Travail Met1300

montrer à quel point la croissance est difficile à amorcer, à expliquer. Qu'est-ce qui explique le phénomène de croissance ? La théorie économique met l'accent sur le travail et le capital avec en plus la terre. La théorie classique avec A. Smith d'abord souligne dans l'explication de la richesse des Nations, l'importance du facteur travail avec les effets d'apprentissage et d'accumulation du capital qui engendre profits, investissement, hausse de la productivité et croissance. Ricardo souligne aussi

être humain, d’autant plus que le stress devient une réalité inquiétante dans le monde du travail et touche aujourd’hui une majorité de sociétés. Même si il est évident que le stress apporte une énergie et une efficacité certaine, ce dernier n’est malheureusement pas géré et devient rapidement un danger. Ne serait-il pas préférable d’anticiper sa venue, d’apprendre à le gérer en régulant la charge de travail et en optant pour un « apprentissage » collectif de la gestion du stress ? En agissant ainsi

des classiques : Le courant classique comprend deux branches distinctes : * La branche anglaise, pessimiste avec notamment SMITH * La branche française, optimiste avec Say * Smith, C’est la division du travail dans l’organisation scientifique du travail, du travail à la chaîne, du taylorisme etc. qui génère la spécialisation et donc la productivité. La main invisible est une autre de ses théories. C’est la recherche des intérêts personnels qui aboutissent toujours à l’intérêt général

Parmi l’ensemble des institutions du secteur médico-social, il existe les ESAT (Etablissements ou Services d'Aide par le Travail) qui sont des structures de travail adapté qui ont pour mission d'accueillir des personnes en situation de handicap ne pouvant momentanément ou durablement mener une vie professionnelle normale.  Ils ont pour finalité l'autonomie et l'épanouissement personnel et social des personnes accueillies. 

traditionnelle entre grands secteurs perd de sa pertinence. En matière de mesure de productivité, de nombreuses questions se posent : Les seules mesures comptables semblent inadéquates : comment ne pas constater que l’accroissement de la quantité de travail faite par un employé, ou le volume traité par unité de temps, n’est pas reflété directement dans le chiffre d’affaires de l’entreprise ? De même, la prise en compte de la qualité des services produits - et de leur évolution - est encore plus délicate

et des Administrations en formation initiale. En effet, en permettant d’acquérir des connaissances solides dans des matières aussi diverses que complémentaires, comme la gestion, l’économie, ou encore le droit (favorisant l’entrée dans le monde du travail), mais également des langues (atout majeur à la mobilité et pour lesquelles je porte un intérêt certain), le DUT GEA convient tout à fait à mes aspirations professionnelles ainsi qu’à mes attentes d’un enseignement supérieur : à la fois concret et

Le monde du travail en France Chapitre I : A la recherche du prolétariat I. Les ouvriers en chiffre 1. Une relative stagnation Augmentation de la pop. active entre 1789 (10M) et 1880 (16M). Diminution de la main d’œuvre au profit de l’industrie. Transfert limité. Prolétarisation inachevée. 1881 : ouvriers = 41% de pop active, 40% patrons, 14% employés. Mais ouvriers aggricoles encore les plus nombreux. Très petites entreprises. Un patron = deux ouvriers. 60% (coton, laine, soie) dans le textile

AUX SALARIÉS A. Ils permettent d'améliorer les conditions de travail Un investissement dans la formation des salariés permet à la fois d'améliorer l'effi­cacité du facteur travail et de satisfaire les salariés. En effet, une qualification supérieure peut être source de promotion, de travail plus intéressant, de salaire plus élevé entraînant la motivation du salarié. La formation permettra au salarié d'être plus performant dans son travail donc plus productif, de mieux s'adapter aux évolu­tions de l'entreprise

Les droits des femmes dans le travail évoluent particulièrement selon les besoins du monde du travail, elles sont souvent employées dans des postes à faible qualifications. Aujourd'hui, on observe encore des inégalités de salaire, de retraites, d'emplois.Les inégalités de salaire entre les hommes et les femmes atteignent 29,2 % en Europe, allant même jusqu’à 51% en Autriche. Ces écarts de rémunération s’expliquent en partie par le fait que les postes occupés par les hommes et les femmes ne sont pas

1. Premier principe : la division verticale du travail. C’est la séparation entre le travail d’exécution et le travail intellectuel de conception, assuré par les ingénieurs du «bureau des méthodes». Par la démarche scientifique (étude du poste, décomposition et simplification des gestes, attribution d’un temps d’exécution à chaque tâche élémentaire), ils déterminent la seule bonne façon d’effectuer une tâche («the one best way»). Ainsi, Taylor, chargé d’améliorer les méthodes dans une entreprise