Toto Riina

s'écrie de nouveau :  - Ah ! C'est vraiment moche !  - Ca, Monsieur, c'est un miroir, répond le guide ! Une mamie se promène avec son chien et son chien tomba a l'eau et se noie. Quel est la race du chien ????? Le petkinois.  Tu connais la blague de toto aux toilettes ? NON  Bah moi non plus il avait fermé la porte. Quesque qui est vert qui monte et qui descend ?! : Un p’tit pois dans un ascenseur * Comme dirait Dracula, j'irais bien boire un cou ! Pourquoi les marionnettes des ventriloques parlent-elles

Cosa Nostra, assassine lui-même Pietro SCAGLIONE, le Procureur de Palerme (jugé responsable de l’émission d’un mandat d’arrêt à son encontre). En mars 1974, Luciano LEGGIO est incarcéré et la direction des "Corleonesi" revient alors à Salvatore RIINA. Les anciens mafieux, partisans de la Mafia d'origine (organisation d'honneur), s'étant retirés, regrettent le comportement des jeunes mafieux, qui ne respectent plus rien ni personne, faisant systématiquement, sans aucune retenue, usage de la violence

qu'elle devient un Etat dans l'Etat crainte par le gouvernement officiel. Depuis, la Mafia sicilienne s'est diversifiée. En effet, dans les années 1980, l’argent de la drogue lui était monté à la tête. Le chef de la "famille" de Corleone, Salvatore "Toto" Riina, avait imposé son pouvoir sur la Sicile à l’issue d’une guerre de clans. Il assassinait ceux qui s’opposaient à lui, comme les juges Falcone et Borsellino en 1992. Le nouveau "capo dei capei" (chef des chefs) recentre ses activités traditionnelles

déclarations fracassantes à la justice et à la presse, affirmant entre autres que Silvio Berlusconi avait bénéficié de fonds de la mafia dans les années 197012 et que Forza Italia était né de l'accord entre l'État et la mafia (le capo di tutti capi Toto Riina et Bernardo Provenzano) entre mai et juin 1992, accord en douze points prouvé par le Papello, qui devait permettre l'arrêt de la guerre contre l'État en échange de la réforme de la législation anti-mafia et des conditions de détention des mafieux13

Lucky Luciano, mafioso, une guerre intra-mafieuse exacerbée aura lieu pour diriger Cosa Nostra. Cette lutte fratricide va voir le clan des Corléonais l’emporter. Depuis la victoire de Luciano Liggio, cette emprise s’est manifestée par l’avènement de Toto Riina auquel a succédé Bernardo Provenzano en 1993. Ce dernier arrêté il y a un peu plus d'an par la police a fait la une de tous les journaux qui y voient un coup dur porté à l’organisation. Certains supposent déjà qu’il aurait été dénoncé par des rivaux

monétaire international. La délimitation stricte entre activité licite et illicite est de ce fait devenue de plus en plus difficile à pister. L’accumulation primaire tirée d’un revenu criminel telle que la pratiquait des chefs mafieux comme Salvatore Riinà a laissé la place à des comportements beaucoup plus dynamiques où les liquidités sont rapidement bancarisés par le biais de prête-noms et de conseillers financiers complices. Deux exemples ? Dans les années 1970-1980, les mafias italiennes auraient

pieuvre. Le résultat en fut : 19 perpétuités et 2 665 années de prisons. De toute évidence, c’est la première réaction d’envergure de l’état contre la Cosa nostra qui rassemble tous les chefs maffieux, les membres de la coupole de Michele Greco à Toto Riina, au banc des accusés. Il sanctionne 120 homicides, et des décennies de trafic de drogue et d’extorsion. Ceci a été possible grâce à une accumulation minutieuse de preuves par le « pool anti mafia » de Palerme. D’ailleurs, Giovanni Falcone cite :

est accusé dans les années 1990 d'être le responsable de Cosa Nostra, celui qui « tire les ficelles». Un « repenti » soutiendra même que l'accord tacite entre la Démocratie-chrétienne et les mafiosi a été scellé par un baiser entre Andreotti et Toto Riina, les chef des Corléonais. Niant toutes ces accusations, Giulio Andreotti sera jugé et déclaré innocent. C'est cette affaire qui est reprise dans le film de Paolo Sorrentino, Il Divo. Le film met l’accent sur les connivences entre pouvoir politique

politique sicilienne”, Salvataore Lima dit “Salvo” ait rencontré a plusieurs reprise le mafieux Thomas Buscetta avant son repentir et le maxi-proces qui s’en est suivi. Salvo Lima fut éxécuté a la même époque que le juge Falcone, par le celebre parrain “Toto Riina” suite au maxi procès et la “trahison” ressenti par les mafieux a l’égard des politiciens. Enfin, en 2003, Antonino Giuffrè consédéré comme le numéro 2 de la Cosa Nostra, aurait confirmé les soupçons pesant sur le parti du président du conseil

totaux sont estimés à 5000 membres. La plupart sont des transfuges de Cosa Nostra, la Stidda a d’ailleurs été créé par d’anciens membres de Cosa Nostra qui furent expulsés pour diverses raisons comme le refus de la politique de terrorisme d’état de Toto Riina. Néanmoins la Stidda diffère des autres mafias italienne elle se présente davantage comme une fédération d’organisations criminelles très locales qui se regroupent dans le seul but de faire du profit. Camorra La camorra est