Toraja

INTRODUCTION En Sulawesi du Sud, en Indonésie, les Torajas sont un groupe ethnique indigène. Ils ont subi la colonisation hollandaise plutôt tardivement à partir de 1905. La plus grande partie de la population est chrétienne, le reste étant musulmans ou animistes, selon un système de croyances connu sous le nom de aluk (« la voie »). Le gouvernement indonésien a reconnu ces croyances animistes sous le nom de Aluk To Dolo, « la voie des Ancêtres ». Le mot Toraja vient du mot de la langue bugis « to riaja

XVI siècle pendant la période coloniale du pays. Néanmoins, certaines architectures sont traditionnels et n’ont été que très peu influencées par l’extérieur comme chez les Bataks, les Minangkabaus, les Dayaks, les Torajas ou encore les Danis. Maison Batak Allée de Maisons Torajas Entrée du Kraton Cirebon De nos jours, le modernisme architectural est apparu en Indonésie par Soekarno, un ingénieur civil responsable du lancement de grands projets architecturaux comme la Mosquée Istiqlal

sociales de marc Bloch à Strasbourg) . Sa thèse s'intitule, Tourismes et changements socio-culturels en Asie du Sud-Est : le cas des Toraja Sa'dan à Sulawesi-Sud en Indonésie en 2 tomes, présentée en 1996. Il est l'auteur de nombreux ouvrages axés sur l'Asie et le voyage dont les suivants: Cinq principaux ouvrages: - Tourisme, culture et modernité en pays Toraja, Indonésie, 1997 - En route pour l'Asie, 2001 - Désirs d'Ailleurs, 2004 - Voyage au bout du sexe, 2006 - Routes, éloge de l'autonomadie

esprits, les ancêtres ou encore les dieux. En fonction des sociétés dans lesquelles elle est étudiée, la transe est accessible par des rites gestuels, chantants, dansants, le manque de sommeil, l’assimilation de psychotropes … La transe, chez les Toraja Sa’adan observés par Dana Rappoport, se caractérise par des « scarifications, flagellations, sauts débridés, chutes »7. Les danse rotatives se retrouvent chez les derviches tourneurs au Pakistan ou en Inde ; les Gnawas amènent les possédés à des danses

(Ethiopie) * Huehuetenango (Guatemala) * Java (Indonésie) * Kenya AA (Kenya) * Kona (Hawaii) * Kontir Wild Forest (Éthiopie) * Maragogype (Brésil) * Moka (Yémen) * Peaberry (Tanzanie) * Tarrazu (Costa Rica) * Toraja Kalossi (Indonésie) * Yirgacheffe (Éthiopie) Robusta En général les robustas, plus riches en caféine, plus productifs, moins fragiles mais moins goûteux que les arabicas sont réservés à une production de qualité ordinaire permettant la diffusion

| | |De nombreux motifs de batik sont dotés d’un symbolisme et d’un sens3,12. Muslim M (58 ans), de Toraja (Sulawesi Sud), a montré un batik | | |de son district et expliqué le symbolisme des couleurs du motif à l’intention de la population de Toraja ; le noir symbolise la mort, le | | |rouge la vie, le jaune l’espoir, et le blanc la pureté (entretien du 09/08/08). Une des caractéristiques spécifiques des motifs

cependant d'anciens noyaux de peuplement, développés dans les niches écologiques favorables à l'agriculture vivrière que constituent les hautes vallées aux sols enrichis par le volcanisme, comme les pays Minangkabau et Batak à Sumatra, Minahasa et Toraja à Sulawesi. Les rapports entre côtes et intérieur structurent les territoires et les sociétés des grandes îles. Les littoraux non marécageux et les embouchures des grands fleuves, comme la Kapuas à Kalimantan ou la Musi à Sumatra, principales voies

notamment dans les petites îles de la Sonde, sont composés de quatre panneaux identiques présentant une double symétrie. Le coton, produit et filé sur place (parfois d'origine commerciale) est le matériau le plus couramment utilisé (chez les Batak, les Toraja ainsi qu'à Flores, Sumba, Roti, Savu et Timor), mais les ikat sur soie sont courants (à Aceh, à Palembang et dans l'île de Bangka, à Bali et chez les Bugis de Sud-Sulawesi). Dans ce cas, c'est généralement le fil de trame qui est "ikaté" selon

rythme plus ou moins rapide selon les lignages. Les mythologies qui font descendre les hommes des dieux sont générales au monde indonésien. Cette origine divine peut toutefois être réservée à l'aristocratie. Par exemple, dans les traditions bugis et toraja du sud de Célèbes, les nobles s'appellent To Manurung, "ceux qui descendent", sous-entendu des dieux. La tradition balinaise a repris la terminologie indienne des quatre varna, "warna" en balinais : * les brahmana, * les satria, * les wesia

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