Tombeau des Askia

à Tilemsi et la partie ancienne de Gao actuel et le long du fleuve au nord. Le site de saneye comportait un cimetière royal tandis que le second était  organisé au tour d’une mosquée et du tombeau des Askia. Trois dynasties ont régné sur la ville de sa fondation au 16ème siècle : les Dia, Sonny et les Askia. C’est vers 1010, que les souverains de la dynastie des Dia, convertis à l’islam, transfèrent la capitale de leur royaume de Koukia à Saneye sur la route commerciale qui reliait le soudan à

population Songhaï. La chefferie appartient aux Dia. Vers l'an 1000, l'un d'eux se convertit à l'islam et transfère la capitale à Gao, mieux située sur le Niger, au débouché d'une des grandes voies du commerce transsaharien. Gao abrite le tombeau des Askia où sont enterrés les derniers souverains de la dynastie Songhaï. Au nord ouest de la ville, dans la nécropole royale de Sané, ont été retrouvées des stèles épigraphiée en marbre du XIIème siècle (gravées en Espagne) Le Songhaï passe dans l'obédience

au Mali, au Zimbabwe, ...                                                                                                                Pyramide à degré de Meïdoum - Egypte                                                                    Tombeau de Askia, Mali . A.3. L'artisanat qui offre au chercheur de multiples objets de la vie quotidienne : appuis-têtes, peignes, vêtements tissés, sandales, balais, calebasses décorées, ...                                   Egypte : récipient 4ème millénaire

Mali, au Zimbabwe, ...                                                                                                                Pyramide à degré de Meïdoum - Egypte                                                                    Tombeau de Askia, Mali . A.3. L'artisanat qui offre au chercheur de multiples objets de la vie quotidienne : appuis-têtes, peignes, vêtements tissés, sandales, balais, calebasses décorées, ...                                 Egypte : récipient 4ème millénaire

(ampoules, disjoncteurs, prises, gaines). Le tourisme, encore circonscrit à quelques zones, se développe depuis quelques années. Citons notamment les sites classés au patrimoine mondial de l'humanité UNESCO : le Pays Dogon, Tombouctou, Djenné, le tombeau des Askia à Gao. Le Mali possède comme principales ressources naturelles des produits agricoles. En effet, 80 % de la population étant active trouve un emploi dans ce domaine. Les vingt autres pourcent sont dans l’industrie et les services. Leur production

ici bas. Cette apparente complexité se retrouve dans les conceptions africaines de la personne en relation avec la vie dans l’au-delà. A l’inverse de la tradition occidentale qui reduit le corps à n’être qu’une sorte de receptacle pour l’âme (un « tombeau », selon tradition socratique ; un « navire » selon Descartes), les Egyptiens réservaient un traitement particulier au corps sans vie, le khat . Le but étant de lui assurer encore une certaine dignité : c’est le sens même de la momification. De façon

terre. Le développement de la construction en terre crue s'étend sur tout le continent africain, produisant une diversité et une richesse architecturale impressionnante. On peut citer l'architecture des mosquées soudanaises du 13ème siècle, le tombeau des Askia du 14 au 16ème siècle. Australie et Nouvelle-Zélande La construction en terre crue est apparue avec les premiers colonisateurs. Toutes les techniques ont été utilisées dans un premier temps, mais aujourd'hui, deux restent majoritaires: le

- 47% des biens du patrimoine mondial sont en Europe et en Amérique du Nord, mais 8% dans les Etats Arabes.- Il y a 193 Etats membres de l’Unesco en 2019, mais depuis 2017 les Etats Unis et Israël ont quitté l’Unesco à cause d’un patrimoine → le Tombeau des Patriarches à Hébron, en Cisjordanie => l’Unesco l’a classé comme un bien palestinien, et Israël ne l’a pas accepté. - C’est un lieu religieux et sacré pour les 3 religions monothéistes → il y serait enterré plusieurs patriarches (Abraham,

tourisme de nature, en écotourisme et en tourisme naturel. Dans le cas spécifique du Mali ou le tourisme est toujours à l’état artisanal et soutenu par ses quatre sites classés par l’UNESCO ( pays dogon ; mosquée de djénné, tombeau des Askia et mosquée de Tombouctou) en particulier le pays dogon qui est le choix de nôtre étude ; le sable chaud du grand nord Mali, les circuits en pinasse du fleuve Niger, l’architecture cosmogonique des villages dogon, le Sigui (fête célébrée tout

tcheqa qui est employé. 7 L’alhor est un calcaire blanc local. 321 le milieu du 15ème siècle, correspondent à un moment de grande prospérité pour Tombouctou. L’essor commercial et intellectuel qui fait la renommée de la ville culmine pendant les Askia sous l’Empire songhoï. C’est aussi une époque de grand commerce transsaharien auquel participent activement les Maures. La mosquée de Sankoré aurait alors accueilli 25 000 étudiants devenant à ce moment une université prisée dans le monde musulman