Toupie De Mendras

certain conformisme dans les démocraties, par exemple en dénonçant l'absence d'indépendance d'esprit et de liberté de discussion en Amérique[1], c'est véritablement Henri Mendras (notamment dans son ouvrage La seconde Révolution française 1965-1984[2]) qui va théoriser le concept, en le modélisant au moyen de la toupie de Mendras dans une approche qualifiée de cosmographique. La moyennisation est un processus qui voit l'augmentation de l'importance relative de la couche sociale intermédiaire, ce qui

comme la bourgeoisie au profit d’une classe moyenne de plus en plus étendue. Evoquée en premier lieux par Tocqueville au milieu du XIXe siècle puis repris et développer par Mendras au XXe siècle. Ainsi Henri Mendras fut l’un des principaux défenseurs de la thèse de la moyennisation, et il créa même le modèle cosmographique de la toupie dans lequel il fait apparaître une « constellation centrale » dont le groupe des cadres constituerait le symbole dominant et non plus les classes très dirigeantes. A contrario

les sociétés modernes a beaucoup évolué et évoluera encore. Assistons-nous à une moyennisation de la société française? Nous tenterons d'y répondre premièrement en abordant la vision de Mendras puis deuxièmement avec Lipietz et Chauvel. Nous allons débuter cette réponse avec le raisonnement de la toupie de Mendras qui selon lui prend du ventre ! Ce sociologue classe les individus selon leur niveau de qualification et selon leur revenu. D'après lui, si tout le monde est moyen, plus personne ne l'est

Une représentation de la société: la Toupie et le Sablier   La référence à la toupie est inspirée par Henri Mendras ( 1994, La seconde révolution française, Gallimard), et par sa toupie de la société française. C'est la forme toupie qui est ici proposée montrant une société organisée autour de deux "constellations" : la constellation centrale composée de cadres, d'ingénieurs et d'enseignants et la constellation populaire rassemblant ouvriers et employés. Gravite autour de cette masse (qui concentre

oppose la classe moyenne et la bourgeoisie. On va trouver la réponse la plus intéressante à ces interrogations (pour la France) dans les années 80 sous la plume d'Henry Mendras La seconde révolution française (1988) Dans ce livre Mendras nous explique qu'entre 1965 et 1984 la France a connu un grand nombre de bouleversement qui pour Mendras sont assimilables à une sorte de nouvelle révolution Française. Parmi ces bouleversements il y a la fin du monde rural (3% now), montée en force du groupe des cadres

pas totalement disparu. Jusqu’au début des années 80, l’analyse en termes de classes sociales paraît dépassée. Les inégalités entre groupes sociaux se sont réduites et l’on observe un certain déclin de la conscience de classe. Henri Mendras, a été le premier sociologue a constater le phénomène de diminution des distances interclasses, c’est-à-dire la diminution des inégalités entre les classes. Il décrit dans son ouvrage La Seconde Révolution française la moyennisation

prolétaires, et le critère objectif de la définition des classes sociales s’affaiblit en raison d’une moyennisation de cette dernière. On parle alors d’un déclin de la classe en soi. On assiste à une moyennisation de la société expliquée dans la « toupie d’Henri Mendras », sociologue français du XIXe siècle. En effet, les distances interclasses diminuent, grâce à une réduction des inégalités socio- économiques (accès à la scolarisation, revenus,) et à une certaine homogénéisation des pratiques de consommation

laquelle on assiste à une atténuation des clivages sociaux en correspondance avec le gonflement des couches sociales moyennes aux dépens des catégories privilégiés et des milieux défavorisés. Henri Mendras a donc, conformément à ce constat, élaboré une représentation de la société française en forme de toupie dans La Seconde Révolution Française : 1965-1984 (1988). Néanmoins, l’avènement du chômage de masse, la précarisation de l’emploi et le « retour » des inégalités depuis les années 1980, interpellent

francais du XXème siecle, Henri Mendras. Selon ses observations, la structure sociale ressemble à une toupie ou, a l’interieur, nous pouvons distinguer des constellations ou des classes. Au sommet de cette toupie se situe l’elite. Ceci est une minorite superieure constituer de personnes detenant le pouvoir economique, politique et sociale. Cette classe possede le pouvoir decisionnel.L’elite est considere comme une aristocratie moderne. La deuxieme pointe de la toupie est la classe qui est caracterise

CM1 Evolution social: Société individualiste et classes sociales 1)InvidualismeIdentité religieuse et politiqueLa familleL'écoleLe travailLa santé et inégalité de santé-Aborder des tendances qui caractérise le changement social1960-->Aujourd'hui-Conséquence de l'individualisme-->comment elle invite a repenser les aspects de la vie social,manière dont les inégalités se traduise.-Inégalité se réduise, perte de conscience de classe socal des acteurs -Les 30glorieuses-->diminution des inégalités