Trois Contes De Flaubert Problematique

Gustave Flaubert - Œuvres - Bouvard et Pécuchet ŒUVRES Bouvard et Pécuchet I Comme il faisait une chaleur de trente-trois degrés, le boulevard Bourdon se trouvait absolument désert. Plus bas le canal Saint-Martin, fermé par les deux écluses étalait en ligne droite son eau couleur d’encre. Il y avait au milieu, un bateau plein de bois, et sur la berge deux rangs de barriques. Au delà du canal, entre les maisons que séparent des chantiers, le grand ciel pur se découpait en plaques

de l’auteur, de la réalité et de la vision de l’époque de production. À travers le champ littéraire du romantisme et du réalisme, il s’agit d’étudier les caractéristiques du personnage romanesque et théâtral, ses constances et ses avatars. Les trois interrogations qui guident cet objet d’étude orientent le parcours du questionnement sur la notion de personnage et de héros, sa pérennité comme personnage type à travers les siècles. Elles conduisent aussi à s’interroger sur ce qui touche, ou non

1 INTRODUCTION « Salammbô, traduit du Carthaginois »1 titre d’une série de caricatures sur Salammbô publiées par Morel-Retz, dit Stop, dans Le Journal amusant, 10 janvier 1863, p. 4-6. 1 2 Pour Flaubert, écrire sur Carthage, c’est vivre la souffrance du traducteur. Un rapide survol des lettres dans la période 1857-1862 permet de prendre la mesure de l’épreuve : « La difficulté est de trouver la note juste [...] Pour être entendu, d’ailleurs, il faut faire une sorte de traduction

fantastiques de Maupassant, ceux qui font intervenir des célibataires en proie à des phénomènes paranormaux mettent en scène la femme surnaturelle et mêlent ainsi désirs et obsessions érotiques et inquiétante étrangeté. A travers un corpus de dix contes qui évoquent des amours étranges, nous verrons que le motif de la femme – essentiel à l’œuvre de Maupassant – associé au fantastique permet de souligner la proximité permanente du fantastique et du réalisme. Ces écrits ancrés dans le quotidien unissent

une description d'un cadavre en décomposition , le cadavre de Nana ! Nous étudierons ce tableau réaliste et sinistre et nous demanderons si la description n'est dans le récit qu'une simple pause illustrative . (présenter le texte et proposer une problématique ) Nous verrons dans un premier temps que la description est construite avec réalisme , Zola se proposant selon la méthode expérimentale qu'il prône, un examen précis et technique du réel . Pourtant nous verrons dans une deuxième partie que la

fantastiques de Maupassant, ceux qui font interve- nir des célibataires en proie à des phénomènes paranormaux mettent en scène la femme surnaturelle et mêlent ainsi désirs et obsessions érotiques et inquié- tante étrangeté. A travers un corpus de dix contes qui évoquent des amours étranges, nous verrons que le motif de la femme – essentiel à l’œuvre de Mau- passant – associé au fantastique permet de souligner la proximité permanente du fantastique et du réalisme. Ces écrits ancrés dans le quotidien unissent

Le chapitre XVII renoue avec la tradition du conte oriental, l’arrivée des personnages en El Dorado, par un passage dans une grotte où coule une rivière, rappelle le 6ème voyage de Sindbad le Marin tiré des contes des « Mille & une nuits ». Mais, ces deux chapitres reprennent la veine littéraire

* Il y a eu une révolution littéraire au XXº siècle qui a consisté à considérer que l’interprétation du lecteur fait partie du texte. * L’objectif de ce livre est de suivre l’évolution de cette nouvelle pensée critique. * Distinction entre trois critiques : la critique parlée (conversations, correspondances, journaux intimes ; Montaigne, Mme de Sévigné), la critique professionnelle (journalisme littéraire) et la critique artistique. * Critique artistique : recouvre toute l’histoire littéraire

(impliquant un héros ou une héroïne jeune et inexpérimentée qui fait l'expérience de l'existence sociale, affective ou esthétique, à travers un certain nombre d'épreuves (comme dans Les Illusions perdues de Balzac, ou L'Éducation sentimentale de Flaubert). Mais ces romans d'apprentissage peuvent être très différents par la longueur, par la forme, par le type de narration. Enfin, lorsqu'on parle de la poésie lyrique, on réfère en général à la fois à une forme d'énonciation à la première personne (critère

OEUVRES 158 REMERCIEMENTS Merci au descendant probable de Charles Mailhot, Sénateur de la Puissance, de Gédéon Mailhot, l'Honorable ministre des Terres de la Couronne, d'Adèle Mailhot, l'illustre et vénérée Mère de Chantal des Ursulines de Trois-Rivières, et de son frère Numédique, de Charles-Édouard Mailhot, l'historien des Bois-Francs, de Robert Mailhot dit Pollon ou «Pas-long», contemporain du détective Mailhot chargé d'enquêter sur la mort du mari de l'héroïne de Papa Boss, merci à Laurent