Tsugouharu Foujita

17 bis, rue Campagne-Première (où se situeront les dernières scènes d’À bout de souffle). Malgré son illustre clientèle d'artistes (Georges Braque, André Derain, Maurice Utrillo, Maurice de Vlaminck, André Dunoyer de Segonzac, Moïse Kisling, Tsugouharu Foujita), la situation financière d'Atget est précaire (le couple vivra pendant un temps sur les seuls revenus de sa femme), particulièrement durant et après la Première Guerre mondiale, au cours de laquelle il cesse progressivement de photographier

Soutine (P87). Elle fréquente la brasserie "La Rotonde" (+ p93). En 1918, elle se met en ménage avec un peintre juif polonais, Maurice Mendjizki, qui lui attribue le pseudonyme Kiki (P96). Elle pose pour les peintres Amedeo Modigliani FIN et Tsugouharu Foujita FIN. (OU PHOTO) En 1921, elle devient la compagne et le modèle préféré de Man Ray (FIN + P132). En 1929, Kiki devient la maîtresse du journaliste Henri Broca. Ce dernier fonde le magazine "Paris-Montparnasse" dans lequel paraissent les

qu’elle faisait à la brasserie « La Rotonde » , Kiki observait ces vies d'artistes dont elle faisait quasiment partie désormais ; elle posa peu après pour Modigliani, Kissling et Foujita dont le " Nu couché à la toile de Jouy" qui sera l'événement du Salon d'automne de 1922. Elle pose pour Modigliani, Kissling et Foujita dont le " Nu couché à Ce qu’on peut retenir d’elle ? La vie de Kiki est dès lors un parcours artistique, dont elle n'est pas simplement un outil voire une inspiratrice, mais