Tutelle

Sur les personnes (pouv. disciplinaire) Sur les actes (a priori, a posteriori) B – Le contrôle de TUTELLE 1 – les divers types de côntrole de tutelle La tutelle de Légalité Le contrôle d’opportunité La tutelle administrative La tutelle financiere La tutelle technique 2 – Les differentes modalités d’exercice de la tutelle Le contrôle sur les personnes Pouvoir de suspension Pouvoir de révocation Le contrôle

|Tutelle | | |Prévention ou annulation à postériori de certains actes|Assistance |Représentation permanente | |Avantages |- Mesure immédiate, simplicité |- Régime souple, intermédiaire entre sauvegarde de justice et tutelle |-

avenir sa protection, ainsi que celle de ses biens, et d'éviter ainsi l'ouverture d'une mesure judiciaire. Le mandat de protection future vise à permettre à toute personne capable (majeure ou mineure émancipée ne faisant pas l'objet d'une mesure de tutelle) de désigner, pour le jour où elle ne pourrait plus pourvoir seule à ses intérêts en raison d'une altération, médicalement constatée, soit des facultés mentales, soit des facultés corporelles, de nature à empêcher l'expression de sa volonté, un ou

parents : tutelle ; Filiation adoptive : adoption simple (enfants a conservé ses liens biologiques) = accord des parents adoptifs ; adoption plénière (liens juridiques rompus ave les parents biologique = accord des parents adoptifs). - Majeur incapable : Sous sauvegarde de justice (peut consentir elle-même car temporaire) ; sous curatelle (autorisation du curateur, si refus le juge peut autoriser) ; sous tutelle (autorisation du tuteur = conseil des familles, ou du juge des tutelles) -Le mariage

propriété sur un immeuble, ce seront les parents qui en assureront la gestion dans l'intérêt de l'enfant. Les parents détiennent l'administration et la jouissance des biens de leur enfant. En France, les mineurs sont placés sous ce que l'on appelle la tutelle légale. Il est entendu que les enfants ont besoin de protection, tant pour leur personne que pour l'accomplissement de leurs actes juridiques. Les mineurs sont soumis à l'autorité parentale. Comme toute personne physique, le mineur est titulaire

régimes de protection judiciaire (du plus léger au plus contraignant): la sauvegarde de justice, la curatelle et la tutelle. Réforme du 5 mars 2007, à compter du 1er janvier 2009. Vision internationale de l'incapacité des majeurs (cf. fiche DIP) A. Règles communes aux différents régimes de protection Le juge ne peut ordonner une sauvegarde de justice, une curatelle ou une tutelle qu'en cas de nécessité: ppe de nécessité => seule l'altération des facultés, médicalement constatée et mettant la

incapables, elle prévoit le placement des majeurs sous un régime de protection, à savoir : sauvegarde de justice, curatelle ou tutelle. Néanmoins cette loi trouvera ses limites (abus sur les mises sous protection des personnes vulnérable). La loi du 5 mars 2007, applicable en janvier 2009 porte sur la réforme des majeurs. Le but du législateur a été de recentrer le régime des tutelles et curatelles, sur les personnes possédant une réelle altération médicale de leurs facultés personnelles, empêchant la libre

janvier 2009 ; ses dispositions seront applicables aux procédures qui sont ouvertes à compter de cette date. Principales dispositions : 1/ Le juge des tutelles territorialement compétent est celui de la résidence habituelle de la personne à protéger ou protégée ou celui du domicile du tuteur. 2/ La procédure devant le juge des tutelles est décrite pour les contentieux relevant de sa compétence (désignation contestée d’administrateur ad hoc, discussion sur les décisions d’agrément du préfet

affirmation. Pour placer la personne sous un régime de protection, il est indispensable de constater l’altération des facultés. Dans la sauvegarde de justice par déclaration médicale, la constatation est faite par le médecin traitant. Dans la tutelle, la curatelle, et la sauvegarde judiciaire, la requête à fin d’ouverture d’un régime de protection doit être accompagnée d’un certificat médical. Ce certificat doit être établit par un médecin choisit sur une liste, qui est établit par le Procureur

parents sont décédés, le juge des tutelles peut prononcer l'émancipation. Dans certaines situations particulières de succession, l’émancipation peut être envisagée afin de rendre possible la mise en application de cette succession. C’est le juge des tutelles qui accorde l'émancipation s'il y a de justes motifs. Il contrôle que l'émancipation demandée ne soit pas contraire à l'intérêt de l'enfant.Il faut en faire la demande par lettre auprès du juge des tutelles en exposant les raisons, on peut aussi