Trolleybus

Le guide de la caténaire pour les nuls Le guide de la caténaire pour les nuls Dans ce document, je vais essayer de vous expliquer les rudiments de pose de la caténaire afin que vos réseaux un fois terminés ressemblent comme 2 gouttes d'eau à ce que l'on rencontre dans la réalité. Une petite chose cependant mais qui a son importance, je ne parlerait que de la caténaire 25kV que l'on rencontre sur les voies de circulation normale, la caténaire pour voie de service étant un cas à part (et qui devrait

fantastique qui transparait tout au long du texte. On remarque en premier lieu que les machines sont tout le temps personnifiées : « tout ça parlait son langage, racontait son histoire de bielles et de pistons » l.7, « les moteurs vivaient » l.7, « les trolleybus glissaient […] gémissant continuellement » l. 8-10. En prêtant ainsi vie à des mécanismes, Le Clézio cherche sans doute à grossir leur rôle dans le monde actuel, il veut nous faire remarquer le trop plein d’importance que les humains accordent aux

BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE Sciences et Technologies de l’Industrie et du Développement Durable ENSEIGNEMENTS TECHNOLOGIQUES TRANSVERSAUX Coefficient 8 – Durée 4 heures Aucun document autorisé – Calculatrice autorisée Etude d’un réseau de trolleybus Constitution du sujet : Dossier Sujet (mise en situation et questions à traiter par le candidat) PARTIE 1 (3 heures) Pages 3 à 10 PARTIE 2 (1 heure) Pages 11 à 14 Dossier Technique (DT1 à DT3) Pages 15 à 17 Documents Réponse (DR1 à DR4)

Clézio nous décrit et la façon dont il parle en réalité de cette ville, en la personnifiant. En effet pour la décrire l’auteur utilise le champ lexical de la machine. On notera « mécanismes, ascenseurs, soupapes, culasses, moteurs, automobiles, trolleybus » et il énumère les matières inertes dont la ville est faite « verre, ciment, laiton, acier ». Et pourtant nous ne sommes pas uniquement dans un univers froid et désincarné « habituel ». //t Le Clézio va personnifier cette ville en nous parlant

se répandait dans les rues et se mêlait à la chaleur des hommes. Ville vivante. Les trolleybus glissaient sur leurs pneus, en gémissant continuellement. Le trolleybus numéro 9 longeait le trottoir, et à travers les vitres on voyait la cargaison de visages pareils. II dépassait un cycliste, il avançait sur la chaussée noire, on voyait les larges bandes des pneus s'écraser sur le sol avec un bruit d'eau. Le trolleybus numéro 9 avançait, portant dans son ventre les grappes de visages aux yeux tous pareils

se repandait dans les rues et se melait a la chaleur des hommes. Ville vivante. Les trolleybus glissaient sur leurs pneus, en gemissant continuellement. Le trolleybus numero 9 longeait le trottoir, et a travers les vitres on voyait la cargaison de visages pareils. II depassait un cycliste, il avancait sur la chaussee noire, on voyait les larges bandes des pneus s'ecraser sur le sol avec un bruit d'eau. Le trolleybus numero 9 avancait, portant dans son ventre les grappes de visages aux yeux tous pareils

se répandait dans les rues et se mêlait à la chaleur des hommes. Ville vivante. Les trolleybus glissaient sur leurs pneus, en gémissant continuellement. Le trolleybus numéro 9 longeait le trottoir, et à travers les vitres on voyait la cargaison de visages pareils. II dépassait un cycliste, il avançait sur la chaussée noire, on voyait les larges bandes des pneus s'écraser sur le sol avec un bruit d'eau. Le trolleybus numéro 9 avançait, portant dans son ventre les grappes de visages aux yeux tous pareils

l’absurde dans l’extrait. I.Une ville mécanique où les sensations oppressantes dominent L’auteur utilise le champ lexical de la machine, en décrivant les machines elles-mêmes (mécanismes, ascenseurs, soupapes,culasses, moteurs, automobiles, trolleybus) et il énumère les matières (verre, ciment, laiton, acier) et les éléments (réseau, fils)dont la ville est faite. A travers ce lexique, le lecteur est plongé dans un univers froid et désincarné.Dans cette ville le bruit est omniprésent. Il est par

Ces hommes ne sont pas des ouvriers d'Électricité et Gaz d'Algérie. Ils appartiennent au réseau " bombes " de Habib Reda. C'est lui qui a eu l'idée machiavélique de placer des engins explosifs dans le pied des lampadaires, juste aux arrêts des trolleybus. Un militant du Front, qui travaille réellement à l'E.G.A., a fourni la clé et les uniformes. À l'heure de sortie des bureaux "Ça va faire un feu d'artifice comme on n'en a encore jamais vu ! S’est exclamé Ali la Pointe quand Habib Reda a annoncé

que des machines : On peut constater un univers mécanique et des machines omniprésentes par le fait d’employer un champ lexical de la machine « électricité, trolleybus, capot, soupapes, mécanismes », c’est la Machine qui est active à la place de l’Homme, à cause des nombreux champs lexicaux du transport « cargaison, transport, trolleybus, longeait ». D’après Le Clézio, La Machine a pris le pas sur l’Homme et celui-ci est en déclin. Les machines présentes dans les grandes villes prennent des traits