Tôtes

air méprisant, font bande à part. Un peu plus tard, les voyageurs qui ont prévu de déjeuner à Tôtes n’ont pas trouvé la moindre auberge. Boule de Suif qui est la seule, qui ait emporté des provisions, elle les en partage. Rassasiés, ils apparaissent plus courtois avec elle. Naturellement, la conversation s’engage sur la guerre. [P. 547 — 759] Le soir, comme les voyageurs sont heureux d’être arrivés à Tôtes, un jeune officier prussien les oblige à descendre la diligence et les mène à l’auberge locale

commerçants, des grands bourgeois, des nobles, deux religieuses et deux marginaux : un « démocrate ». Mais quand la faim les pousse à manger les provisions qu’elle seule à penser à emporter, ils deviennent plus courtois avec elle. Arrivés dans la ville de Tôtes, un officier allemand les oblige à rester dans l’auberge jusqu’à ce que Boule de Suif cède à ses avances. La plupart des voyageurs se concertent pour pousser Boule de Suif à l’acte. Elle finit par se sacrifier et ils peuvent enfin repartir. Au retour

sauf Boule-de-Suif, et les autres n'osent lui demander de la nourriture jusqu'à ce que, la faim vainquant leurs préjugés, ils acceptent de manger avec elle les victuailles de son panier à provisions. Après quatorze heures de voyage, ils arrivent à Tôtes où la diligence est retenue par un l'officier allemand qui occupe la ville. Seul avec Boule-de-Suif, il lui fait des avances qu’elle repousse par patriotisme, comme elle se refuse à Cornudet, un des passagers qui veut profiter de la situation. Mais

de Boule de suif chez Pocket, il signale un fait-divers dont Maupassant a sans doute eu connaissance, paru le 5 janvier 1871 dans le Journal du Havre : « Une jeune comédienne, voyageant entre Rouen et Dieppe, fut arrêtée par un officier prussien à Tôtes, qui la conduisit dans l’auberge voisine pour vérifier ses papiers. Elle ne reparut que le lendemain matin et les voyageurs comprirent, en voyant le trouble de la jeune femme, ce qui s’était passé. » La genèse de la nouvelle est là. 2 - LE RÉSUMÉ

Elle était petite et ronde. Champ lexical : la rondeur ou la charcuterie p.19. Dans le texte elle est présentée comme un objet qu’on consomme. · P. 20 la diligence était vraiment très lente. Ils commencèrent à s’inquiéter, car ils devaient déjeuner à Tôtes et il était déjà 10 h du matin. L’embarcation était prise dans la neige, ça prit 2 h pour la dégager. · P. 21-22-23 les messieurs alla dans les fermes pour prendre des prévisions, mais ils trouvent juste du pain. Boule de Suif se penche à plusieurs

sentiments i els desigs de Natàlia com una dona. 3- Arribada de la guerra civil 3.1- en Quimet va a lluitar al front a la guerra. 3.2- la Natàlia va perdre el treball per la causa de Quimet i per mantenir la seva família va vendre totes les pertinències. 3.3- mort de Quimet 3-3.1- la Natàlia queda sense diners, no té ni per menjar. 3.3.2. Natàlia pateix molt, per això i després de la mort de Quimet, ella decideix a posar fi a la seva vida. 4- prometatge

Boule de Suif, is a fat, appealing prostitute. The two nuns are simple and spend most of the time praying. The passengers board a chilly train, the floor of which is covered with straw, and begin their long journey through the night and cold to Tôtes. Everyone begins to reach a point of breaking, as the trip is painstakingly slow and they are filled with discomfort from hunger and thirst. Unfortunately, no one but Boule de Suif has brought provisions for the trip, and since the wealthy, respectable

voyageurs contre Boule de Suif lorsqu'ils étaient à Tôtes, mais il n'avait jamais rien entrepris pour la défendre.  Alors, pas plus qu'auparavant, il n'agira.  Il digère ses oeufs, dans l'indifférence de ce que peut éprouver Boule de Suif.      Mais bien qu'antipathique envers Boule de Suif, Cornudet est aussi un dissident parmi les autres.  Il sifflote La Marseillaise à la fois pour se venger de Boule de Suif - peut-être pour le refus de celle-ci, à Tôtes, de coucher avec lui - et pour agresser les autres

pas la peine d'expliquer son refus. Maupassant fait de lui une caricature impitoyable. Physiquement, l'officier est ridiculement guindé, il est serré dans son uniforme "comme une fille dans son corset". - M. et Mme Follenvie : les aubergistes de Tôtes sont la caricature même des petits bourgeois issus du peuple, sans grande éducation comme les Loiseau. Mais ils sont plus sympathiques qu'eux car ils n'ont pas de prétentions. Le "bon sens'' paysan de Mme Follenvie, lorsqu'elle confie aux voyageurs

personnages sont présentés dans leur milieu social. • L’anecdote qui est évoquée ici est empruntée au réel, c’est l’oncle de Maupassant, Charles Cord’Homme, qui la lui aurait relatée. • Les lieux ont tous leur place dans la réalité, la Normandie, Tôtes, l’auberge… Des lieux bien connus de Maupassant. • Les personnages ont presque tous un modèle dans la réalité. Elisabeth Rousset, surnommée « Boule de suif », serait inspirée d’une certaine Adrienne Legay, rouennaise, qui exerçait la même profession