Trêve de Bruges

vitrine, où étaient exposées des confections pour dames. Chez Cornaille, à Valognes, elle était spécialement chargée des confections. Et jamais elle n'avait vu cela, une admiration la clouait sur le trottoir. Au fond, une grande écharpe en dentelle de Bruges, d'un prix considérable, élargissait un voile d'autel, deux ailes déployées, d'une blancheur rousse; des volants de point d'Alençon se trouvaient jetés en guirlandes; puis, c'était, à pleines mains, un ruissellement de toutes les dentelles, les malines

vitrine, où étaient exposées des confections pour dames. Chez Cornaille, à Valognes, elle était spécialement chargée des confections. Et jamais elle n’avait vu cela, une admiration la clouait sur le trottoir. Au fond, une grande écharpe en dentelle de Bruges, d’un prix considérable, élargissait un voile d’autel, deux ailes déployées, d’une blancheur rousse ; des volants de point d’alençon se trouvaient jetés en guirlandes ; puis, c’était, à pleines mains, un ruissellement de toutes les dentelles, les

confections pour dames. Chez Cornaille, à Valognes, elle était spécialement chargée I 4 Au Bonheur des Dames des confections. Et jamais elle n'avait vu cela, une admiration la clouait sur le trottoir. Au fond, une grande écharpe en dentelle de Bruges, d'un prix considérable, élargissait un voile d'autel, deux ailes déployées, d'une blancheur rousse ; des volants de point d'Alençon se trouvaient jetés en guirlandes ; puis, c'était, à pleines mains, un ruissellement de toutes les dentelles, les

vitrine, où étaient exposées des confections pour dames. Chez Cornaille, à Valognes, elle était spécialement chargée des confections. Et jamais elle n'avait vu cela, une admiration la clouait sur le trottoir. Au fond, une grande écharpe en dentelle de Bruges, d'un prix considérable, élargissait un voile d'autel, deux ailes déployées, d'une blancheur rousse ; des volants de point d'Alençon se trouvaient jetés en guirlandes; puis, c'était, à pleines mains, un ruissellement de toutes les dentelles, les malines

injuste et incompréhensible. Mais son élan aveugle revendique l'ordre au milieu du chaos et l'unité au cœur même de ce qui fuit et disparaît. Elle crie, elle exige, elle veut que le scandale cesse et que se fixe enfin ce qui jusqu'ici s'écrivait sans trêve sur la mer. Son souci est de transformer » [838]. Il y a donc une double dimension corrélative : « On repousse en même temps la situation humaine et l'on aspire au bonheur » [839]. - Exigence de justice. La condition métaphysique était injuste

injuste et incompréhensible. Mais son élan aveugle revendique l'ordre au milieu du chaos et l'unité au cœur même de ce qui fuit et disparaît. Elle crie, elle exige, elle veut que le scandale cesse et que se fixe enfin ce qui jusqu'ici s'écrivait sans trêve sur la mer. Son souci est de transformer » 838 . Il y a donc une double dimension corrélative : « On repousse en même temps la situation humaine et l'on aspire au bonheur » 839 . - Exigence de justice. La condition métaphysique était injuste pour l'homme

ont maitrisé puis utilisé à leur profit leurs droits de suzerain. Le roi a repris les prérogatives de la puissance publique que les seigneurs s’étaient appropriés. Le roi a institué des paix spéciales, sur le modèle de la trève de Dieu établie par l’Eglise, qui portent des noms divers : la quarantaine-le-roi, l’assurement et la sauvegarde. La quarantaine-le-roi interdit, pendant un délai de 40 jours après les faits, toute guerre féodale entre deux lignages. L’assurement permet

composée de Magguy Le Goff, la directrice, Mylène Le Merrer, Morgane Le Bonhomme et Estelle Lavanant. Le projet jardinage avec le foyer Roger-Legrand est reconduit. Les enfants s’y rendront pour jardiner, tous les quinze jours jusqu’en octobre. Après la trêve hivernale, cette activité reprendra en mars. Les activités débutent à 9 h. Une garderie accueille les enfants de 7 h 30 à 9 h et de 17 h à 18 h 30. Les parents ont la possibilité d’y inscrire leurs enfants à la journée mais aussi à la demi-journée

attendra à trois heures, pour un règlement de service. D'un signe de tête, Rochas dit qu'il serait exact ; et Jean ne partit pas tout de suite, sourit à Maurice, qui allumait une cigarette. Depuis la scène du wagon, il y avait entre les deux hommes une trêve tacite, comme une étude réciproque, de plus en plus bienveillante. Prosper était revenu, pris d'impatience. − Je vas manger, moi, si mon chef ne sort pas de cette baraque... C'est fichu, l'empereur est capable de ne pas rentrer avant ce soir. − Dites

Chemin des Dames près de Laon. Document 2 La mort de masse Troisième bataille d’Ypres (31  juillet-6  novembre 1917), en Flandre occidentale, selon la volonté du général britannique Haig, elle vise à atteindre les bases de U-boots situées à Bruges et à percer le front. La photographie montre les conditions dans lesquelles les soldats ont dû combattre et notamment la pluie et la boue qui transforment le champ de bataille en un véritable bourbier. Entre le début du mois d’août et la fin du mois