Tyran

(qu'illustre l'introduction de la monnaie vers 680) engendre une nouvelle sorte de conflits entre les grandes cités. Passé 650, l'aristocratie doit combattre pour n'être pas renversée et remplacée par des leaders populistes appelés tyrans. À remarquer que ce terme de (tyran- tyrranoï), n'a pas nécessairement le sens moderne de dictateur despotique mais désignait le plus souvent, simplement le chef (ou le maire) de la Cité. Au vie siècle plusieurs cités émergentes dominent le monde grec : Athènes, Sparte

Chapitre 3 : Napo, tyran, despotes ou dictateur ? Despote : modalité des monarchies absolues : despote = souverain avec une légitime institutionnellement, qui se donne des pouvoirs personnels. Le despote cesse d’être légitime s’il méconnait les droits naturels. Phénomène des despotes éclairés, « Il n’y a pas de despote fou il n’ya que des fous ». Le dictateur : notion romaine. Il obtient temporairement et exceptionnellement les pleins pouvoirs en réponse à une menace, souvent extérieure, mais

repose sur la confusion entre liberté d'une part, et possession, pouvoir ou domination de l'autre. C'est dans le rapport de forces que plus l’un ne prend l'ascendant, plus l'autre subit sa férule. Le tyran n'est pas libre tant que le peuple ne l'est pas. Sa conduite lui est dictée par sa position de tyran. La liberté ne peut consister à asservir autrui. Celui qui veut dominer autrui est lui-même esclave de son besoin de domination, besoin qui s'ancre sans doute lui-même dans une peur de l'autre, qu'on

capable de raisonnements droits, pourrait-il mener une cité sur le droit chemin? Un pauvre paysan, même instruit, en raison de son travail, ne peut consacrer son attention aux affaires publiques. THÉSÉE : [… ] Pour une cité, rien n'est pire qu'un tyran. Sous la tyrannie, les lois ne sont pas les mêmes pour tous […] l'égalité n'existe plus. Au contraire, sous le règne des lois écrites, pauvres et riches ont les mêmes droits. Le faible peut répondre à l'insulte du fort, et le petit, s'il a le droit

est différente (tyrannie s'appuie sur les gds proprios, et non pas les classes pop) -Est encouragée par Philippe II, Alex le Gd et leurs successeurs jusqu'à Antigone Gonatas: ils placent des tyrans dociles dans des cités pour mieux les contrôler ex: Démétrios de Phalère, qui fut aussi le modèle du "bon tyran" (recensement des citoyens, rétablit l'élection (VS tirage au sort) pour le recrutement des magistrats...) -Tyrannie athénienne tardive , car retard dans l'évo éco et sociale. Première tentative

se voue à la restauration de la République. Tâche difficile : son lointain cousin, le duc Alexandre de Médicis, règne sur Florence en tyran avec l'appui du Saint-Empire et du pape2 ; une garnison allemande assurant sa protection. Lorenzo devient fidèle serviteur du duc, son familier ainsi que son compagnon de débauche. Afin de pouvoir libérer Florence de ce tyran, il projette de le tuer, soulignant la passivité et la lâcheté des grandes familles républicaines face à leur devoir. Les républicains

en tant que citoyen et donc avec le droit de participer à la vie politique. Démocratie : C'est le peuple au pouvoir. Démocartie direct : Participation des citoyens aux prises de décisions sans passer par l'intermédiaire de représentants. Tyran : personne qui détient le pouvoir par la force. Atimie : Manque des respect envers sa religion. Ostracisme : Banissement de la cité. Le démos : Ensemble de citoyens repartis en 10 tribus. La boulé : Conseil du peuple. L'ecclesia : Assemblé

et ses fils) - 545 : Domination des Perses sur les côtes d'Asie Mineure. Vers - 540 : Réorganisation de Sparte. Constitution attribuée à Lycurgue. La cité se dote de son caractère aristocratique et guerrier - 510 : Assassinat d'Hipparque, dernier tyran d'Athènes - 500 : Les Perses maîtres de l'Ionie. - 5e siècle: DOMINATION ET PROSPÉRITÉ D'ATHÈNES - 490 à -479 : Guerres entre les cités grecques et les Perses. Ecrasement de la révolte des cités d'Ionie par les Perses (en -493) Guerres

un Satan ? » et « lumière du ciel », qui rappelle la déchéance, la chute du paradis. La souffrance amoureuse révèle également un but noble, mais également impossible, celui d'être un « Brutus moderne », c'est-à-dire de débarrasser Florence de son tyran comme l'a fait Brutus avec Tarquin le Superbe. Le lyrisme de la scène ne passe donc pas seulement par la technique, l'écriture de l'auteur, mais aussi par le fond, qui passe ici par Lorenzaccio, et que nous traiterons dans une seconde partie. Finalement

démocratie et ceci pour plusieurs raisons. Tout d’abord, elle ne dépend pas du peuple qui peut être facilement influençable et manipulable (« Elle n’a pas d’orateurs qui l’exaltent, et la tournent en tous sens pour leur propre intérêt »). De plus, le tyran peut exercer son pouvoir de longues années et acquérir ainsi la sagesse et l’expérience indispensables pour gouverner la cité (« La science ne s’improvise pas : c’est le temps qui la donne »). Question 3 : Pour Thésée, les avantages de la démocratie