Traditions Maroccain

conclusion, la peine capitale ne devrait pas être ou plutôt ne devrait plus être pratiquée ou que ce soit. Comme les prisonniers sont exécutés pour de mauvaises raisons, cette méthode de punir les criminels n’est donc pas justifiée sinon par les vieilles traditions qui devraient évoluer.

leurs parents, qui privilégiaient le travail pour rendre meilleure leur vie au quotidien. Les parents valorisent fortement la famille qu’ils considèrent comme la cellule de base de la société. Ceci par souci de préservation et transmission des traditions (culturelles, historiques, religieuses). Pour notre génération, la famille est la norme essentielle, mais elle est suivie de très près par l’argent. Aujourd’hui nous vivons dans une période de crise, où l’économie, l’emploi se portent mal. Les

relation par ce que s’il n ya pas de confiance y aura pas de communication. La tolérance c’est le moyen d’accepter ce qu’on ne peut pas accepter spontanément, puisqu’on est nombreux dans ce monde c’est impossible d’avoir les même pensé ou les mêmes traditions... donc pour notre coexistence fallait accepter l’autre par sa différenciation, L’honnêteté veut dire qu’il n ya pas de contradiction entre les pensée et les paroles, les gens doivent être honnête en premier lieu avec eux mêmes puis après voir

Measuring the durability of civic traditions There is a contrast descriptions of civic engagement in the North and the South of Italy, which shows important and enduring differences within these two broad sections of the country, these differences are visible from region to region and also from province to province. The statistics in this text confirms these differences from region to region in associations and collective solidarity exist since a century ago already. All the modern manifestations

Séquence 4 : Oh Roubaud ! Ô lyrique ! J. Roubaud, « Dans cette ville que tu n'aimais pas » a. L'enfermement. . Caractère circulaire du poème, encore renforcé par le passage à l'imparfait qui inscrit l'enfermement dans la durée (là où le présent n'avait qu'une valeur ponctuelle). Dans le même temps, le dernier vers fait de l'évocation un souvenir, autrement dit la mémoire s'inscrit dans l'espace de la ville (le souvenir est lié à la ville), et le poète ne peut dès lors s'en détacher (+

Séance 5 : La Place d'Annie Ernaux Préanbule : Chronique du temps qui passe, histoire filtrée par la mémoire de soixante années qui viennent de s’écouler, permet de nourrir des réflexions, de recevoir et d’infléchir des positions sur l’histoire que nous avons traversée, la culture où nous évoluons, nos savoirs quelques peu emprisonnés par la politique et l’économie si nous nous arrêtons sur les intitulés du référentiel « Digital native » « Génération baby boom » 3. En lien avec les extraits

|L’Action française | • L’Action française fut la ligue la plus influente, et celle à la doctrine la plus structurée. Elle naquit en 1898 dans les tumultes de l’affaire Dreyfus. Charles Maurras, monarchiste, était son maître à penser. Idéologie : • Maurras voulait allier le traditionalisme contre-révolutionnaire et le nationalisme. Il adoptait la théorie darwiniste de l’évolution

individus et l’Etat et évite une trop grande individuation. Ces arguments sont souvent repris par les bizuteurs. Ceux-ci, surtout quand le bizutage existe depuis longtemps, défendent le sens de cette manifestation, ainsi que les valeurs et les traditions qu’il perpétue. Pour eux, le bizutage crée une communauté fraternelle et il perpétue l’esprit de l’école. Ceux-ci mettent aussi l’accent sur les relations chaleureuses entre étudiants qu’il crée, ce qui permet de compenser un esprit de compétition

Analyse d'un premier extrait: Aujourd'hui, maman est morte… pour n'avoir plus à parler (p.9-11) Un des incipit les plus célèbres du roman français. Avec cet incipit, le lecteur sait qu'il va avoir affaire à une voix par la focalisation interne, qu'il aura affaire à un narrateur vivant et racontant et le roman va compter moins pour les événements relatés que pour la manière dont ils sont relatés: ce qui vit Meursault est assez banal, mais ce qu'il en dit, la manière dont il le perçoit est intéressant

I /Portrait de Dom Juan : -méchant homme- un impie (pas religieux)- un grand seigneur : l’aristocrate privilégie .Impie : « Il ne croit ni ciel, ni enfer, ni loup-garou »DJ représente le libertin du 17e, il n’accepte aucune autorité (religieuse, intellectuelle, et politique).Sganarelle est très choqué, redoute un châtiment. .Débauché : Plaisir immédiat, liberté totale, plus il transgresse, plus il est heureux : « il ferme l’oreille à toutes les remontrances », « dames demoiselles ».Il bafouille