Tupinamba

prins en guerre, et les cérémonies qu’ils observent tout à les tuer qu’à les manger. La scène suit la description de la mise à mort, puis de la cuisson du prisonnier. Ces quelques paragraphes s’attardent sur le symbole et la raison même du repas des Tupinambas. De quelle façon Léry réussit-il à conserver un regard neutre devant une scène de cannibalisme terrifiante ? Ce passage est tout d’abord la description neutre d’un rituel anthropophage. Il est également un moyen pour Léry de s’attacher à la portée

la présentation du cannibalisme des Tupinambas (une tribus Amazonienne) Montaigne laisse à penser que les Cannibales sont plus évolués que les Scythes (Peuple nomade) puisque leur anthropophagie n'est point destiné à les nourrir de chair humaine mais à figurer comme le dit Montaigne « d'une extrême vengeance » et qu'il ont conscience (je cite) «  de l'horreur … » Mais par un autre tour de pensée, Montaigne va s'efforcer de légitimer la conduite des Tupinambas en la rapprochant des préceptes stoïciens

Œuvre : Histoire d'un voyage fait en terre de Brésil, il s'agit d'un texte argumentatif. Il décrit dans son œuvre, la vie des Tupinambas (peuple indigènes d'Amazonie). Situation : Suite à la découverte du Brésil par Villegagon en 1555, LÉRY s'interssent à eux comme Montaigne mais pour lui s’agit d'une expérience personnelle puisqu'il va aller à l'encontre de ces Tupinambas. Présentation : Dans cet extrait, l'auteur nous décrit le corps du sauvage en s'appuyant sur sa rencontre, il se compare

du Nouveau Monde les textes proposés mettent-ils donc en relief ? Les auteurs s’accordent à apprécier les indigènes non dans l’absolu, mais par comparaison avec les vieilles nations civilisées de l’Europe. Ils sont frappés par leur naturel. Les Tupinambas de Léry se laissent aller à leur curiosité ; en grands enfants, ils se livrent à d’étonnantes démonstrations d’intérêt pour leurs visiteurs en essayant certaines pièces de leurs vêtements. Léry sait dépasser sa surprise et reconnaît qu’ils « reçoivent

protestantisme, redevient catholique, et persécute les protestants qui sont venus avec lui dans la colonie, dont Jean de Léry. Les protestants sont contraints de quitter le camp français et se réfugient durant à peu près une année parmi les Indiens Tupinambas, avant de pouvoir reprendre un bateau pour la France. Ce sera la fin de l’expérience française au Brésil, que les Portugais vont récupérer. Dans quel contexte a-t-il écrit l’Histoire d’un Voyage fait en la terre du Brésil ? Cette rencontre avec

leur humanité. Il fait le lien avec La Controverse de Valladolid qui est un procès qui détermina si les indiens d'Amérique était ou non de la race humaine. En quoi le portrait fait par Jean de Léry fait t-il ressortir la profonde humanité des Tupinambas autrement appelé « sauvages »? En premier lieu nous verrons le portrait élogieux des indigènes pour démontrer leur humanité. Suivi par la critique en filigrane de la société Européenne. Développement : I) Le portrait élogieux des indigènes

modernisée) Artisan d’origine modeste et de religion protestante, Jean de Léry participa à une expédition française au Brésil. À cette occasion, il partagea pendant quelque temps la vie des indiens Tupinambas. Vingt ans après son retour en France, il fit paraître un récit de son voyage. Au reste, parce que nos Tupinambas sont fort ébahis de voir les Français et autres des pays lointains prendre tant de peine d’aller quérir1 leur Arabotan, c’est-à-dire bois de Brésil, il y eut une fois un vieillard d’entre

particularités des cultures. [Présentation du corpus] C’est ce regard curieux et ouvert que portent sur ces peuples, à plus de trois siècles de distance, Jean de Léry, Montaigne et Lévi-Strauss. Intelligence, bon sens et logique -Léry relève chez les Tupinambas une intelligence, qu’on pourrait appeler du bon sens, une logique dans les raisonnements qui se marquent dans la façon très claire dont l’interroge l’un d’eux : on croirait lire un dialogue socratique, articulé par des connecteurs logiques, « mais »

leur solidarité. Les couples s’aiment pour la vie, même en présence de l’auteur, les amoureux se caressent. Les peuples sont très rudimentaires, Jean de Léry se fait dépouiller de ses vêtements et de ses accessoires, choses inconnues pour le peuple Tupinambas ou alors Claude L.S qui découvre la protection contre le vent fait en branchages plantés à la hâte au sol. Malgré tous leurs handicapes, ce peuple garde une immense joie de vivre et de nombreux éclats de rire par l’interjection « Teh ! ».

Artisan d’origine modeste et de religion protestante, Jean de léry participa a une expédition française au brésil. A cette occasion, il partagea pendant quelques temps la vie des indiens Tupinambas. Vingt ans après son retour en France, il fit paraître un récit de son voyage. Au reste, parce que nos Tupinambas sont fort ébahis de voir les Français et autres des pays lointains prendre tant de peine d’aller quérir leur Arabotan, c’est-à-dire bois de Brésil, il y eut une fois un vieillard d’entre eux