Tour des Flandres

et d'Adrienne ("et si c'était la même?") suscite le besoin impérieux de retourner en Valois. Le narrateur prend donc la voiture de poste qui va le conduire dans la nuit à Loisy (chap. III). Durant le trajet en voiture qui suit la vieille route de Flandres, un autre souvenir, d'adolescence cette fois, remonte à la conscience du narrateur. C'est une autre fête de l'arc, quelques années (1825 environ) après la rencontre d'Adrienne. La fête de l'arc se termina cette année-là par un somptueux repas sur

tournée vers la religion, le sacré, la vertu et l'autre vers les affaires, le profane, le vice. Cette oeuvre est annonciatrice du courant qui illustrera la vie quotidienne au détriment de la peinture religieuse au XVII°. Second commentaire: La Flandre mettra assez longtemps à ouvrir ses fonds de tableau ce dernier est sombre, noir. Il représente deux personnages dans un fonds fermé, un milieu très clos : les bords s’appuient sur les manches des personnages. Ils emplissent une bonne partie du tableau

urbaine) : -          En pratiquant une politique de bascule : faire taire les féodaux pour attendrir la bourgeoisie # mâter la bourgeoisie trop bruyante pour adoucir les  féodaux. -          En rassemblant régulièrement des Etats généraux comme à Tour en 1484 (lorsque l’opposition des féodaux s‘accentue) où est trouvé un consensus, le pouvoir s’assure le soutient indispensable des villes (et ceux qui siègent ont été nommés par consensus par des notables donc c’est une affaire urbaine de bourgeoisie

que la clé du tableau est à cet endroit 2- Analyse iconologique (=interprétation) 1° L'interprétation la plus courante : c'est le mariage des époux Arnolfini. • La fidélité est symbolisée par le chien. └> danger de l'infidélité (pommes) • En Flandres, au XVème siècle, le mariage privé, chez soi, durant témoin se répand (le peintre!) • L'union se fait sous une bougie qui représente le Saint Esprit 2° L'interprétation contradictoire : • Ce n'est pas un mariage (les « époux » ne se donnent

L ’art en Italie, en France, en Espagne et dans les Flandres pendant le XVIIe s. Poussin, Saint Jean à Patmos Caravage, Judith et Holopherne Diaporama préparé par Anithe de Carvalho, 2015 L’art en Europe au XVIIe siècle CONTEXTE SOCIO-CULTUREL: - Entre 1623 et 1667, à Rome: Papes Urbain VIII, Innocent X et Alexandre VII. Église triomphale, pouvoir matériel et spirituel. Canonisations en 1622 dont celle de Thérèse d’Avila. - Philippe II d’Espagne gouverne. Les Pays-Bas sont en conflit, l’Inquisition

famille bourgeoise et après quelques années à la campagne, il retourna ensuite à paris et, jeune homme, mena une vie turbulente dans les cabarets parisiens. Son nez, comme le personnage de la pièce, était disproportionné et il en riait. Il fut tour à tour mousquetaire, et son courage devint légendaire ; mais après des blessures qui l’écartèrent d’une carrière militaire pourtant prometteuse, il se lança dans la littérature et entra au service du duc d’Arpajon. Son écriture est burlesque, animée d’un

La première préoccupation fut la guerre avec la France. La guerre fut surtout maritime. Le conseil de minorité dominé par les oncles du roi, tenta de reprendre l’initiative en matière diplomatique et militaire en ouvrant deux nouveaux fronts, en Flandre et en Castille mais sans résultats concrets. Le mariage de Richard II avec Anne, sœur de Wenceslas IV (1378-1400), roi de bohême et roi des Romains, n’apporta pas non plus les gains diplomatiques escomptés. Jean de Gand exerça un rôle important

règne d’Hugues Capet, l’influence royale disparait complètement dans toutes les régions du midi. * Sous Henri 1er (1031 à 1060), c’est au tour de la Normandie, la Touraine et la Bourgogne d’échapper à l’action monarchique. * Enfin, sous Philippe 1er (1060 à 1108), le champ de ‘influence royal se limite au domaine (Ile de France et région du tour de l’Aon). Il y a donc un rétrécissement constant du champ d’action du capétien, qui révèle la faiblesse de la royauté. Et cette faiblesse est

bornes, l’accusation de despotisme se font de plus en plus fréquentes dans les titres de pamphlets. Le « machiavélisme » des politiques intérieures et étrangères, la ruine des populations notamment paysannes, les excès de la cours et Versailles sont tour à tour incriminés. Plusieurs aspects de la politique menée par Louis XIV sont évoqués dans ce document, l’auteur prend les malheurs du peuple français comme les conséquences des excès du roi comme l’accumulation des guerres européennes qui provoquent selon

peut qu’être frappé par le nombre de moulins à vent qui se pressent à sa rencontre sur ce petit territoire, près d’une centaine, à bien les compter. Où que se tourne le regard, il faut peu de temps avant qu’il ne se pose sur l’un d’eux, à l’état de tour ruinée ou de fût décapité, ou encore, bien entier, aménagé en habitation, parfois pourvu de ses vergues, voire de sa voilure et en état de fonctionnement, dans quelques rares cas. C’est qu’il semble bien exister une certaine forme de complicité