Traité fondamental

internationales Il s’agit des traités (A) et de droit communautaire (B) A) les traités -Le traité est acte solennel conclu par écrit entre deux ou plusieurs parties qui peuvent être des états ou des organisations internationales, le processus de création d’un traité international passe par les trois étapes suivantes : • La négociation : selon l’article 52 de la constitution de la 5 e république, c’est le président de la république qui négocie les traités • La signature : une

loi nouvelle abroge la loi antérieure contraire. Il y a cependant quelques exceptions à ce principe général. Lois et traités L'article 55 de la Constitution affirme la supériorité des traités sur les lois [19]. Il faut entendre qu'en cas de dispositions contraires, le traité l'emporte sur la loi, même postérieure. Le juge interne écartera donc une loi postérieure à un traité international et contraire à celui-ci, conformément aux jurisprudences de la Cour de cassation (depuis son arrêt Société

Definition: A la fin de la seconde guerre mondiale, les pays occidentaux tentent de mettre en place un ensemble de mesures visant à favoriser le développement des échanges internationaux. Cette volonté d'accroître les relations économiques entre les nations tire les enseignements des politiques de restriction des échanges mises en place dans l'entre deux-guerre et qui s'étaient traduites entre autre par une forte progression des tarifs douaniers. Des négociations entamées à Londres en 1946, se

est de savoir quelle est la valeur des conventions internationales en droit interne ? Ce sujet revêt à la fois un intérêt théorique et un intérêt pratique. Théorique dans la mesure où il suscite une controverse doctrinale sur la prééminence des traités internationaux sur les lois en droit interne. Et pratique dans la mesure où les accords internationaux jouent un rôle très important dans la coopération entre les différents Etats souverains. Au terme de toutes ces considérations et pour donner

• Un objet certain qui forme la matière de l'engagement, • Une cause licite dans l'obligation La Constitution va établir une hiérarchie des textes ou normes. 1. La Constitution 2. Les Traités Internationaux 3. DROIT COMMUNAUTAIRE : Les Traités Européens 4. La loi organique –– Ordonnances 5. Lois ORDINAIRE– 6. Règlements AUTONOME : DÉCRETS (PAS DE LA LOI MAIS REGLEMENTAIRE 7 . REGLEMENT D’APPLICATON :DECRETS PERMETTANT L’EXECUTION 8. Arrêtés ministériels

préalable des Traités  Les traités internationaux peuvent être également déférés au Conseil, pour vérifier qu’ils ne sont pas contraires à la Constitution, par le Président de la République (neuf fois depuis 1958), le Premier ministre ou le Président des Assemblées, ainsi que, depuis la révision constitutionnelle du 29 octobre 1974, par 60 députés ou 60 sénateurs ; on parle alors de contrôle de comptabilité.  En effet, l’article 54 permet la saisine du CC à propos de tout traité international

CEDH est un traité international signé par les états membres du Conseil de l'Europe. Elle a été conclue dans l'intérêt de la communauté internationale et dans l'intérêt commun des parties. Elle est donc un traité/loi. Ces traités/lois ne sont pas fondés sur la réciprocité (tels que les traités/contrats). La violation du traité, ou ici de la convention, par une des parties ne donne pas le droit à l'autre partie de se soustraire de ses obligations internationales. Les obligations des traités/lois sont

méconnaître et dont la violation est de nature à entraîner une sanction juridictionnelle (annulation ou réparation par le juge). Ces règles ne sont pas seulement constituées par la loi, mais aussi par d'autres normes telles que la Constitution, les traités internationaux, les actes administratifs généraux (réglementaires) ou individuels, puis encore les décisions de justice. Toutes ces règles ont un point commun: ce sont des règle écrites. À celles-ci, il faut encore ajouter la coutume, la jurisprudence

exercer un contrôle de conventionnalité. Ensuite, il est reproché au tribunal de ne pas avoir demandé à la Cour de justice des Communautés Européennes de se prononcer sur la compatibilité de la loi organique du 19 mars 1999 avec l'article 6 du traité de l'Union Européenne. Et donc, que le tribunal de première instance de Nouméa n'était pas compétent pour juger de son affaire. B) Arguments du défendeur : la commission administrative de Nouméa En fait, le défendeur veut obtenir le maintien

constitutionnalité) et la conformité d'une loi à un texte international (contrôle de conventionalité). Nous savons en effet que le Conseil constitutionnel est juge de la conformité des lois à la Constitution et refuse d'analyser la conformité des lois aux traités (décision de 1975 sur la loi Veil sur l'IVG). Cette mission revient aux juridictions judiciaires et administratives (cf. les 2 décisions arrêts Jacques Vabre de la Cour de cassation 1975 et Nicolo du CE 1989). Or depuis la loi organique du 10 août