Tokyo Ville Mondiale

G1VE. La métropolisation un processus mondial différencié.docxG1. La métropolisation un processus mondial différencié PLAN DU COURS Introduction Problématique : En quoi la métropolisation influence l’organisation des territoires à différentes échelles I. Un monde majoritairement urbain A. La croissance urbaine mondiale B. Une hiérarchie urbaine dominée par les métropoles II. La métropolisation du monde A. Les caractéristiques de la métropole B. Les métropoles : un fonctionnement en réseau III. Les

et vieillissant) - Des populations très largement citadines (+ de 80%) et mobiles (1 Américain sur 6, 1 Français sur 10 déménage chaque année). Les villes sont partout le lieu où s’affiche le niveau du développement, avec des villes « mondiales » (New-York, Tokyo, Paris, Londres…) - L’exode rural est terminé dans les trois aires considérées, mais les campagnes connaissent une évolution contrastée : les campagnes proches des villes sont redynamisées par la « rurbanisation », les espaces ruraux

asiatique est formée d’éléments éparpillés sur une vaste superficie. La rapidité de son développement au cours des années 60 jusqu’à la fin des années 80 a incité beaucoup d’observateurs à considérer que cette aire asiatique pouvait changer l’équilibre mondial. Pourquoi l’Asie orientale est-elle une aire de puissance ? Pourquoi cette aire s’est-elle constituée ? À partir du modèle japonais ? Quelles sont les forces et les faiblesses de cette aire asiatique ? (Asie orientale : Japon, chine littorale, les

résiste mieux que les autres pays (taux de croissance de plus de 4%). c) Les années 90Dans ces années, la conjecture change et la Japon connait des taux de croissance du PIB et de la production industrielle les plus bas depuis la seconde guerre mondiale. C'est à ce moment que la croissance économique américaine connait une embellie et dépasse nettement la croissance japonaise, dont la situation s'aggrave avec la crise asiatique de 1997. Le Japon enregistre même un taux de croissance négatif en 1998

Quelques pistes de réflexion, Charrier ) espaces dynamiques, facteurs, limites. 2 INTRODUCTION : L’extrême-Orient asiatique suit une direction méridienne du Japon à Singapour, sur 5000 km. Cette région rassemble la mégalopole japonaise ( 2ème rang mondial ), la Corée du Sud ( 13ème ), la Chine littorale ( 4ème ), Taiwan ( 21ème ) et Singapour ( 45ème ), donc des éléments d’un pays de la triade, le Japon, les anciens NPIA ou « dragons », ainsi que la partie orientale d’un pays du « sud » particulier

Le Japon est le 11eme pays du monde le plus peuplé, il y a 127 078 679[ habitants. Sa superficie est de 377 835 km2, c’est un Pays de l’Asie de l’Est. Le Japon est nommé deuxième puissance économique mondiale, il se situe derrière les États-Unis et la Chine mais devant l’Allemagne et la France. I. Les contraintes naturelles. a) Une nature contraignante. Au Japon la population est régulièrement menacée par de violentes catastrophes naturelles (séismes, éruptions volcaniques, tsunamis,

japonaise est une vaste région littorale qui va de Sendai à Fukuoka en passant par Tokyo, Nagoya et Osaka. Elle concentre plus de ¾ de la population du Japon et l’essentiel de ses pouvoirs politiques et économique. C’est l’un des centres d’impulsion majeurs de l’économie mondiale. C’est le « Japon de l’endroit » Les agglomérations de la mégalopole sont les plus importantes du pays. Avec 34 millions d’habitants autours de Tokyo, 18 millions dans le triangle formé par Osaka, Kobe et Kyoto et 9 millions

le monde, elle est ouverte sur l'Ocean Pacifique qui permet donc aux flux de marchandises des Etats-Unis et de l'Europe de circuler, et aussi les echanges entre les differents pays de l'Extreme-Orient. Cette facade est “un noyau lourd du commerce mondial”. En effet, elle possede un fort potentiel d'investissement grace aux FMN et placent des investissements a l'etranger. La facade maritime de l'Asie Orientale est aussi une zone tres attractive, il y a une main d'oeuvre bon marche et les couts de productions

laquelle la présente étude porte sur ce que les géographes anglo-saxons appellent les « world cities », c’est-à-dire, au-delà de Londres et Paris, les agglomérations de New York et de Tokyo. Ces quatre grandes métropoles reviennent dans toutes les études internationales comme les quatre places dominantes de l’économie mondiale ; elles ressortent nettement devant les autres grandes agglomérations pourtant parfois très dynamiques comme Singapour, Taiwan ou Hong Kong ; on a rajouté dans cette étude la Silicon

devenu un monde urbain. La population urbaine mondiale est passée de près de 47 millions vers 1700 (taux d'urbanisation 8 p. 100) à 75 millions vers 1800, et à 335 millions en 1910 (taux d'urbanisation 19 p. 100). En 1950, la population urbaine mondiale regroupait environ 724 millions d'individus (33 p. 100 de la population totale), en 1980, 1,806 milliard et 3,15 milliards en 2005 selon les Nations unies. Plus d'un humain sur deux se presse dans une ville et un septième de la population habite une