Tonneau

des bonbons) et non d'une fin ; c'est-à-dire ce à quoi doit tendre le principe subjectif de mon action. LE DÉSIR : Platon : concept du tonneau percé. Un tonneau plein serait l'image du bonheur, de la plénitude. Un tonneau percé serait l'image du désir insatisfait. Toujours en train de revenir, mais jamais de solution. Alors on accumule. Le fait de remplir le tonneau serait l'image du temps perdu, que l'homme passe à chercher en vain, un sens à sa vie. Pour les stoïciens : Le désir est une puissance

qui s’acharnerait à remplir des récipients percés et fêlés ; ainsi l’âme intempérante est-elle une sorte de passoir qui laisse tout passer et ne retient rien, comme le tonneau des Danaïde. Calliclès se reconnaît dans cette image et avoue : « la vie de plaisir est celle où l’on verse et on reverse autant qu’on peu dans son tonneau ». En vérité le bonheur que l’on prétend trouver dans ce genre de vie nous échappe sans cesse : la vie intempérante veut toujours passer à autre chose, elle veut toujours

ses désirs serait les satisfaire sans exception, sans relâche, au fur et à mesure qu'ils apparaissent. Or ne s'agit-il pas là d'un processus sans fin ? Platon compare le désir au tonneau des Danaïdes. Selon la mythologie, les Danaïdes ont été condamnée à remplir d'eau un tonneau percé. De la même façon que le tonneau ne sera jamais rempli, le désir n'est jamais satisfait. À peine accompli, il renaît car de la satisfaction passée naît le regret qui est nouveau désir. En ce sens, accomplir tous ses

désirable. Le désir apparait alors comme producteur de valeurs. Satisfaire tous nos désirs contribue-t-il à notre bonheur ou vaut-il mieux les limiter ? Platon compare le désir au tonneau des Danaïdes. Selon la mythologie, les Danaïdes ont été condamnées à remplir d’eau un tonneau percé. De la même façon que le tonneau ne sera jamais rempli, le désir n’est jamais satisfait. A peine accompli, un désir renait car de la jouissance passée nait le regret de ne plus désirer. En se sens, accomplir tous

singulier il englobe l’ensemble des désirs au pluriel, or on sait que jamais un homme dans sa vie ne peut tous les assouvir ce qui parfois peut être à l’origine de souffrance. Platon compare le désir au tonneau des Danaïdes. Selon la mythologie, les Danaïdes ont été condamnées à remplir d'eau un tonneau percé. On voit à travers cette vision imagée du désir que tenter de l’assouvir sous n’importe quelle forme que ce soit, est considéré comme une tache répétitive et surtout impossible à surmonter. Mais

-Le jus de pomme est prêt. Il peut être bu ou vendu ainsi après avoir été mis en bouteilles, mais on peut aussi le transformer en cidre. Pour cela, il faudra le mettre dans un tonneau pendant une longue période. Durant cette période, le sucre va se transformer en alcool. Les impuretés présentent dans le tonneau seront évacuées par un trou spéciale (la bonde de fond). Pour savoir si le cidre est prêt, il faudra mesurer sa densité (son degré d'alcool). Dès qu'il a le goût recherché (vers le mois

l'amour. » Platon. Cette idée de vouloir toujours plus, de ne pas se contenter de ce qu'on a nous renvoie à l'image du tonneau percé de Platon. Platon dit qu'il y deux sortes tonneaux : un qui reste plein et un qui est percé. Le tonneau percé est celui que nous possédons : nous y remplissons nos désirs mais comme il est percé, il se videra toujours bien que l'on le remplisse donc le tonneau restera partiellement vide, ce qui veut dire que nous ne parviendrons jamais à satisfaire tous nos désirs, c'est

après avoir été « saccagé par la griffe et la dent féroce de la femme »,la femme est un bourreau dont le poète devient dependant,ainsi elle est source a la fois de plaisir et de souffrance.   Le dernier poème que j’ai choisi s’appelle « Le Tonneau De La Haine ». Comme son titre l’indique, le sujet principal sera bien la haine, un des sentiments évocateurs de la souffrance, mais elle en sera aussi protagoniste. La Haine sera ainsi confrontée à la Vengeance, deux sentiments généralement parallèles

est né à Sinope 413 ans avant JC et est décédé en 324 avant JC à Corinthe. Ce philosophe Grec aurait vécu sale et seul dans un tonneau, comme un ascète, sans aucun objet personnel. La légende dit même qu'il se serait débarrassé de son écuelle. Enfin et surtout, ce qui caractérise Diogène est son regard critique sur la société. Diogène est debout dans un tonneau, insensible à son manque d'hygiène corporelle et muni d'une lanterne. Il est connu pour s'être promené au milieu de ses contemporains

pouvoir et d’en avoir éprouvé la difficulté, qu’”il est plus facile de changer ses désirs que l’ordre du monde” : se satisfaire du contenu d’un dé à coudre plutôt que d’un tonneau, voilà la raison. Mais cette raison même peut être refusée : Gorgias affirmait préférer un tonneau percé qu’il faudrait sans arrêt remplir, plutôt qu’un tonneau bien fermé et empli des plus précieuses matières. Socrate lui répond que les désirs doivent être ordonnés : il fait ce choix de l’ordre, libre choix, d’une liberté qui