l'air frais en fin de compte Buvant du vin, dinant, Attendant son heure Et puis un jour, Hourra! Une autre façon pour les gnomes de dire Houuurra! Regarde le ciel, regarde la rivière N'est-ce pas agréable ? Regarde le ciel, regarde la rivière

une chose. Ça vole. C’est un avion. C’est mon avion. Et j’étais fier de lui apprendre que je volais. Alors il s’écria : – Comment ! tu es tombé du ciel ! – Oui, fis-je modestement. – Ah ! ça c’est drôle… Et le petit prince eut un très joli éclat de rire qui m’irrita beaucoup. Je désire que l’on prenne mes malheurs au sérieux. Puis il ajouta : – Alors, toi aussi tu viens du ciel ! De quelle planète es-tu ? J’entrevis aussitôt une lueur, dans le mystère de sa présence, et j’interrogeai brusquement :

chose. Ça vole. C'est un avion. C'est mon avion. Et j'étais fier de lui apprendre que je volais. Alors il s'écria : — Comment ! tu es tombé du ciel ? — Oui, fis-je modestement. — Ah ! ça c'est drôle... Et le petit prince eut un très joli éclat de rire qui m'irrita beaucoup. Je désire que l'on prenne mes malheurs au sérieux. Puis il ajouta : — Alors, toi aussi tu viens du ciel ! De quelle planète es-tu ? J'entrevis aussitôt une lueur, dans le mystère de sa présence, et j'interrogeai brusquement :

C'est un avion. C'est mon avion. [pic]Et j'étais fier de lui apprendre que je volais. Alors il s'écria: [pic]-Comment! tu es tombédu ciel! [pic]-Oui, fis-je modestement. [pic]-Ah! ça c'est drôle... [pic]Et le petit prince eut un très joli éclat de rire qui m'irrita beaucoup. Je désire que l'on prenne mes malheurs au sérieux. Puis il ajouta: [pic]-Alors, toi aussi tu viens du ciel! De quelle planète es-tu? [pic]J'entrevis aussitôt une lueur, dans le mystère de sa présence, et j'interrogeai brusquement:

chose. Ça vole. C’est un avion. C’est mon avion. Et j’étais fier de lui apprendre que je volais. Alors il s’écria : – Comment ! tu es tombé du ciel ? – Oui, fis-je modestement. – Ah ! ça c’est drôle… Et le petit prince eut un très joli éclat de rire qui m’irrita beaucoup. Je désire que l’on prenne mes malheurs au sérieux. Puis il ajouta : – Alors, toi aussi tu viens du ciel ! De quelle planète es-tu ? J’entrevis aussitôt une lueur, dans le mystère de sa présence, et j’interrogeai brusquement

vole. C’est un avion. C’est mon avion. Et j’étais fier de lui apprendre que je volais. Alors il s’écria : – Comment ! tu es tombé du ciel ? – Oui, fis-je modestement. – Ah ! ça c’est drôle… Et le petit prince eut un très joli éclat de rire qui m’irrita beaucoup. Je désire que l’on prenne mes malheurs au sérieux. Puis il ajouta : – Alors, toi aussi tu viens du ciel ! De quelle planète es-tu ? J’entrevis aussitôt une lueur, dans le mystère de sa pré- sence, et j’interrogeai brusquement