Tremble

ordre naturel, et entre chacun d'eux il ya une rupture, mais l'œil humain est trompé par l'illusion optique de continuité. Bien écran de cinéma semble être allumé en permanence, près de la moitié du temps il est sombre. L'image donne l'impression que trembler sous nos yeux, ou du moins ce est le pionnier du cinéma concevoir aujourd'hui des images de vitesse atteignant même Cinéma était, peut-être, de toutes les formes d'art, le chemin le plus rapide ascension et relative et, aujourd'hui, nous pouvons

qu’elle rend à votre mérite la détermine. » DORANTE, à part. Ciel ! Je suis perdu. Mais, Madame, vous n’aviez aucune inclination pour lui. ARAMINTE Achevez, vous dis-je… « Qu’elle rend à votre mérite la détermine… » Je crois que la main vous tremble ! Vous paraissez changé. Qu’est-ce que cela signifie ? Vous trouvez-vous mal ? DORANTE Je ne me trouve pas bien, Madame. Marivaux, Les Fausses Confidences, acte II, scène 13 ARAMINTE […] Eh bien, vous n’allez pas à la table ? À quoi rêvez-vous

usant ses jours à se remplir d'orgueil ; On marche, on court, on rêve, on souffre, on penche, on tombe, On monte. Quelle est donc cette aube ? C'est la tombe. Où suis-je ? Dans la mort. Viens ! Un vent inconnu Vous jette au seuil des cieux. On tremble ; on se voit nu, Impur, hideux, noué des mille noeuds funèbres De ses torts, de ses maux honteux, de ses ténèbres ; Et soudain on entend quelqu'un dans l'infini Qui chante, et par quelqu'un on sent qu'on est béni, Sans voir la main d'où tombe

jeune fille au feutre d'homme et aux chaussures d'or. II vient vers elle lentement. C'est visible, il est intimidé. Il ne sourit pas tout d'abord. Tout d'abord il lui offre une cigarette. Sa main tremble. Il y a cette différence de race, il n'est pas blanc, il doit la surmonter, c'est pourquoi il tremble. Elle lui dit qu'elle ne fume pas, non merci. Elle ne dit rien d'autre, elle ne lui dit pas laissez-moi tranquille. Alors il a moins peur. Alors il lui dit qu'il croit rêver. Elle ne répond pas. Ce

voulez ». II/c) Dialogue à la fois amusant grâce à des comiques de répétition et instructif car le dialogue montre le danger d'une relation tyrannique, refus de l'autonomie, de l’indépendance de la volonté de sa fille. La fille « tremble » et bredouille « Je tremble de ne pas répondre à votre fantaisie » Conclusion : Récapituler les principaux éléments du dialogue, montrer que le théâtre est utile, un seul bloc.

À des partis plus hauts ce beau fils doit prétendre ; Et le nouvel éclat de votre dignité Lui doit enfler le coeur d'une autre vanité. Exercez-la, monsieur, et gouvernez le prince ; Montrez-lui comme il faut régir une province, Faire trembler partout les peuples sous la loi, Remplir les bons d'amour et les méchants d'effroi ; Joignez à ces vertus celles d'un capitaine : Montrez-lui comme il faut s'endurcir à la peine, Dans le métier de Mars se re aaaaaaaaaaaaaaaajkksj dskj hjhrj

de la barque. Dans cet extrait, ils assistent à la bénédiction finale. Le vicomte en profite pour la demander en mariage. I/ Les fiançailles : la mise en scène. Jeanne est émue, bouleversé par cette scène et a des réactions physiques : ‘elle tremble’, elle est comme hypnotisée, elle perd le sens de la réalité, elle ressent une sorte d’ivresse de l’amour. La barque en plus, porte le nom de Jeanne. Toute la journée, elle est ébranlée par de nombreux éléments qui sont allées trop vite. Elle va donc

l’apaisement, MISE EN ABIME DU POEME Entraine chmp lex : La douceur : « meilleur », « fruit », « plaisant », « jeunesse », « Achille », « guérison » La fureur : « ingrat », « longue erreur », « souci », « orage », « tremble de peur », « abus », « ma folie », « blessure », « venin », « scorpion », « mal ». Le poème consiste à commencer par la souffrance et fini par la « Guérison » 2emeVers : Perte de temps dans une écriture assez vaine qui ne lui correspond pas -

PLAN :I un premier mouvement constitué par l’alternance des répliques du couple maître/valet. Il s’agit d’une scène d’exposition qui présente les actants du stratagèmeet l’objet de la quête : de « DORANTE -Elle a plus de 50 » à « je tremble ! » II Un second mouvement constitué par une tirade de Dubois véritable maître d’une rhétorique de la manipulation, il utilise la parole pour convaincre, certain de la réussite du projet : de « DUBOIS- Oh vous m’impatientez »

l'espérance d'une fête Nous irons Seigneur ! Ensemble Ensemble, ensemble Même si l'on est différent Et savoir traverser le temps Tout simplement ensemble Ensemble, ensemble Découvrir que l'on a un don Vivre les mêmes émotions Avoir le cœur qui tremble Sur cette étrange mappemonde Où le plus beau côtoie l'immonde Pour se défendre Tout ce que l'on cherche à nous prendre Tout ce que l'on cherche à nous vendre pour se comprendre Ensemble, ensemble Même si l'on est différent Et savoir traverser