Tyran

Boétie, le peuple est « fasciné, pour ainsi dire ensorcelé » par un tyran qui se montre « inhumain et cruel » avec eux. L'écart de force entre le peuple nombreux et le roi seul et incalculable, cependant le peuple est soumis au roi. C'est ce paradoxe que La Boétie soulève, en insistant nettement sur le fait que le roi soit  « seul » et qu'il maintienne pourtant sous son joug « tant d'hommes, tant de villes, tant de nations ». Le tyran n'a pour lui de puissance que celle que l'on lui donne. Ce dernier

montre sa réputation. Un homme hors norme car il pense d’abord au bien de la cité avant de satisfaire ses ambitions politique de gloire et vanité. Il est un véritable homme pol car au service de l’état. On le comprend par l’opposition entre l’image du tyran et lui « salut de l’etat ». il est modéré et son départ final l’illustre bien le fait qu’il n’est pas au pouvoir pour avoir le pouvoir mais bien pour agir en faveur de la cité et l’améliorer 2) modéré et lucide : il défend les plus pauvres : déconseille

de Sophocle va user de l’injustice et de son pouvoir pour étendre sa tyrannie sur son peuple et sur sa nièce. La tyrannie du Créon d’Anouilh peut sembler froide par rapport de celui de Sophocle, mais il ne reste pas moins qu’Il va réussir à être un tyran au même titre que celui de Sophocle puis ’il est autoritaire et violent. On peut comparer les douces pièces à un roman qui parle lui aussi d’uen tyrannie. C’est le livre Ubu roi de Jarry. Ce livre montre la tyranie que le roi ubu pour arriver a ses

Corrigé : Le développement du principe d’égalité dans nos sociétés prémunit-il nécessairement contre toute forme de tyrannie ? Introduction : “Voilà le sang du tyran !” C’est à ces cris que se disperseront les sans-culottes dans les rues de Paris, leurs mouchoirs trempés du sang du Louis XVI, tout juste guillotiné en ce matin du 21 janvier 1793. La démocratie, dans son commencement révolutionnaire, signe, semble t-il, l’arrêt de mort de la tyrannie. Mais force est de constater qu’un tel

est le meilleur mode de vie possible. Clisthène (VIe siècle avant J.C) : 
  Homme politique athénien, il est élu archonte en 525-524 sous la tyrannie d’Hippias. Mais il est exilé et prend en charge la reconstruction du sanctuaire de Delphes. Le tyran chassé, Clisthène revient à Athènes et choisit de s’appuyer sur le peuple en l’associant  aux institutions et au gouvernement, afin de contrer Isagoras, qui est soutenu par l’aristocratie et qui tente de rétablir l’oligarchie (système politique dans

qui détient le pouvoir et exprime ses choix par le vote. Contrairement à la tyrannie qui correspond à un gouvernement autoritaire qui ne respecte pas les libertés individuelles et sur lequel le peuple n'a aucun contrôle. Elle est dirigée par un tyran, personne qui exerce le pouvoir personnel obtenu par un coup de force. La démocratie directe athénienne repose sur une assemblée, l'Ecclesia, qui rassemble les 42000 citoyens de la cité. Dans cette démocratie , le théâtre, comme l'assemblée, est un

Arendt écrit : « sa caractéristique essentielle est que ceux dont l’obéissance est requise la reconnaissent inconditionnellement, il n’est en ce cas nul besoin de contrainte et de persuasion ». Ainsi, l’autorité se perd lorsque la personne devient tyran ou égal. La violence a, en opposition, un « caractère instrumental ». Une confusion apparaît entre violence et puissance dans le langage courant, car le but des outils de la violence est d’augmenter la puissance ou même de la remplacer

corrompu, c'est le souverain (qu'il soit une minorité ou une masse), c'est le gouvernant qui constitue directement le souverain. Dans la réalité, le régime sain doit s'accomoder d'une certaine supériorité des élites, des meilleurs. Le peuple devient un tyran. Tyrannie collective. Phénomène similaire de dégénéréscence d'un régime politique. Un tel peuple, comme il est monarque, cherche à exercer un pouvoir monarchique. Pour Aristote, les monarchies sont un anacronisme par rapport à la Cité. Parce qu'il

ils peuvent arriver à faire de l’argent de façon plus aisée. Vient finalement la dernière partie, la plus importante en nombre, le peuple. Le peuple ne s’occupe pas des choses de la cité, seulement de leurs propres affaires. Suite à ce problème, le tyran va apparaître et s’arranger pour se faire aimer du « démos », de la masse, et va assurer des solutions qui sauveront la cité. Il élimine ceux qui représentent un danger, c'est-à-dire ceux qui prônent la vraie liberté, et peut enfin imposer son régime

Hippias a été contraint de fuir en Perse en 510 av J.-C. par Sparte, allié des Alcménoides, dynastie ennemie des Pisistratides. C’est pourquoi, il se range aux côtés des perses contre Athènes espérant ainsi être rétabli à la tête d’Athènes en tant que tyran. B – Symbole des Tyrannoctones Hérodote mentionne les noms d’Harmodios et d’ Aristogiton. Nous pouvons les observer aux lignes ou de lui conserver sa liberté et, ce faisant, de laisser de toi un souvenir qu’on ne pourra pas comparer même à celui