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30 et ne pourra que « sucer » le biscuit donné par CLOV, tous deux voient difficilement..) / Les deux personnages sont assez indissociables avec l'écho sémantique de leur nom et leurs répliques complémentaires et complices (contrairement à HAMM et CLOV) -> un couple « soudé » face à un fils oppresseur, même si tout résistance est vouée à l'échec -Ils sont un relai : l'histoire du tailleur anglais est une anecdote emblématique : le monde est mal fait, très imparfait. On retrouve la même passion de

personnage principal. C’est ainsi que pour Lejeune, « ce seul fait exclut la possibilité de la fiction ». Cette identité n’est pas masquée, elle est au contraire avouée au lecteur, ce qui constitue un « pacte » et la distingue considérablement du roman autobiographique. Pour que l’on puisse parler de « pacte », il faut bien évidemment la présence d’un lecteur potentiel. Les premières lignes des Confessions ouvrent le récit autobiographique en le plaçant sous le signe de la franchise : « Je forme

LEGRAND-DEFRETIN Violette MAUREL Justine BAYLE REMI GLEMET Florent TPE Groupe 8 L’EVOLUTION DU THEME DE L’AMOUR EN LITTERATURE [pic] PROBLEMATIQUE   Nous avons choisi le thème de l’amour parmi tous ceux répertoriés dans les fiches de lectures. Nous allons montrer au travers de notre anthologie comment le thème de l’amour est traité en littérature. Nous nous attacherons donc à mettre en évidence la manière dont les auteurs traitent de l’amour dans leurs œuvres et donc par-là

Au XIXe siècle, le mouvement historique du réalisme recouvre tout ce qui à partir de 1820 réagit par rapport au Classicisme et au Romantisme par un retour à l’étude de la nature et aux sujets quotidiens. Le mot même de « Réaliste » voit le jour en 1836 dans la Chronique de Paris, sous la plume de Gustave Planche. On retrouve ensuite le terme dans les critiques de Champfleury, qui est un des promoteurs du roman réaliste et qui prône le retour au réel pour se libérer de la peinture littéraire troubadour

avoir déjà écrit 37 romans qu’elle ne voulait pas dévoiler au grand public. Mais celle-ci céda au plus grand bonheur de ses futurs lecteurs. Mais avant de pouvoir vivre de son écriture qui est sa passion, elle déménagea beaucoup, comme son père avant elle, pour chercher un endroit où séjourner et travailler. Elle décide de retourner à Tokyo et entre dans une grande entreprise japonaise. Mais elle n’en garde pas un très bon souvenir et contera cette pénible expérience dans son roman Stupeur et Tremblements

6 juillet 1972[] dans le 14e arrondissement de Paris et a fait des études de lettres modernes et de théâtre ; c’est un écrivain français, romancier, nouvelliste et dramaturge, Il publie son œuvre, traduite dans le monde entier, chez Actes Sud. Il fut Lauréat du Prix Goncourt en 2004 pour son roman Le Soleil des Scorta Il est notamment l’auteur de Cris (2001 ; Babel n° 613), La mort du roi Tsongor (2002, prix Goncourt des lycéens 2002, prix des Libraires 2003 ; Babel n° 667), Le soleil des Scorta (2004

anticipation - aventure - biographie - chronique - comique - conte fantastique - héroïque - historique - humour - jeu sur les mots - journal intime - légende - lettres - conte philosophique - merveilleux - mystère - nouvelle - parodie - récit réaliste - poésie - policier - portrait - récit réaliste - récit animalier - récit d’adolescence - récit d’enfance - recueil - roman - roman d’apprentissage - roman régionaliste - science-fiction - social - suspense - théâtre - vécu - voyage. 3

histoire arrivée sous ses yeux, et que son unique but soit de vous faire dire : il ne pouvait en être autrement ». Pensez-vous comme elle que Madame Bovary est un roman de la fatalité ? 2) Selon George Sand, « On s'est alarmé à tort, suivant nous, de la moralité de l'oeuvre. Tout au contraire, le livre nous a paru utile, et tous, en famille, nous avons jugé que la lecture en était bonne pour les innombrables Madame Bovary en herbe que des circonstances analogues font germer en province, à

quantité de plantations de thé, généralement au pied des collines et aussi dans les jardins des villageois. Vers les dix heures du matin, nous arrivâmes à Tsong-gan-hien, grande ville située au centre même du pays qui produit le thé noir, (…). La ville abonde de grands tcabongs, dans lesquels les thés noirs sont triés et empaquetés pour les marchands étrangers. Tous les coolies que j'avais croisés lors de mon voyage dans la montagne venaient se charger ici. Des marchands de thé de toutes les régions

(Note: 14/20) Introduction au roman tunisien : Mustapha Tlili La littérature tunisienne de langue française ne s'est développée que modérément et tardivement si on la compare à la littérature algérienne. Ceci s'explique par la permanence d'une riche littérature de langue arabe, qui s'est renouvelée à partir des années 30, puis au lendemain de l'Indépendance (1956). Le roman tunisien en langue française, en dehors des œuvres d'Albert Memmi, s'est toujours fait timide jusqu'aux années 70 où