Toit-terrasse

correspond aux pilotis. Le rez-de-chaussée est transformé en un espace dégagé. De plus, les locaux humides et obscures sont supprimés. Enfin, le jardin passe sous le bâtiment. Deuxièmement, nous avons le toit-terrasse. Cela signifie le renoncement au toit traditionnel en pente. De cette manière, le toit est rendu accessible et sert donc de surfaces de loisirs ou de jardin. Troisièmement, le plan libre suppose la suppression des murs porteurs autorisé par la structure poteaux-dalles. Les murs porteurs

Détente Pièce 11 Pièce 12 Pièce 13 Pièce 14 Légende : Murs Fenêtres Portes NIVEAU TERRASSE SOLARIUM Salle de Peinture Salle de Danse Terrasse pas d’accès Solarium Terrasse Plantes pas d’accès Légende : Murs Fenêtres Portes II. Etat des lieux a) Constat général Nous nous sommes déplacés dans les

est destiné aux domestiques et au garage. Il y a également un solarium sur le toit. On accède au premier étage par une rampe en pente douce depuis l'entrée ou par un escalier en colimaçon. Une grande partie du premier étage est occupée par la terrasse qui donne sur une autre rampe qui mène au solarium. Les pièces de l'étage sont disposées autour de cette terrasse, à commencer par le grand séjour, séparé de la terrasse par une baie vitrée. Derrière ce séjour se trouve la cuisine fonctionnelle, avec

végétales pour les balcons et des grilles étonnantes pour les entrées de l'immeuble. • Sur la terrasse du toit, les sorties d'escalier sont de surprenantes sculptures hélicoïdales revêtues de trencadis ou collages à base de fragments de faïence et de cheminées, qui sont non sans rappeler des guerriers casqués : le tout est un espace fantastique et futuriste et surprenant pour les visiteurs. La terrasse révèle encore une fois le talent imaginatif de Gaudi. • Façade totalement insolite pour

moderne : Pilotis : Les pilotis sont des piliers plantés dans le sol qui servent à soutenir un bâtiment pour le tenir à au dessus du sol. Le toit-terrasse : Un toit-terrasse est un dispositif architectonique (en architecture, l'architectonique est l’art et la science de la construction) selon lequel le toit d’un bâtiment peut être utilisé comme espace à vivre, convivial ou de loisir. Le plan libre : Le but du plan libre est de gagner

façades ne sont pas porteuses, elles peuvent être percées par de longues fenêtres qui apportent lumière et transparence. Le toit-terrasse. Le toit plat permet de reconquérir un espace qui était perdu. Ce toit peut être aménagé en jardin. Intentions de l'artiste (ce que veut faire passer l'artiste dans son œuvre) Villa Savoye. Les rampes d'accès. Salon et toit-terrasse à travers la baie vitrée. Solarium. C'est une villa de week-end conçue à la demande de la famille Savoye (riche propriétaire

soutenant le bâtiment. C'est l'unité de base sur laquelle s'aligne tout le bâtiment. Seule exception à cette régularité, de grands canyons ou circulent les ascenseurs, des failles qui trouent le bâtiment de part en part. Les toiles métalliques du toit, montées sur des supports de béton créent des circulations d'airs et isolent thermiquement le bâtiment Les couloirs qui permettent d'accéder aux appartements sont des coursives extérieures accrochées à plan de façade. Les trois niveaux de coursives

est destiné aux domestiques et au garage. Il y a également un solarium sur le toit. On accède au premier étage par une rampe en pente douce depuis l'entrée ou par un escalier en colimaçon. Une grande partie du premier étage est occupée par la terrasse qui donne sur une autre rampe qui mène au solarium. Les pièces de l'étage sont disposées autour de cette terrasse, à commencer par le grand séjour, séparé de la terrasse par une baie vitrée. Derrière ce séjour se trouve la cuisine fonctionnelle, avec

objectifs des architectes, des maires et des habitants est de construire, créer et rénover nos villes de manière durable et écologique tout en conjuguant croissance économique et démarche écologique. Du recyclage des déchets au tramway électrique, des terrasses végétalisées aux panneaux solaires, tout est pensé afin de réduire les émissions de CO2, la consommation d’eau, la consommation d’électricité,… Un exemple très significatif de ce passage au vert dans l’architecture urbaine est le nouvel écoquartier

moderne ; une « machine à habiter ». Chaque habitant en a fait son « chez-soi ». Non seulement les couleurs ont disparu dans la quasi-totalité des cas, les fenêtres en longueur ont été raccourcies, les patios ont été refermés, nombre de terrasses ont été recouvertes de toit, les espaces vides laissés sous les pilotis ont été remplis et la floraison des cabanes ajoutée à la dégradation des ajoutée à la dégradation des surfaces contribuent à donner à l’ensemble un aspect des plus délabrés. Il y a un véritable