Toit de chaume

hutte de sa mère qui portaient encore les légères traces de moulures de doigts. L’espace d’un instant, il aurait voulu être maintenant de nouveau là-bas, dans la hutte de sa mère, sous la sombre fraîcheur du toit de chaume ; ou dans la hutte de sa tata, la seule dans son village avec un toit de tôle ondulée. Sa tata tape sur la vitre. Ugwu pouvait voir les rideaux blancs derrière la porte. Une voie dit, en anglais, « Oui ? Entrez. »

| |Une maison | | Sur le toit de chaume, il y a des mauvaises herbes, de la mousse et un nid de cigognes. Les murs penchent, les fenêtres sont basses et une seule peut s'ouvrir. Le four ressemble à un ventre rebondi. Les branches d’ un sureau, qui se trouve à côté d’une mare où nagent

recouvraient son toit de chaume d’une toiture d’or » ça crée l’idée d’une solitude volontaire, l’érable couvre le soleil de la maisonnette donc il y a une atmosphère de mort, obscurité, la couleur jaune du toit et des feuilles s’engage a nous faire voir que c’est l’automne. Le passage parle de l’automne du paysage mais aussi de l’automne du personnage, il voulait déjà mourir la saison fait appelle à une mort prochaine. Un polyptote se met en place à la ligne 5 « son toit de chaume d’une toiture d’or »

s'oppose à l'espace public. Pourtant, contrairement à ce que l'on pourrait croire, la maison est autant le cadre de vie du travail des hommes que des femmes. Les paysans vivaient dans des cabanes fabriquées en torchis, sans fenêtre et le toit était en chaume (paille après la moisson). Les gens plus aisés avaient une maison plus grande (1 pièce principale et deux chambres), puis la population riche, qui avait une maison comportant plus d’une dizaine de pièces… I) La maison grecque On distingue

qui s'oppose à l'espace public. Pourtant, contrairement à ce que l'on pourrait croire, la maison est autant le cadre de vie du travail des hommes que des femmes. Les paysans vivaient dans des cabanes fabriquées en torchis, sans fenêtre et le toit était en chaume (paille après la moisson). Les gens plus aisés avaient une maison plus grande (1 pièce principale et deux chambres), puis la population riche, qui avait une maison comportant plus d’une dizaine de pièces… I) La maison grecque On distingue

découvert qu’elle aimait son père plus qu’elle a pensé. Elle revoit la vie mouvementé mais aussi très court de son père : elle commence à écrire un livre : LA PLACE. Le père a huit ans quand sa vie dur commençait. Il habite une maison basse, au toit de chaume, au sol en terre battue. Il manquait la classe à cause des pommes à ramasser, du foin, de la paille à botteler,…Et finalement son père, alors le grand-père d’Annie lui retirait de l’école pour le placer dans la même ferme que lui. Sa vie changeait

on découvre Charlot qui éprouve une passion pour Margueritte la fille du comte. Les techniques de tournage nous permettent de fusionner avec les personnages. On devine leurs pensées, par exemple celles de Charlot quand son regard part du vieux toit de chaume pour parcourir la chaumière riche et propre des Vallin. Le téléfilm me permet de partager les sentiments des personnages sans avoir à les imaginer : -la souffrance de Charlot par exemple lorsqu’il entend Jean déclarer qu’il prend pour fiancée

Près du feu, il y a un chat blanc, on voit aussi des oiseaux qui mangent des graines Il y a des femmes qui tissent de la laine de moutons car nous voyons un enclos remplit de moutons Les murs nus, sans décoration, sont en bois, le toit de chaume est surmonté d’une cheminée en osier tressé. Dans le fond, on aperçoit les deux seules fenêtres que comporte le logis. Elles sont très étroites. En général, il n’y a qu’une seule porte que l’on ferme –comme les fenêtres – de l’intérieur, au

chaumière, à travers le travail et les écrits de Van Gogh. « La chaumière au toit de roseaux m’a fait penser au nid d’un roitelet »[5]. Il explique comment le toit de chaume évoque aisément l’image du nid, « paille épaisse, grossièrement tressée », et comment, à travers ces deux images, se révèle l’image du repos et de la tranquillité, l’image de la maison simple. « La chaumière est posée sur la terre comme un nid sur le champ ». Le toit de la chaumière prend alors complètement la fonction d’abri.

Ce qui le rendait violent, surtout, c'était de voir chez lui quelqu'un de la famille plongé dans un livre ou un journal. Il n'avait pas eu le temps d'apprendre à lire et à écrire. Compter, il savait. (...) Ils habitaient une maison basse, au toit de chaume, au sol en terre battue. Il suffit d'arroser avant de balayer. Ils vivaient des produits du jardin et du poulailler, du beurre et de la crème que le fermier cédait à mon grand-père. Des mois à l'avance ils pensaient aux noces et aux communions