Trop Belle Droit

ondes hertziennes de notre hexagone. C’est en 1968 que je vois le président de la république, le général De Gaulle s’exprimer auprès des français à la télévision après les émeutes du mois de mai. Je suis trop jeune pour comprendre cette révolte estudiantine contre cette société que l’on dit trop stricte. N’ai-je pas pris quelques coups de règle et paires de claques par les instituteurs ? Bien des années plus tard, je rencontrerai d’anciens « soixante huitards » qui me raconteront leur mois de mai

grands principes et la réalité :  les Républicains veulent répandre dans le monde colonial les droits de l’homme et la civilisation : débuté en 1830 la construction d’un vaste empire colonial s’achève en 1914. Mais cette belle idée sera en fait le prétexte à une domination impérialiste qui prive de leurs droits les colonisés  si les citoyens sont égaux politiquement, les femmes n’obtiendront le droit de voter qu’en 1944  les juifs (affaire Dreyfus) et les étrangers ne sont pas toujours bien acceptés

Dans le même petit village en bord de mer, trois générations de femmes ont vécu. Rassemblées par des thèmes communs. Dans les années 50, Louise épouse un riche tailleur qui lui offre tout ce dont elle rêve : une grande maison, une belle cuisine, des vêtements uniques. Tout, sauf le plus important : la possibilité de vivre sa vie. Martine, sa fille, est devenue médecin et s'est mariée. Elle vient de perdre son père, qui l'a élevée après le départ lâche de sa mère. Audrey, sa fille, est partie

La France de la Belle-Epoque : entre dynamisme et stagnation II. Une société de Belle-Epoque : névrose de fin de siècle ou optimisme d'ouverture du XXè siècle ? A. Aspects optimistes 1. Consommation populaire Le marché intérieur, en dépit de l'affaiblissement démographique, est + porteur. Evolution positive des salaires réels. Réduction à partir de 1900 des écarts salariaux. Niveau de vie en hausse, donc consommation populaire en hausse. 2. Marché intérieur qui progresse, s'homogénéise

www.ecoledesmax.com D.R. Page 1/7  Amorce Il était une fois… C'est ainsi que commencent les contes. Mais quels contes ? Les contes à l'endroit, ou les contes à l'envers ? Côté endroit, voici quelques célébrités : Blanche-Neige, la Belle au bois dormant ou bien encore le Petit Chaperon rouge, sans oublier une multitude de loups, de fées et de princes charmants… Mais côté envers ? On retrouve les mêmes

était à cette fontaine , il vint à elle une pauvre femme qui lui pria de lui 2 donner à boire.     « Oui, ma bonne mère, dit cette belle fille. Et, rinçant aussitôt sa cruche, elle puisa de l'eau au plus bel endroit de la fontaine et la lui présenta, soutenant toujours la cruche, afin qu'elle bût plus aisément. La bonne femme, ayant bu, lui dit : « Vous êtes si belle, si bonne et si honnête, que je ne puis m'empêcher de vous faire un don. Car c'était une fée qui avait pris la forme d'une pauvre

se dresse et veut fuir.) – N’ayez pas peur. Vous n’avez rien à craindre. Pourquoi pleurez-vous, ici, toute seule ? MÉLISANDE : Ne me touchez pas ! ne me touchez pas ! GOLAUD : N’ayez pas peur… Je ne vous ferai pas… Oh ! vous êtes belle ! MÉLISANDE : Ne me touchez pas ! ou je me jette à l’eau !… GOLAUD : Je ne vous touche pas… Voyez, je resterai ici, contre l’arbre. N’ayez pas peur. Quelqu’un vous a-t-il fait du mal ? MÉLISANDE : Oh ! oui ! oui, oui !…

Dom Juan de Molière - étude de forme pour trois extraits Prenez note que les commentaires (dans la marge de droite) précisent certains procédés littéraires, mais il en manque.  La progression des répliques ou les champs lexicaux, par exemple, n’ont pas été soulevés. Acte 1, scène 2 (entre les lignes 113 et 261) DOM JUAN.-Ma foi, tu ne te trompes pas, et je dois t’avouer qu’un autre objet Objet : se dit pour parler d’un homme ou d’une femme, sans nuance péjorative. a chassé Elvire de ma

est devenue dépendante du séducteur. Elle l'appelle pour un rien, comme si celui-ci était devenu son confesseur, son gourou. Le séducteur, lui, reste détaché et engrange les points, mesurant très précisément l'avancée de son aura sur l'âme de la belle. Elle commence à souffrir du détachement apparent de son séducteur; elle dévoile de plus en plus le fond de son intimité, de son âme, de ce qu'elle espère de la passion débridée qu'elle est prête à déchaîner, de tout ce qu'elle est disposée à offrir

[pic] Cette fille, ce secret. Tout était comme au ralenti. Sa respiration régulière, le mouvement de ses cheveux. J’adorais quand elle les relevaient. Je voyais ainsi sa nuque droite. Et aussi, quand elle se retourna pour demander un stylo. Ses yeux se posèrent un moment sur moi. Elle me sourit. Elle sourit comme pour dire «  Je peux faire face à n’importe quoi ». Ses yeux lui donnaient un air confiant. Elle était une de ces personnes si rares qui, avec un regard, te disais