Trichromatisme

La trichromatisme Sommaire: 1) Introduction 2) L'oeil -Chez l'homme -Chez les animaux 3) La vision des couleurs -Chez l'homme: les daltoniens 4) Conclusion 1) Introduction Chez l'homme, la vue est un sens essentiel , elle lui permet de capter la lumière et de l'analyser. L'oeil est l'organe de la vision mais aussi l'organe sensorial le plus important. Plus de 90% de nos perceptions

L’homme a une vision trichromatique, sa vision des couleurs se traduit par des différentes opsines sensibles au bleu, au vert et au rouge. Ces opsines se trouvent dans des différents gènes. Dans le chromosome 7 le gène B, qui dispose de l’opsine sensible au bleu, et dans le chromosome X se trouvent le gène V et le gène R, qui disposent de l’opsine sensible au vert et au rouge, dans son respective ordre. L’existence de trois pigments de la vision des couleurs a été découverte par Thomas Young au

THEME 1 : LA REPRESENTATION VISUELLE CHAPITRE 1 : LES MECANISMES NERVEUX DE LA VISION I. UN RECEPTEUR SENSORIEL : L’ŒIL 1. Anatomie de l’œil L’œil est un récepteur sensoriel sensible à la lumière. Il est divisé en deux parties :  la partie antérieure ( devant ) comprenant l’humeur aqueuse délimitée vers l’avant par la cornée transparente et vers l’arrière par la pupille, l’iris et le cristallin.  la partie postérieure comprenant l’humeur vitrée délimitée à l’arrière par les 3 enveloppes

4. Les pigments rétiniens Problème : Comment expliquer la propriété phoréceptrice des cônes à l’origine de la vision des couleurs Activité 1 : Mise en évidence des différentes opsines des cônes Le daltonisme est connu depuis le 17ème siècle du nom du physicien anglais John Dalton atteint de ce type de déficience visuelle des couleurs. John Dalton souffrait de la forme la plus courante de daltonisme : l’absence de distinction entre le vert et le rouge. Il existe d’autres formes de daltonisme

personnes touchées présentent des symptômes modérés. Les daltoniens ne peuvent pas percevoir les différences entre certaines couleurs. Le cône manquant détermine le type de dichromatisme dont le sujet souffre et le cône affaibli détermine le type de trichromatisme. Ils sont classés en plusieurs catégories. Les différents types de dichromatisme sont : - La deutéranopie est l’absence totale des cônes verts : une personne souffrant de deutéranopie a des difficultés à faire la différence entre l'orange, le

Chez la femme Le 2eme chromosome X compense le 1er chromosome si il est atteint - Chez l’homme le gène ne peut pas être compensé - Les daltoniens représentent 9% de la population masculine française. Le Daltonisme : Les différents types (1) : Trichromatisme : voit toutes les couleurs, mais l’une à une intensité différente. 3 sous-catégories : Protanomalie : faible perception du rouge. Deutéranomalie : faible perception du vert. Tritanomalie : faible perception du bleu. Dichromatisme : voit que 2

X, et un chromosome Y, le gène anormal ne peut donc pas être compensé. Quels sont les différents types de daltonismes ? Il existe en effet différents types de daltonisme, classés en 3 catégories, suivant l’importance du trouble visuel : Trichromatisme : le trichromate voit toutes les couleurs, mais l’une a une intensité différente. Il existe 3 sous-catégories : Protanomalie : faible perception du rouge. Deutéranomalie : faible perception du vert. Tritanomalie : faible perception du bleu

des anomalies du daltonisme. C’est l’absence du gène donc du pigment. Ce qui va se traduire par la perception de 2 couleurs seulement. L’une des anomalies qui possèdera un trouble visuel moins important est un personne qui sera atteinte de « trichromatisme anormal ». Les cônes sont bien présents mais ne transmettent pas parfaitement le signal qui correspond à leur couleur, ce qui entraînera une légère altération de la vision colorée. Une acuité visuelle normale Le daltonisme n'entraîne pas d’handicap

chromosome X, ce qu'il sera intéressant de savoir pour comprendre le daltonisme. La vision trichromatique n'est pas la seule possible: beaucoup d'animaux sont dichromates et certains même tétrachromates. Nous pouvons donc nous demander d'où vient le trichromatisme humain. Comme nous l'avons vu, il y a des ressemblances entre bâtonnets et iodopsine S, de même qu'entre iodopsines L et M. Selon une théorie, il y avait à l'origine deux iodopsines, S et M/L, qui se sont différenciées au cours du temps. La différenciation

diffèrents). Les cônes S ont aussi une place spécifique dans la rétine, n'étant pas présente dans la fovéa (zone de la rétine où la vision des détails est la plus précise.), mais l'entourant, ce qui montre encore une fois une nette différence. Le trichromatisme est donc le résultat de l'existence de protéines différentes, contrôlées par des gènes. Comme nous l'avons dit, les deux gènes qui codent pour les pigments des cônes L et M sont alignés l'un derrière l'autre sur les bras longs du chromosome