Tragique Le Parfum

de l'espérance qui se nourrit de peu. 'des cloches, des trompes ... buccins' = accumulation qui renforce le bruit. 2 hyperboles : ' qu'on eût pas ouï Dieu tonner', ' le sang ruisselait' Figures qui mettent en valeur le héro médiéval = registre tragique. Combat = registre épique = champ lexi bataille : 'haubert, cri furieux, vassal, épée brandit' + rouge passion du combat : ' vermeille, pourpre, ruisselait'. l. 17 à 23 , description T = héro en plein triomphe ds un registre épique + lyrique.

produire ainsi une émotion plus forte et rendre plus saisissant le message du romancier. La sublimation par l'image opère souvent dans les scènes comiques, qui, figurées concrètement inspirent un rire spontané, ou dans les scènes, au contraires, tragiques ou pathétiques, ou la souffrance exprimée par les traits du visages, par les attitudes concrètes suscite souvent davantage d'émotion que les simples mots. Ex : ·         Adaptation de La guerre des boutons, roman de Louis Pergaud, par Yves Robert :

un soldat soumis. Une machinerie hors pair, digne d'un inventeur à l'imagination torturée ! --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre. Critique : La métamorphose de Kafka est une nouvelle d'un absurde comico-tragique, du moins c'est ma définition, et c'est ce que l'on appelle actuellement : la prose kafkaènne tant elle est propre à ce personnage. Outre le burlesque de la situation, suite à la surprise de cette drôle de métamorphose, Kafka nous convie à pénétrer

les grands types de questions possibles : Questions sur UNE PARTIE du texte (plutôt rares) : Sur le titre : En quoi son titre « Parfum exotique» correspond-il bien au sens du poème ? Sur un passage du texte : Montrez que le quintil central du poème « La courbe de tes yeux » (vers 69) évoque un monde étrange. / Montrez que le troisième paragraphe (celui du séisme) est tragique. / Montrez en quoi les deux dernières strophes sont pathétiques. Questions sur TOUT le texte : La question peut tout simplement

se farde et illusionne est éphémère et mortelle. Dans certains poèmes, le poète exalte et admire la beauté, dans certains d’autres, il maudit et méprise cette beauté. Selon Baudelaire, la beauté est divine et à la fois satanique qui séduit avec son parfum et tue avec son poison. On dit que c’est la dualité existant dans la beauté. 2.1 La diversité des figures féminines présentées dans les poèmes Baudelaire suggère une variété des héroïnes dans son recueil. Ces héroïnes sont peu conventionnelles parce

parole à "un compagnon d'enfer" qui confesse ses fautes pour exorciser son vice. Dans le second Délire, "Alchimie du verbe" se présente comme la confession d'un être tourmenté qui analyse avec ironie et dérision son expérience poétique finalement tragique. Il fait une autocritique de son parcours chaotique et reconnaîtses erreurs. Le regard qu'il porte sur son passé est un regard lucide. "Alchimie du verbe" stigmatise la crédulité et la naïveté dont il a fait preuve. Il utilise l'imparfait et le passé

universel (amour, mélancolie, désespoir) dont le poète est l’acteur anonyme, Baudelaire met en scène un « je », sujet lyrique, qui est le poète mais qui n’est pas Baudelaire. L’ouvrage subsiste au psychologisme anecdotique de la poésie romantique, le tragique d’une destinée où se lisent les signes de la modernité. - Le sens du titre : Le titre désigne la double postulation qui existe en tout homme, vers Dieu et vers Satan. On retrouve cette fêlure dans le titre et dans la première section « Spleen

Cependant, un Bal à Vaubyessard lui accorde une seconde chance de réaliser tout l'utopisme romanesque qu'elle avait pû espérer, tout au long de sa vie. Ainsi, les sens d'Emma s'éveillent "Emma se sentit, en entrant, enveloppée par un air chaud, mélange du parfum des fleurs et du beau linge, du fumet des viandes et de l’odeur des truffes." page 51, la focalisation interne permet de voir cette fascination nouvelle, l'exaltation surgit et sa naïveté fait surface. Tout parait encore plus merveilleux que ce qu'elle

lucide et courageux. Il veut que Le Bret partage ses idées, qu’il convienne de son handicap. Toutefois, même s’il affirme ne pas se faire d’illusions, plusieurs termes qu’il utilise le contredisent. (v 513-524) Il utilise une métaphore : « l’heure se parfume », on a donc un cadre propice à la sensibilité, un cadre poétique. « J’hume l’avril », qui fait référence au printemps. Cyrano utilise le conditionnel : « J’aimerais » qui montre le souhait, le rêve, l’irréel. On a aussi des verbes de sentiments :

colonel; j’ai fait un jacobin du pronom personnel, du participe, esclave à la tête blanchie, une hyène, et le verbe une hydre d’anarchie. », Victor Hugo, Les Contemplations. - « Puisque l’espoir serein de mon âme est vaincu; puisqu’en cette saison des parfums et des roses, Ô ma fille! J’aspire à l’ombre où tu reposes, puisque mon coeur est mort, j’ai bien assez vécu. », Victor Hugo, Veni, vidi, vixi. II. Les citations d’accroche A. Le