Traction

d’organes d’assemblage (rupture de bloc) (step V-2.11) Pour un groupe d’organes d’assemblage, la rupture en bloc par traction ou bien par cisaillement est en jeu. Il conviendra de vérifier les surfaces en jeu en traction et en cisaillement. Page 4 / S3/CH33 V.TASTET-09/06 MSB – Sujet 3 : Vérifications à l’EC5 – Chapitre 33 : Vérifications des ASSEMBLAGES ELU g) Vérifier la traction transversale (risque de fendage) La justification au cisaillement s’accompagnera d’une vérification au fendage

résistance à la compression et une résistance moindre à la traction. Dans les structures en béton se développe un ensemble de contraintes générées par les diverses actions auxquelles elles sont soumises. La résistance à la compression du béton lui permet d’équilibrer correctement les contraintes de compression. Par contre, du fait de la relative faiblesse de sa résistance à la traction, il n’en est pas de même pour les contraintes de traction. C’est pourquoi l’on dispose dans les parties tendues d’une

roues comme pour les rails, et ces systèmes prirent le nom de tramways. Typiquement, les roues étaient guidées dans des ornières revêtues de plaques métalliques. En 1802, Jessop ouvrit le Surrey Iron Railway dans le sud de Londres, bien qu'il fût à traction hippomobile, fut le premier chemin de fer public du monde[]. L’arrivée de la vapeur La locomotive à vapeur fut inventée au tout début de la révolution industrielle, et le chemin de fer devint un rouage essentiel de l'industrialisation, qui nécessitait

machine à vapeur, mais cette technique n’étant pas assez rapide, les hommes ont crée la généralisation de la traction par locomotive et ont rapidement fait progressé ces machines. En 1900 l’invention de moteurs électriques puissants a permis l’apparition de la traction électrique, cependant cela nécessite que le train soit équipé soit d’une caténaire soit d’un troisième rail. Vers 1950 la traction à vapeur laisse place aux développements des moteurs thermiques. II- Types de trains Il existe différents

suivante amène le cheval à céder à la traction sur la longe pour se mettre en avant. Une baguette de noisetier est agitée tout autour du cheval, vient frapper la paille puis caresser le poulain. Il ne doit pas craindre les outils utilisés. Elle matérialise le prolongement du bras. L’action ferme de cette baguette de noisetier sur l’encolure peut alors renforcer la traction du cavalier qui cherche à faire venir le cheval à lui. Au premier pas en avant, la traction cesse. Le poulain associe vite la

souhaitait qu’il soit à nouveau en service. Cette modernisation consistait à remplacer : En machinerie DTU (Document technique universel), Armoire de manœuvre, Moteur-treuil, Limiteur de vitesse, Eclairage, Local + porte machinerie. En gaine Câbles de traction, Eclairage, Poulie tendeuse du limiteur de vitesse, Câble du limiteur de vitesse, Stop, interrupteur et prise de courant en cuvette, Fins de courses. Sur toit de cabine Boitier d’inspection, Téléphone dessus cabine, Stop et prise de courant. En cabine

............... 7 1.2.2 Les ascenseurs à traction à câble : ................................................................................. 10 1.3 Les critères du choix du type d’ascenseur : ........................................................................... 12 1.4 Différentes parties d’un ascenseur à traction :....................................................................... 13 1.5 Principe de fonctionnement d’un ascenseur à traction : .......................................

• la poussée du réacteur ou la traction de l'hélice entraînée par le moteur ; • le poids, effet de la gravité terrestre sur la masse de l'appareil ; • la résultante des forces aérodynamiques décomposée en portance et en traînée : - la portance, créée par le déplacement dans l'air d'une aile profilée, - la traînée, somme des résistances aérodynamiques est opposée au mouvement. Ces forces sont représentées par 4 vecteurs : • la traction vers l'avant s'oppose à la traînée

spécifiques dans l’eau - respecter la motivation des nageurs - possibilité d’adapter la durée de l’effort en fonction de la distance de compétition. - résoudre le problème de l’endurance de force. 4 tirages Tirages couchés Développé couché BRAS Tractions rétablissements Mouvements Haltérophiles Départ Plan antérieur Plan postérieur Battements Figure 6 : les mouvements de musculation du nageur. 5 Les règles de construction des séances : - Elles sont articulées sur les mouvements fondamentaux

pectoral (partie inférieure). Traction en pronation : En suspension, à la barre fixe, mains très écartées en pronation : - inspirer et effectuer une traction pour amener la poitrine presque au niveau de la barre ; - expirer en fin de mouvement ; - revenir à la position de départ en contrôlant la descente et recommencer. Cet exercice demande une certaine force. Il travail le grand dorsal, le grand rond et, lors du rapprochement des omoplates en fin de traction, les rhomboïdes et les portions