Trivial

adverbes qui sont volontairement péjoratifs à partir du moment où le poète met un pied dans la société et tout ce quel a de plus vulgaire et trivial, un cas de la vie quotidienne. Les rimes alternés de « planche » et « blanche » exprime bien l’opposition entre les deux mondes, celui de la poésie, et celui de la réalité. « les planches » est un terme trivial qui signifie quelque chose de construit, et qui s’oppose au ciel : c’est un symbole de la civilisation. Les noms « comique » et  « laid » n’appartiennent

Sorte de schéma narratif = enchaînement logique, facile à suivre  Aspect ludique, plaisant  Alternance passé/simple – imparfait = structure et enchaînement logique Rythme saccadé v. 19-20 = rythme rapide, plaisant B) Un aspect comique et trivial * le coq : chp. Lex. Basse-cour = insistance sur la trivialité v. 8 périphrase méliorative -> coqs anoblis : registre burlesque Paronomase v. 26-27 donne aspect comique II. Une triple méditation A) Réflexion philosophique sur

et une nouvelle technique dramatique pénétraient dans le monde de Marcel Dubé. Intérêt littéraire Si “Un simple soldat” est d’une conception et d'une inspiration fort différentes, la pièce pose, autant que “Zone”, le problème du langage. Trivial, dru et coloré, truffé de jurons, il était, avant qu’on ose employer le « joual », la transposition sur scène alors la plus vraisemblable et la plus acceptable de la langue qu'on parlait dans le milieu populaire montréalais et, surtout, que pouvait

conte, dans un souci de cohérence. - Le refus du "trivial" et de "l'extravagant" tempère le refus du "rêve" : un conte doit pouvoir être vraisemblable et non onirique, sans tomber dans la trivialité. Ce "juste milieu" est atteint par exemple lors de la rencontre de Candide avec le nègre : les malheurs arrivés au nègre sont soulignés dans la perspective d'une dénonciation de l'esclavage, qui permet à la description d'échapper à la cruauté triviale. II. Les contradictions de l'écrivain : invraisemblance

| Cruauté, trivialité : - Personnages peints en actions cruelles (v2 « prennent », v11 « agace », v12 « mime ») Parallélisme v11 et v12 qui mécanise leurs gestes -Le seul objet désigné comme appartenant aux marins est « brule-gueule »: mot trivial => contamination aux personnages | Dégradation (au contact du sol, lorsqu'il rencontre les hommes): - qualificatifs dépréciatifs (« maladroit », « gauche », « veule », « laid »), jusqu'à la qualification monosyllabique. Synthèse des

signe du jeu => conséquence => le rire III/ L’esprit humaniste • -  selon Rabelais, il faut « Rompre l’os et suer la substantique moelle » • -  volonté de Rabelais a choquer le lecteur pour qu’il ne s’arrête pas aux apparences comique et trivial mais qu’il en pénètre la signification profonde. L’humanisme vise a retrouver la nature comme dans les tapisseries aux milles fleur parsemé de fleurette et d’animaux, mais ici, tout nous choque, le narrateur souhaite que l’on n’est pas honte de notre

et Clov * Lorsque Hamm de ne plus lui donner a manger, il nuance qu’il lui donnera assez pour l’empêcher de mourir et qu’il aura tout le temps faim. Hamm fait ici figure de maitre cruel III) Contribue au comique de la pièce e) Un motif trivial * Hamm souligne la trivialité de la nourriture : « bouffer, bouffer, ils ne pensent qu’a ça » (21) * Première réplique de Nagg « ma bouillie », qu’il répète 3 fois. Le déterminant possessif suggère qu’il s’agit d’un met habituel * Signe

avec le jour où se divulgue le secret II. Le mélange des genres 1) Effets parodiques Parodie de la scène d'accouchement (douleur) Parodie du genre héroïque : "renommée" v. 34 → gloire = registre héroï-comique, contraste avec le contexte trivial Parodie du genre poétique élevé : v. 14 diérèse. La Fontaine fait allusion aux "Amours de Psyché et de Cupidon" dédicacé au Dauphin. 2) Les jeux sur les registres et les niveaux de langue Dégradation de mots en ce qui concerne les femmes :

aussi déjà quelques irrégularités qui vont ouvrir la voie au renouvellement formel que Rimbaud va opérer dans les années à venir, comme par exemple la présence d’enjambements et de rejets. On peut lire de la même façon l’inscription d’un lexique trivial : « poches, paletot, culotte, trou, frou-frou, élastiques, souliers », lexique qui s’imposera dans certains poèmes comme Le cœur du pitre.

autrement d’un coté la tentation de l’épanchement personnel et romantique, de l’autre la trivialité et la bassesse d’un réalisme à l’égard duquel le romancier ne cesse de proclamer sa méfiance et même sa haine . L’art de la plénitude : choix d’un sujet trivial , souligné par le sous titre mœurs de province, qu’il s’agit d’élever au rang de l’art sans tomber dans la compassion à la maniere de Georges sand ni dans l’asservissement à la réalité la plus vulgaire. L’impersonnalité de l’œuvre : usage du style