Trépanation

boyaux de chats en chirurgie abdominale -Sutures des plaies sous-dermiques qui ne laissent pas de cicatrices -Préconise l’utilisation de l’action mécanique et antiseptique des morsures de fourmis pour assurer la suture des plaies intestinales - La trépanation - Les amputations MEDECINES ET OBSTETRIQUE : Premier a parler de la prédisposition de certains corps à l’hémorragie, ou hémophilie, tuberculose des vertèbres (sept siècles avant le nom de mal de POTT) - Conseille de plusieurs manœuvres d’accouchement

telles que la trépanation et la réduction des fractures. Médecins et chirurgiens Dès la préhistoire, les hommes ont cherché à se soigner et à combattre les maux dont ils souffraient.Vers – 30 000 ans, les hommes connaissaient déjà les propriétés thérapeutiques de l’argile et des ocres. Ils utilisaient l’argile pour son pouvoir apaisant et cicatrisant.De même, ils enduisaient les parois des tombes d’ocre qui préservait la dépouille de la putréfaction. Trépanation Même la trépanation ( percer un

LES FORMES DE MEDECINE A LA PREHISTOIRE Problématique : Jusqu’où avait avancé la médecine à la Préhistoire ? Comment la médecine s’est elle développée au cours de la Préhistoire ? PLAN : I) Introduction II) Actes chirurgicaux a) Trépanations b) Amputations III) Médecine spirituelle a) Pierres de foudre b) Colliers magiques IV) Plantes médicinales V) Traitement des maladies http://www.franceculture.com/emission-la-m%C3%A9decine-pr%C3%A9historique-une-amputation-vieille-de-7-000-ans-2010-03-17

connaissance de l’anatomie et de la physiologie La douleur L’hémorragie L’infection (pénicilline : 1936) Raisonnement médico-chirurgical indispensable !!! De la période primitive au Moyen-Age La préhistoire 15000 - 5000 avant JC (mésolithique) Trépanation (religieux, thérapeutiques) Amputation à des fins thérapeutiques Orthopédie Pansement Ecorce de Bouleau Feuille de nénuphar Argile, charbon Résine de cèdres Jus de pavot L’antiquité Débute avec l’adoption de l’écriture Périodes différentes

chirurgiens de l’époque romaine. Cette expertise nous est d’ailleurs confirmée par les textes, avec quelques exemples de prouesses spectaculaires. Nos ancêtres savaient par exemple traiter la cataracte, ligaturer des veines sectionnées, pratiquaient des trépanations, seul moyen de sauver une personne ayant subi un choc violent à la tête, recoudre une plaie, appliquer un pansement hémostatiques et n’avaient recours à la terrible cautère que si toutes les autres méthodes échouaient. Les trousses de chirurgien

lorsque Ambroise Paré arrachât la médecine de son sommeil médiéval en Europe au XVI siècle." Quant au Mexique, "En chirurgie ils avaient fait de grands progrès; ils soudaient des os brisés et pratiquaient des opérations aussi difficiles que la trépanation."(3) Complétons Alfonso Toro en ajoutant qu'on y pratiquait même la chirurgie esthétique pour réparer les visages des belliqueux Aztèques démolis aux combats. De même chez les Mayas, comme écrit Diego de Landa, quoique à sa manière bien particulière :

un homme font l’amour (dans une partir du cerveau). -Deux jambes en moins (prothèse). -Borgne. -Tient les cartes avec sa bouche. -Plus de bras ? -Cou en acier ? -Crâne a été ouvert (trépanation). -Plus de jambes et pas de prothèses -A l’air calé sur la chaise pour qu’il puisse tenir droit. -Trépanation. -Une prothèse pour une main + un bras. -Une prothèse pour la mâchoire. -Sexe apparent. D) Analyse de l’œuvre d’art. A) En quoi Otto DIX montre-t-il l’horreur de la guerre ?

l’expérience du médecin grec Claudius Galenos (129-199) qui dit que l’ouverture du crâne ne devait pas obligatoirement avoir la mort pour conséquence que l’idée se propagea que « la méchante pierre du haut mal » pouvait être extraite cliniquement. Par une trépanation du crâne on donne à l’esprit la possibilité d’échapper de la tête du malade. On a trouvé des crânes transpercés. Nous pouvons déduire de l’accroissement de cartilage autour de la blessure que la personne a encore vécu longuement après l’intervention

dans une affaire de vol au musée du Louvre mais cela s’arrange rapidement. Délaissé par Marie, il s’engage volontairement en décembre 1914. IL est blessé à la tempe le 17 mars 1916 et son “étoile de sang”, comme il l’a surnommée, le conduit à la trépanation. Il se marie le 2 mai 1918 avec Jacqueline Kolb mais succombe le 9 novembre 1918 de la grippe espagnole. SES OEUVRES : 1905 : Les mémoires d’un jeune Dom Juan. 1909 : La poésie symboliste. 1913 : Alcools. 1914 : Les trois Dom Juan

Moyen Age : le fou est un envoyé de Dieu qui mérite à la fois considération, respcet et aura le salut éternel. On va quand même les hospitaliser et les enfermer. On soigne la folie par des drogues, plantes, des régimes et de façon systématique la trépanation. Renaissance : la folie ets au centre d’un certain nombre d’attitude, de préoccupations et de discours. Les fous ne cessent d’être considérés comme des êtres anormaux. On les enferme car on ne peut ni les intégrer ni les abandonner. Renaissance