Tyran

grecs = pas tout le monde, mais l’ensemble des citoyens (en sont exclus les femmes, les enfants, | |les esclaves, les métèques). Pourtant la dénonciation platonicienne de la démocratie est dénonciation du peuple, qui est capable du | |pire, et tyran en puissance. C’est qu’il ne prend pas le terme de " peuple " en son sens positif. Quand on parle de "peuple", il faut | |savoir distinguer entre la foule et le grand nombre (plèthos) et le peuple proprement dit (dèmos). Depuis Homère, le terme

l’intérêt du + fort ou du + rusé : allait à l’encontre de leurs intérêts ( dc la critique d maximes d’état et du despotisme au nom d’ 1 morale généreuse tient la 1° place ds l’époq de C - l’image du mauvais roi qui mésuse ou abuse de son pouv, du tyran est présent d’1 bout à l’autre du théatre de C : Cinna, Pompée, Héraclius, Nicomède, Attila…. - aristo à la fois admirative et victime du pouv absolu-( elle voudrait que ce pouv soit sacré et limité donc stratégie : conformisme et révolte on s’en

« Pythagore fut le premier à s'appeler philosophe (philósophos) ; non seulement il employa un mot nouveau, mais il enseigna une doctrine originale. Il vint à Phlionte (cité du nord-est du Péloponnèse), il s'entretint longuement et doctement avec Léon, le tyran de Phlionte ; Léon, admirant son esprit et son éloquence, lui demanda quel art lui plaisait le plus. Mais lui, il répondit qu'il ne connaissait pas d'art, qu'il était philosophe. S'étonnant de la nouveauté du mot, Léon lui demanda quels étaient donc

déviations. Le gouvernement d'un seul c'est la monarchie et sa forme dévié est la tyrannie dans monarchie le droit à tout le pouvoir mais il doit agir au bien de tout ses sujets. Si tel n'est plus le cas la monarchie se transforme en tyrannie, le tyran gouverne dans son seul intérêt. C'est un gouvernement fondé sur la contrainte et la violence, ne peut être supporté bien longtemps. Le gouvernement d'un petit nombre est l'aristocratie et sa forme dévié est l'oligarchie, dans l'aristocratie se sont

est le contemporain de Socrate, il est aussi un observateur attentif de la démocratie athénienne. Il assiste à l’effondrement de celle-ci suite à la guerre du Péloponnèse (404) , à sa restauration (suite à la chute de la brève tyrannie des Trente tyrans), puis à sa lente dégradation tout au long du IVème siècle. Il meurt 10 ans avant la disparition définitive du modèle démocratique. Le dialogue de Platon que l'on connaît sous le nom de La République a pour titre exact en traduction littérale du grec

devient finalement le dépositaire légitime, ce phénomène étant encore amplifié au fur et à mesure du temps et de l’intériorisation de ce phénomène par les citoyens. La société démocratique vire ainsi vers une sorte de dictature étatique où le tyran n’est pas une personne mais un corps légitimement formé. En effet, la société égalitaire débouche sur un despotisme trompeur. Les individus, de plus en plus isolés et faibles, se trouvent face à une organisation étatique qui, chargée de garantir

est particulièrement net dans le §2 et en partie dans le §3. . Diderot emploie d’abord un champ lexical lié à la brutalité : « la force » (l.7-11), « fort(s) » (l.12-14), « la violence » (l.7-10-15), « l’usurpation » (l.10), « le joug » (l.13), « tyran » (l.18) ; il s’agit d’un vocabulaire dépréciatif qui vise à critiquer cette 1ère forme d’autorité politique. . De plus, la tournure finale brève et efficace clôt la condamnation sans appel : « c’est la loi du plus fort » (l.14). . Dès le début du

souhaite faire réfléchir cette foule aveugle en les appelants tout simplement au changement. La succession d’interrogations oratoires par lesquelles D’Holbach prend le peuple à parti permet de lui faire durement comprendre sa complicité avec le tyran et incite le destinataire à se rendre à l’évidence de sa complicité. Néanmoins, il est enfantin de voir qu’à travers ses propos, le locuteur voit par ailleurs l’existence d’une vie meilleure, l’attente d’un changement de la part de l’allocutaire. Il

dernière apparition mais je suis fière de vous avoir dit tout ce que j'avais sur le cœur et qui me révolte. A partir d'ici c'est à vous de réagir face à cette tyrannie sans fin. Soulevez-vous pour enfin vivre selon vos attentes , ne craignez plus le tyran qui vous blesse chaque jour venant car ce n'est qu'un être comme les autres. Liez vous tous ensembles face à lui , devenez enfin des animaux dignes mais surtout libres.

dans cet échange d’arguments contradictoires, un reflet des préoccupations des athéniens de l’époque. Arguments de tous contre la monarchie : un monarque peut se rendre coupable d’excès en tous genres. S’il abuse de son pouvoir, il devient un tyran. Il n’est pas juste que toutes les décisions reposent entre les mains d’un seul.  Arguments du premier interlocuteur en faveur de la démocratie, Otanès : Premièrement, la démocratie est synonyme d’égalité entre tous, c’est la majorité qui compte